Riki est hospitalisée

Riki avait été déporté de toute urgence à l'hôpital suite à la bataille devant la caverne. Son inconscience lui avait permis de ne pas raconter l'histoire. Du moins pour le moment. La gamine était à présent alité. Elle portait une écharpe pour soutenir son bras, elle avait des pensements et des eccymose un peu partout. Surtout au visage. Quant à sa cuisse une énorma bandage était fait tout autour. C'était les soins d'urgence qu'on lui avait fait.

Elle se réveilla le lendemain, dans une chambre. Complètement seule. La tête lui faisait mal. Très mal. Chaque partie de son corps semblait plus lourd de ce qu'il devait être. Elle vue d'abord sa poche de soluté avec son calmant et par la suite la machine qui semblait vérifié son battement cardiaque. Et par la suite lorsqu'elle vue sa cuisse elle paniqua presque. Allait elle être capable de refaire de la moto? De marcher normalement? Ça lui faisait tellement mal...

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La porte d'entrée principale de l'hopitale s'ouvrit dans un violant fracca. Suivit de deux hommes habillé en noire, Matiel fonça droit devant dans les couloirs. Il ne s'arrêta qu'un instant pour savoir le numéro de chambre d'une de ses agentes et reparti à la charge. Il bouscula les patients dur son passage et ne pretait guère atention à ce qui se trouvait autour de lui. Le peu d'esprit qui lui restait n'était concentré que sur sa destination, le reste n'était qu'idées noires qui se bousculaient et enflammaient sa tête. Son front était sévère et ses yeux ne reflétait qu'une soif de vengeance à en glacer le sang ( intimidation 2 )

Arrivé à la porte, il donna comme instruction à ses hommes de mains d'allez voir l'était de leurs camarades, l'inquisiteur allait voir Bago. Ouvrant la porte, il fut un peu soulagé de voir la gamine réveillé. Trouvant un tabouret par loin, Matiel se détendit en lui demandant froidement:

- Comment vous sentez-vous miss Bago?

Une phrase autant formel que ridicule, mais il fallait bien commencer la conversation quelque part.

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Elle sentait le sang battre à ses tempes. Tous son corps lui faisait atrocement mal. Et arriva Monsieur l'inquisiteur Matiel. Son stresse monta en flèche. Était-il au courrant qu'elle avait tuée deux de ses hommes? Avait-elle réussis à faire croire qu'elle s'était faite attaquer au même titre que les autres? Si ce n'était pas le cas, sa vie était complètement finit. Elle était nerveuse, cela paraissait dans ses yeux. Ses yeux qu'il y a deux mois étaient remplit d'une innocence qui était rare de voir dans ce monde, semblaient avoir perdu de cette grande naïveté d'enfant. Il y a à peine douze heure avant, Riki avait tué ses premiers humains. Être vivant, presque de sang froid...

- Comment vous sentez-vous miss Bago?

Cela ne se voyait donc pas, elle était en douleur et se demandait si elle allait pouvoir remonter sur sa moto...

''J'ai mal...les mutants...j'ai rien pu faire...Ils sont morts les autres agents?''

Et son mensonge...elle espérait que tous y croit. Elle n'avait pas le choix. Elle qui ne mentait jamais...le district 6 avait définitivement corrompue l'enfant qu'elle était.

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- Je ne sais pas, j'ai envoyé mes agents vérifier l'état des 5 autres.

Le stresse s'affichait bien sur son visage. S'il y avait bien une chose que Matiel avait de la misère èa endurer, c'était la mort de ses collègues. Ses frères d'armes, loyaux servant à sa cause. Matiel les considéraient comme de vayant chevalier se tenant droit et fier devant ce monde de corruption.

Son premier réflex était de prendre un cigare pour se donne rune bonne raison de bien respirer, mais l'inquisiteur se rappella la restriction ici, il laissa donc tomber.

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Riki était mal à l'aise. Elle se demandait bien ce que serait la suite des évènements si un des agents avaient survécus. Cela ne devait pas arriver.

Une femme médecin arriva avec le dossier de Riki entre ses mains. Elle arrêta net lorsqu'elle vit l'inquisiteur. C'était une jeune médecin.

''Oh...je vais revenir plus tard, donner le constat de Miss Bago...''

Riki soupira et tenta de se relever tant bien que mal, une grimace de douleur se dessina sur son visage elle était incapable de forcer avec ses jambes. Entre autre celle où ce qu'Elle avait reçue un coup de couteau. Les yeux de la gamine se remplit d'eau...

''Vous pouvez parler devant l'inquisiteur....''

Visiblement Riki n'était pas très de bonne humeur de voir son corps souffrir ainsi. En fait un amalgame de sentiment bouillait en elle.

''Bon eh bien, de nombreuses eccymoses, sur tout le corps, majoritairement au visage. Une balle à l'épaule gauche, un peu plus bas et la balle atteignait le coeur, un peu plus haut cela arrachait l'épaule, visiblement la personne qui tirait savait ce qu'elle faisait...C'est une balle de sniper qu'on a trouvé...Vous allez retrouver l'usage de votre bras très rapidement, une semaine, deux semaines au gros maximum...''

La femme médecin semblait nerveuse, elle n'arrêtait pas de jeter des regards à l'inquisiteur. Tant qu'à Riki, elle aurait voulu que le médecin ne donne pas de détail...


''J'ai une mauvaise nouvelle par-contre. En ce qui concerne votre cuisse. Le couteau utilisé a atteint le muscle et brisé celui-ci complètement. Un rétablissement complet est impossible. J'ai dans votre dossier que vous êtes une jeune recrue chez les StormRiders...Mais l'état de votre muscle est tellement endommagé qu'il se pourrait que vous ne puissiez plus remonter sur une moto. Je ne pense pas que Miss Bago que vous avez les moyens de pouvoir vous payez une cuisse bio-mécanique. Je suis sincèrement désolée...''
La docteur lui fait un petit sourire triste et sortie de la salle. Riki ne savait plus dans quel direction regarder. Peut-être que finalement il existait bel et bien un dieu et qu'il était entrain de la punir pour le meurtre des deux hommes. La belle rouquine était sans mot, elle était sous le choc de l'annonce...

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- Balivernes!

S'exclama l'inquisiteur ne serait-ce qu'une fraction de seconde après cette déclaration venant de l'infirmière. Celle-ci ne semblait pas trop comprendre, alors Matiel dévelopa son désaccord.

- Miss Bago va avoir pour cette protèse, alors je vous conseil de la préparer au plus vite. Et vous me rapporterez cette balle de sniper après ainsi que le rapport médical.

Après cet ordre dit avec son ère désagréable, Matiel lui fit signe de quitter la pièce. Une fois la porte refermée, l'inquisiteur était dans un état penseur, fixant le sol, cherchant quelque chose dont il ne savait même pas quoi.

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La gamine soupira. Elle ne voulait pas que Matiel dépense autant d'argent pour elle...

''Je peux la fabriquer moi-même la prothèse...''

Elle ne l'avait pas dit trop fort. La douleur la martelait.

''Pour ce qui c'est passer....on a rien pu faire. J'ai reconnu aucun visage que je connaissais. Rien de vraiment précis, ils étaient tous cagoulé et vêtue de noir au complet...armé jusqu'aux dents...Je suppose que l'arrivé de plusieurs agents les a fait fuir.''


Riki fixait le vide ce qui l'empêchait d'avoir des tics de fille qui mentait. Elle pensait a ce qu'était devenu Anderstone...elle en avait des frissons. Elle avait de la peine pour lui. Mais en même temps la culpabilité d'avoir tué deux hommes qui avaient probablement des femmes et des enfants...Riki essuya rapidement une larme.

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Matiel fouilla dans sa poche et en ressorti un mouchoir. Il le déposa doucement dans la main encore mobile de Riki. Il se rassit et resta dans le silence, atendre que le malaise soit passé. Soudain la porte se réouvrit, ce fut l'un des hommes de main de Matiel qui fit interruption, il avait visiblement la mine basse.

- Les 4... Ils sont tous morts.

Matiel resta figé comme une statue, fixant le mur avec des yeux à moitiers clots. L'aire qui s'échappait de ses narines fit sortir un son de tremblement. Seulement quelques mots ne réussirent à s'échapper de sa bouche.

- Allez m'attendre dans le stationnement.

L'atmosphère était si tendu que l'homme n'osait répliquer, il fit signe à son partenaire de le suivre et referma la porte derrière lui. Matiel resta ainsi figé telle une statue pendant au moin 20 secondes. Puis il cria de rage et fracassa la table de son poing. Le fracca résonna dans la pièce entière, tout ce qui était dessus tomba à terre et ce fut un miracle que la table soit encore debout.

- Me le payer... ILS VONT ME LE PAYER! Je vais les traquer comme des salles chiens sans demeures, je vais faire de leurs existances un enfer, je les torturerais jusqu'à ce qu'ils me supplient en pleurant de mourir. DES TÊTES VONT TOMBER!

L'inquisiteur venait de tomber dans une colère noire, la folie s'était emparé de lui. Il quitta en ruminant la pièces et le complexe.


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