Une commande.... une rencontre?

Matiel avait pris un taxi fort régulier aujourd'hui, pour une destination qui était loin d'être à son habitude. En effet, il devait se rendre dans les cartiers mercenaire la base ville, là où on disait que la justice ne pouvait régner. L'inquisiteur avait entendu parler des groupes de mercenaires forts dangereux installé dans des lieux étrangés, sans compter les fous et les criminelles.

C'est donc pour cette raison que Matiel ne voulait pas trop atirer l'atention. Il avait prit un taxi aux fenêtres reflétant bien les rayon du jour et se sépara de son chapeau qui le distinguait bien. L'inquisiteur voulait se rendre à l'appartement de la mutante qu'il avait rencontré, son nom était Ophélia. Elle n'avait point eu le temps de dire où elle habitait, mais les dossiers de l'inquisition lui donna toute l'information nécessaire. Le chaufeur lui indica qu'ils étaient arrivé à destination. Matiel observa donc le logement

(je te laisse le décrir)

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Juste a la limite des quartier résidentielle et l'AMCD ce dressait l'ancienne tour a bureau qui avait été refaite pour abriter le nombre croissant de personne qui avait pris résidence dans le district à la fin de à guerre. Fait de béton et de verre le batiment devait daté des années 1980 environs et on voyait qu'il avait été réparer a certain endroit ou le béton était bien moins sale et vieillit qu'ailleurs. Son numéro de porte était le 4943.

Le hall était bien éclairer et une dame se trouvait au bas. Comme une secrétaire elle avait un lourd carnet devant elle et passait le temps en dessinant sur un autre livre vierge. 3 assenseur se trouvaient dans le font du hall et semblait monté vers les hauteur de cette édifice à 18 étage. Deux était parquer de X rouge et une pancarte avertissait de leur non fonctionnement. Le 3ème fonctionnait cependant. Et l'inquisiteur pu le prendre pour monté au troisième étage ou après une marche dans de long corridor sinueux il déboucha sur la porte 320 dont le 2 ballotait à l'envers décrocher ne parti de son clou.

Ophélia chez elle dormait à point fermer. La nuit avait été longue et le sommeil était réparateur pour la mutante qui brulait la chandelle par les deux bout c'est temps si. Les journaux et les nouvelles n'était pas bonne et cela avait dont de l’inquiéter.

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Matiel décida de prendre l'ascenseur, son age le découragea des escaliers. Une fois à l'intérieur, il selectionna l'étage et regarda les portes se refermer, le piégeant dans ce cube de fer. Durant la monté le méchanisme donnait l'impretion que tout allait lacher et s'éfondrer. Mais il arriva à l'étage sain et sauf et en logeant les portes, il tomba sur celle, qu'il cherchait.

Matiel cogna trois fois à la porte... et se repassa une main sur le crâne pour s'assurer qu'il était encore bien coiffé.

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Ce n'est qu'au troisième coup qu'Ophélia se réveilla.

-M'ais s'quoi s'bordel....

Gromella t'elle mis endormit, mis craintive, mis en colère. La mutante se leva prestement en courant rapidement vers sa chambre de bain minuscule pour prendre sa robe de chambre et l'attacher a sa tailles. Un saut sur la table a manger de la cuisine pour prendre son pistolet et le charger. Dernier trois petit pas ouverture d'un vivarium et prise délicate d'une vipère heurtante qui s'enroula distinct sur le bras de la noir mutante.

Après plusieurs bruit de locket qui se déverrouille 4 pour être précis la porte s'entourvit sur la moitié du visage de la mutante. Celle-ci eut un regard hébéter et surprise en voyant l'inquisiteur. Cependant il disparue bien vite.

-Monsieur...l'inquisiteur Matiel que me vaux se... plaisir?

La porte était retenue pour le moment par 3 chainette.

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Matiel contait les secondes passées. Après un certain temps, il se dit qu'elle n'était probablement pas là, peut-être devrait-il repasser une autre fois. Mais c'est lorsqu'il tourna le dos à la porte qu'il entandit les cliquetis de chaînes résonner à travers. Il se revira pour voir la fente ouverte et une petite partie de la mutante apparaître. D'appret son aire et son accoutrement, il venait visiblement de la réveiller.

- Une simple visite pour voir comment vous alliez. Mais si je vous dérange, peut-être devrais-je repasser?

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-une simple visite....Well je crois pas que se soit bon pour vous d'entrez, mais comme je suis réveillé donné moi 5 minute que j'enfile un jeans et un t'shirt et on ira marcher si vous le voulez bien mon appart n'est pas vraiment en état de recevoir un homme de votre stature.

Elle eut un bâillement endormit son stresse étant tomber légèrement. Sans que ne puisse le voir l'inquisiteur elle glissa son pistolet dans la poche de sa robe de chambre se doutant qu'elle n'en aurait pas besoin.

La mutante n'attendit pas que l'inquisiteur lui donne la permission elle referma la porte sans toute fois rebarrer toute les serrures. Ophélia alla remettre dans son vivarium sa vipère avant de passer dans sa chambre pour ouvrit ces tiroirs de commode.

Le premier jeans qui passa sous sa main était trop osé pour son interlocuteur d'après elle. Finalement elle opta pour de jean ouvert au genoux noir délaver et une débardeur blanc bien banale. Elle passa a la salle de bain pour se brosser les cheveux puis retour à la porte prise d'un polard et de son sac et elle défit les chaine de la porte pour l'ouvrit complètement.

-me revoilà...

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Matiel n'eu pas trop le temps de répliquer avant que la porte ne se referme devant lui. Ils allaient donc sortir dehors, ça ne faisait pas parti de ses plans. D'un côté, l'inquisiteur n'eu pas trop de mal à s'imagnier toutes les bestioles grouillantes à l'intérieur de cet appartement. Mais d'un autre côté, cela impliquait qu'il devait se montrer sans défence dans le plus grand cartier criminel du district. Il avait été une figure social assez fréquante. Même si son masque à gaz le cachait un peu, il ne suffisait d'une personne qu'il le reconnaisse et sa vie ne fera pas loin feu.

Matiel sorti de ses songes quand la porte s'ouvrit. Il en profita pour inspecter la mutante de haut en bas. Il fallait avouez que cet acoutrement était plus présentable.

- Donc... où voulez-vous que nous allions?

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Elle ajuste son sac à son dos et barra les 4 serrure que l'on voyait à sa porte. Était-elle a se point parano ou insécure dans se quartier pour se murer à double tour ainsi.

À la différence de l'inquisiteur la mutante avait que son polar et aucune autre protection. Cela ne lui servait de toute manière aucunement. Elle lui fit un petit sourire légèrement malaisé. Visiblement qu'il se pointe jusqu'au pas de sa porte avait déstabilisé légèrement la mutante.

-le souk est a 15 minute a pieds si on passe par les petites rues ce sera surement mieux la-bas. Je comprend mal que vous vous soyez pointé jusqu'ici...vous êtes soit bien brave soit...complètement fou. Se bloc abrite plusieur mercenaire et surtotu des Silvers scale et des Skull Diamond... On pourrait dire que vous avez du culot de vous pointé dans le coin.

Elle ne disait pas cela avec arrogance, mais présentait les fait avec toute sa déférence maligne. Dès qu'elle avait commencer a marcher pour se rendre a l,ascendeur elle était rembarquer en scelle. Affichant au lieux du malaise cette dignité qui faisait d'elle ce qu'elle était.

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«Brave ou fou?» C'est probablement sa bravour qui l'a rendu fou. Et même après les avertissements d'Ophelia, Matiel pensait encore à comment prendre avantage de cet édifice pour une prochaine mission. L'ascenseur le ramena alors sur Terre.

- Cela m'a même forcé à changer mes vêtements habituels, je vais leurs donner ça...

Une fois l'ascenseur athéri, Matiel ouvrit le grillage et en sortie. Puis, détacha son masque à gaz, se rappellant qu'ils devaient sortir dehors. Mais avant cela, il entama la discution.

- Ça va bien faire 2 semaines que je ne vous ai pas revue depuis... l'incident. Comment vous sentez-vous depuis?

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Elle regarda l'accoutrement de l'inquisiteur quand celui-ci fit mention de l'avoir changer. En effet Ophélia ne l'avait pas remarqué, mais c'était le cas. Dans l'ascenseur elle fredonna la chanson thème qu'on entend toujours dans un ascenseur habituellement.

-Je vais bien merci de vous en inquiéter la soiré même j'étais remis. Ras pour le reste, autre cela je pari que vous venez ici pour autre chose. Ma santé ne dois certainement qu'être un bien petit prétexte pour pousser la conversation ailleurs.

Elle regarda étrangement sur le côté pour voir si le masque de l'inquisiteur était bien ajuster. Quand elle passa près de la secrétaire Ophélia la salut gentiment.

-Bonjour Amanda

-Salut Ophé Bonne journée

-Merci toi aussi

Puis elle poussa la porte pour sortir en prenant des lunettes fumer dans son sac et les posant sur son nez.

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Matiel aurait voulu répliqué, mais se retrouva en l'absence de mots. Il se contentat donc tout simplememt de suivre la mutante. À son passage, il ne fit qu'un signe tête pour saluer la secrétaire, elle le lui rendit volontier en signe de politesse. Cela faisait spécial pour l'inquisiteur de voir quelqu'un le saluer sans émotions causer par le stresse ou la peur de son statut.

Une fois dehors, Matiel regarda aux alentours. Il n'aimait pas trop ce cartier et se serait passer de le visiter. Il se demandais où diantre on pouvait marcher dans ce coin, ce n'était pas comme la haute ville, les parcs artificiels étaient inexistant. Mais pour une fois, il laissa faire ses préjugés et fit confiance à la mutante.

- Je vous suis Madame Ophélia, montrez-moi où allez...

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-Vous pouvez dire mademoiselle monsieur l'inquisiteur je ne suis pas marié.

Dit-elle amusé et un brin provocante juste a la sorti sur les marche de l'édifice. La mutante ajusta ces lunette de soleil en regard celui-ci qui brillait. Pas un nuage une fois de plus ne couvrait le ciel oranger balafré de la douleur de la terre massacré.

-Quel belle journée...

Cette phrase fut dites autant par sarcasme que réalité se qui put être étrange. Néanmoins après se petit regard vers le ciel la mutante commença à descendre les marches et a faire le tour du haut immeuble. Comme promise elle tirait l'inquisiteur dans les ruelles qui ne laissait pas voir le soleil entre les gratte-ciel.

Ophélia semblait un brin amuser et était passer devant l'inquisiteur d'un pas frivole, un déanchement provoquant et langoureux au pied agile et volage. La mutante semblait autant marcher que danser avec une grâce presque féline.

-donc je repose la question qu'est-ce qui vous pousse a venir si proche de la gueule du loup qu'est l'AMCD?

D'après l'inquisiteur par rapport à l'endroit ou ils se trouvaient la mutante longeait scrupuleusement la frontière définie de l'AMCD.

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« Mademoiselle Ophelia», l'inquisiteur dû admettre que c'était bien plus aproprié... En plus de bien se raccorder avec sa personnalité.

À la remarque de la mutante, Matiel ne compris point le sarcasme et regarda le ciel intrigué, ce demandant ce qu'il pouvait bien y avoir de spécial avec le climat de cette journée. La température changeait vers le chaud, mais le paysage restait toujours aussi déprimant que l'habitude.

Puis, il observa alors les mouvements gracieux de la mutante le devancer, et l'entraîné dans cette ruelle sombre. Cette endroit était propice pour une ambuscade et l'inquisiteur du surpasser sa paranoïa afin de rentrer. En temps normal, l'AMCD ne l'effreyait aucunement. Mias à cet endroit, juste le fait de le prononcer lui donnait un légé frisson dans le dos.

- Il y a 3 raisons pourquoi je suis venu vous voir. La principal je vous l'ai dit et je vous la redit en toute honnêteté: je suis venue voir comment vous alliez, comment allait votre santé... Pour mes rapports évidament...

Ce prétext était exprimé avec un aire hésitant et facile à remarquer.

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La mutante s'arrêta a un croisement pensive et se retourna pour regarder l'inquisiteur.

- Ouais pour vos rapport vous auriez pu avoir cette information de la bouche de n'importe quel autre mutant de l'hopital, anyway il sont tous fiché par l'inquisition, vous tournez autour du pot monsieur l'inquisiteur, car je vous ai déjà répondu sur se point. Je me porte bien et même à merveilles. Et je continue a être septique sur le fait qu'un homme comme vous mettiez votre vie en danger pour une simple mutante comme moi. Car après tout j'suis un monstre non?

La dernière question fut dit sur un ton un peu bravache, ironique et provocateur. Il ramenait très bien au nombreuse conversation qu'elle avait eut avec l'inquisiteur depuis quelque semaine.

- Il y a quelque chose qui vous travail et je serais bien curieuse de savoir pourquoi vous venez me voir moi et pas une des innombrabre humaine et psychologue qui grouille au Qg de l'ordo justicar ou a l'hopital.

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L'inquisiteur trouvais la mutante qui se tenait devant lui assez rigide. Il venait même à se demander si elle ne l'était pas plus que la que la dernière fois qu'il l'avait rencontré, ou peu être qu'il n'avait pas bonne mémoir de son tempérament. Mais peut importe, il ne devait pas tomber dans le mélo drame, c'est pourquoi il garda son sang froid.

Matiel se mis de côté et croisa ses mains dans le dos.

- La raison n'importe peu, le fait est que je suis ici et que j'ai pris d'énormes risques pour venir vous voir. J'ai fait cela pour vous informer de quelque chose d'important par ce que je... tiens à votre sécurité, voilà tout. Peut-être n'aurrais-je pas dû, dans ce cas dite le moi et je ne vous dérangerais plus.

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Elle avait recommencer a marcher pendant que l'inquisiteur lui parlait et s'arrêta net quand Matiel lui dit tenir à sa sécurité. Ophélia se retourna pour dévisager franchement l'inquisiteur. On voyait sur son visage une profonde incompréhension comme si se que vennait de dire l'inquisiteur était le plus pure non sens qu'elle n'est jamais entendu de sa vie!

-at..attendez deux minute

bafouilla t'elle avant de se reprendre.

-Vous êtes venu, ici à deux pas de l'enfer pour vous, pour venir me prévenir! Mais je suis votre ennemi, la cible a abbatre une mutante! La pire immondise avec les zoomorphes. L'évolution dépraver de l'humain face à son propre échec! et vous voulez me prevenir!

Elle ne criait pas, mais sont ton de voix était haut percher. Non pas par colère, mais par stupéfaction.

-Mais qu'être vous donc inquisiteur Matiel... Vous avez tué tant des miens et en avez berné tout autant. Pourquoi me prévenir alors? Vous êtes vous trouvé par hasard une conscience qui trainait la comme sa sur le coin d'une rue comme une pouf le soir?

Ophélia se décala un peu de l'inquisiteur pour se rapprocher de la frontière ténue entre le quartier ou il se trouvait et celui de l'AMCD. Elle semblait légèrement méfiante, comme un animal sauvage que l'on coince près d'un mur. La mutante restait droite et fière malgré tout, mais toisait l'inquisiteur avec un regard nouveau de méfiance qu'elle n'avait encore jamais eut pour lui. Peut-être l'idée de voir un homme moins fanatique que les autres la débosselait-elle?

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L'inquisiteur se serra les dents et s'écarquilla les yeux en regardant la mutante se décaller de plus en plus vers la frontière maudite. C'était trop loin, surtout pour lui, il resta donc imobile, contemplant impuissament l'écart de distance qui le séparait d'elle augmenter à chaque seconde. Quelque chsoe dérangeait profondément Matiel dans le regard de la mutante. Ophélia qui était d'habitude si confiante et rafiné le dévisageait maintenant avec ces yeux de méfiance.

Il le reconnaissait ce regard, le même début d'un animal avant qu'il ne soit apeuré et sur ses instincs de défence. À chaque fois qu'il avait essayé de convertir des non humains, toujours il avait fait face à ce même regard, t-elle une bête montrant ses dents pour afficher son dégoût face à ses principes et à sa raison. Et ainsi, l'inquisiteur les condana à mort. Ce regard, il le détestait, il en était malade à le regarder, cela lui donnait l'impretion que rien mis à part la violence ne marchera avec ces êtres.

Mais cette fois-ci, au lieu de sortir son arme, il se fit prendre d'une colère vive et lui répondit avec beaucoup de tention.

- POURQUOI FAUT-IL QUE VOUS COMPLIQUIEZ TANT LES CHOSES! Bonsang, Ça ne concerne pas votre race, ou l'idéologie de l'évolution ou vos valeures, ça concerne votre vie. Alors pouvez-vous juste laissez tombez nos différents et écouter ce que j'ai à dire?

Par chance, son masque à gaz aténua le son de sa voie et ne trahis point leurs présences cachées. L'inquisiteur se calma et conclus son point.

- Ne cherchez point la logique dans cette histoire, car vous ne trouverez que du sang...

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La mutante fut foudroyé par le ton de l'inquisiteur. Un air perdu sur les traits de son visage Ophélia semblait bien se foutre en se moment de ce qu'elle laissait lire de sa personnalité face a l'inquisiteur.

-Je ne complique rien! C'est vous qui venez me faire douté! Parce que les votres on oprimé les miens, les on battu et baffoué vous voulez que j'oublie sa! Nous n,avons que la méfiance pour arme. N'attendez pas d,un chat échaudé qu'il ne craigne pas l'eau! Vous nous tendez des mains secourables qui nous crache au visage depuis 40ans et vous voudriez que je ne me méfie pas! Que je ne cherche qu'à comprendre pour me protèger de je ne sais qu'elle intrigue inquisitorial?!

On voit que la mutante se retenait pour ne pas crié à la différence de l'inquisiteur qui c'était laisser aller. Cependant ce n'étais pas la colère qui animait sa voix, mais une profonde incompréhension. Les yeux ambré de la mutante détaillait a une vitesse alarmante l'inquisiteur comme si elle tentait de trouver quelque chose la méfiance avait laisser place à une étrange peur. Elle finit par répliquer qu'une chose a la dernière intervention de Matiel.

-Du sang

Elle eut un petit rire bravache Ophélia reprenait contrôle sur elle.

-vous ne jurez que par cela.

Lança t'elle en pointe a l'inquisiteur se secouant la tête pour reprendre un visage aussi neutre que celui qu'elle avait eut dans son bureau il y a quelque mois.

-mais je vous écoute et me tairez. Vous avez droit a votre chance comme chaque personne. J'espère simplement que je vais me tromper et que je serais agréablement surprise de voir que tout n'est pas perdu.

Elle se rapprocha de l'inquisiteur comme pour le défié par sa simple présence. Musaraigne devant chat qui montre ces petite incisive dans le but de faire reculer le prédateur bien plus grand qu'elle.

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Au parole d'Ophélia, l'inquisiteur s'envoulait déjà d'avoir perdu le contrôle de lui même. Ce n'Métait point quelque chose qui lui arrivait souvent et de se laisser allez ainsi devant une mutante montrait clairement un signe de faiblesse envers sa personnalité. C'est juste que les derniers évènements lui avaient donné un certain stresse qui ne gérait pas bien.

« Du sang », ce mot lui arriva droit comme un poignard dans le corps quand Ophélia le prononçait. En effet, autant que Matiel avait une estime minuscule pour la race mutante, il avait avoué qu'ils étaient les percutés de la société actuel. Chose que selon lui ne devait pas changer, mais qui compliquait extrêmement le peut de communication qu'il essayait d'avoir.

En la voyant s'avancer vers lui, l'inquisiteur ne pu continuer à la fixer dans les yeux et se détourna le regrad sur mur adjacent.

- Le Souk, restez-en loin. Dans deux jours, quelque chose va se passer là. Vos risques sont minimes, mais votre vie en dépend. N'y allez pas et tout ira bien.

Cette information semblait être dure pour Matiel à divulguer.

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-Qu'est-ce qui va s'y passer et encore une fois pourquoi moi?

Elle brisa la dernière ligne invisible qui la séparer de l'inquisiteur pour le prendre au collet, bien qu'elle n'en était en rien intimidante. Sa force était mauvaise et elle ne faisait bien juste que faire aller les vêtements de l'homme.

-Vous venez jusqu'a chez moi pour me dire qu'une chose affreuse arrivera et vous n'avez même pas le courage de me dire pourquoi! Vous êtes à la frontière du quartier de la ville près a vous évicèrer séance tenante et vous n'arriez même pas a me dire POURQUOI!

La mutante prit une grande respiration et lacha finalement l'inquisiteur.

-j'vais me tenir loin du souk, mais vous me faites pitié inquisiteur Matiel. Réellement pitié, vous arrivez à me donner espoir et à la fois dégout car vous n'arriver pas à prendre votre courage. Les templiers avait en leur plus d'honneur que l'inquisition aujourd'hui!

Son regard toisait l'inquisiteur avec un regard lourd de jugement.

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Matiel resta autant droit que possible et se laissa brasser sous la grippe de la mutante. Il ne la lâcha pas des yeux et écouta mot pour mot ce qu'elle avait à lui dire. Quand elle eu fini, que ses forces et son ardeur diminua et qu'elle le relâcha, Matiel mit ses mains sur ses épaules de façon tendre et réconfortante. Les lunettes de son masque à gaz cachaient un peu ses yeux, mais on pouvait apercevoir un aire lourd et atristé. L'inquisiteur atendit 3 secondes, un seul mot ne pu sortir de sa bouche.

- ... Pardon.

Puis il la relâcha et lui tourna le dos. «Oui, pardon pour les mystères, pardon pour ses mauvaises intentions, pour ce qu'il s'appretait à faire. Et pardon pour la souffrance qu'il lui avait causé et qu'il va continuer de causer à elle ainsi qu'à sa race. Au lieu d'en enlever, il aurrait voulu apporter espoire. Malheureusement, il n'avait rien à apporter mis à part des mauvaises nouvelles, car ce monde n'a plus de lumière, ni de templier, seulement que la destruction omniprésente et des hommes aux désespoires. » Se monologue lui passa par la tête, mais il le rejeta aussitôt. À la place, il repris son athitude tyranique et froide habituel.

- Ho, et quand vous lirez les journeaux, vous risquez de retrouver le monstre inquisiteur.

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-Pardon!

La mutante soupira en baissant la tête

-Sa sonne plutôt creux...

Dit-elle d'un ton abattut. Elle ne releva le regard que quand il la lacha et lui tourna le dos. Les dernier mots qu'il dit eux l'effet d'une giffle sur l'attitude de la mutante qui tira de toute ces force menu et minuscule sur le manteau inquisitorial.

-Vous avez pas le droit! Vous n'avez pas le droit de vous sauvez comme sa! De vous défilez ainsi! c'est lâche! Est-ce se qu'ils vous ont appris au sein même de l'ordo justicar! Vous êtes monstre que parce que vous décidez de l'être! Bon sang vous pourriez être mieux je l'ai vu!

Elle semblait toujours bouillir de colère, mais cette colère traduisait une impuissance flagrante qui semblait l'attisé comme de l'huile sur un feu. Ces cheveux blanc ébourrifé allait au vent et claquait a chaque coup de tête de négation que faisait Ophélia.

-C'est des gens capable de faire la part des choses dont se monde a besoin! pas de monstre froid! il y en a bien assez dans nos cauchemars comme sa!!!!

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Matiel essaya de continuer à marcher, simplement continuer son chemin sans se retourner, faire comme si ne rien n'était. Mais c'était juste trop dure pour lui de combattre cette petite force qui le retenait, il ne voulait juste pas la combattre. Et il y'avait toutes ses phrases remplis d'émotions qui suivirent. Si seulement elle l'avait insulter, lui redire qu'il était lâche, cela aurrait été juste plus facile de s'en détâcher. Mais elle essya au contraire de le remonter, Ophélia croyait en lui. C'était un sentiment que Matiel était si peu familier, et pourtant si dépendant. Seulement 2 personnes à ce jour avaient cru en lui. Matiel se serra les dents et se revira subitement vers elle.

- Ophélia. Regardez-moi dans les yeux, il faut que le fasse. Si je ne le fait pas, quelqu'un d'autre va prendre ce projet en main, plus extrémiste, plus de sang froid. Qui sait les purges qui risquent d'avoir, tous ces inoncants qui vont mourir? Écoutez... Je vous promez de limiter les victimes.

Mais l'inquisiteur se demandait s'il était vraiment capable de tenir cette promesse.

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Quand l'inquisiteur s'arrêta la mutante se percuta contre son torse ne s'attendant pas à se qu'il arrête ainsi ,encore moins qu'il face volteface. Elle le regarda un brin étourdie se secouant un peu la tête pour reprendre ces esprits. Le mutante pausa ces iris ambrer entourer de noir dans ceux de Matiel.

-vous seriez capable de plus Monsieur Matiel tellement plus...mais qu'allez-vous faire au souk et que vont encore subir les miens? Qu'allez-vous faire pour êtres à se point déboussoler. L'instinct me dicte que ce sera le pire matin que le district aura vu. Mais quel horreur allez-vous encore cautionner?

Cette fois sa voix était plus douce. A nouveau la mutante était empathique au mal de l'Inquisiteur et lui offrait un regard qui pouvait exprimé de la compation pour lui.

-Aucun dieux du coran, a la bible en passant par les texte cabalistique ou l'ancien testament ne cautionnera vos actes. En êtes-vous conscient? L'enfer brule sous nos pieds Matiel ne l'attisé pas....

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C'est ce regard qui avait hanté les rêves de Matiel, celui-ci était remplis de tendresse et d'empathie, chose qui le touchait et le troublait à la fois. Mais devant ce regard, l'inquisiteur ne pouvait presque pas dresser de défence. Sa résistance paranoïaque tomba et il se mis à parler.

- Je vais venger mes diciples morts au combat, je vais écraser cette nouvelle rébelion avant qu'elle ne se répende. Et pour ça... Des inonçants mouront. Je ne peux vous en dire plus, le reste, vous le verez en temps est.

Matiel la regarda une dernière et se sépara tranquielement d'elle.

- Je sais peu de chose sur les religions ancestrales, mais l'expérience m'a appris que lorsque l'on fait face à un mal qui ne peut être vincu que par des valeurs, il faut se salir les mains pour détruir le plus grand mal. Au final, ce qui importe, c'est la victoire sur l'enfer.

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Elle soupira d'un soupire profond et lourd de sense. Il décrivait toujours l'impuissance de la mutante et son profond abbatement face à cette situation.

-L'enfer gagne monsieur Matiel quand les homme bon en sont rendu a pactisé avec lui. L'enfer est pavé de noble intention, mais au final il gagne quand les homme de fois baisse les bras.

Elle se décala et tourna sont regard vers le ciel.

-Nos ancêtres ce sont déchirer 80 longue années pour nous laisser une terre en ruine et mourante...Et au final nous n'avons rien appris...Nous n'apprendrons jamais il faut croire...Car toujours nous nous abbatrons sur notre sort pour que rien ne change. Nous sommes des bêtes qui ne trouvons jamais d'autre solution que la violance.

Elle eut un nouveau soupire avant de glisser ces mains dans son jeans. Elle en sortir un join qu'elle alluma a l'aide d'un zippo. La mutante porta le narquotique jusqu'a ces lèvres pour en tiré une longue bouffée.

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-Peut-être avez-vous raison Ophélia. Dans ce cas, la seule chose qui nous reste à faire est de prier. Prions pour un avenir meilleur, prillons pour qu'un miracle nous vienne en aide. Qu'un jour notre société devinne saine, et d'ici là, je continurais de jouer mon rôle.

L'inquisiteur releva la tête une nouvelle fois pour contempler une nouvelle fois ce ciel nuageux de produit chimique.

- Enfin, je crois nous en rediscuterons une autre fois.

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Elle eut un soupire.

-cette fois viendra-t-elle peut-être plus tôt que vous ne le pensez.

Puis elle se décala pour de bon de l'inquisiteur.

-Je vous promet d'éviter le souk une bonne parti de cette tragique journée. Cependant...attendez-vous a me voir sur la place quand vous voudrez mettre à mort les miens innocents. Je ne pourrais pas cautionner votre acte Matiel et s'il le faut je prnedrais le blâme sur ma personne.

dit-elle sombremant.

-Il restera à voir si vous aurez les couille de m'affronté au nom d'un idéaux. Prenez soin de vous en attendant je crains que le karma ne soit pas de votre côté.

Elle reprit une pof de son joint avant de tourner le dos après un bref regard vers l'inquisiteur et de commencer à marcher doucement pour rentré chez elle.

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Matiel se senti grandement intrigué par la première déclaration d'Ophélia, se demandant si elle n'était pas oracle, ou qu'elle prévoyait quelque chose. Il aurrait voulu pousser ça un peu plus loin, mais il du se retenir, les deux en avait suffisament dit. Il se contenta de la regarder partir tout en concluant la conversation.

- Moi même je ne sais point comment je vais réagir, mais je vous attendrais avec impatience.

Cette déclaration n'était point provoquante ou arrogante, au contraire, elle était remplis d'honnêteté mélangé avec une certaine tristesse. L'inquisiteur pensait qu'après cet rencontre, il se sentirait mieu, mais au contraire, il sentait beaucoup plus lourd. Il retourna tranquilement vers son bureau là où ses atrocités l'atendaient