Nevermore...

Une nuit...elle avait passé une nuit et un jour à ne pas dormir...24h passé debout et elle n'avait même pas pris d'existant pour cela...Elle n'en avait pas vraiment besoin de toute manière...Ce n'était pas par existation qu'elle n,avait pu fermé l'oeil...mais pas anxiété et peur.

Elle avait passer et repasser l'enregistrement en boucle et la voix la faisait frémir comme elle n'avait jamais frémit et qu'elle ne frémirait surement jamais plus... Ce n'était pas humain et c'est se qu'elle avait entendu dans son crâne... avec.. le néant... le néant total et absolut...Elle ne voulait plus fermé les yeux de peur que cette voix ne s'incarne et ne la ronge jusqu'à son âme.

Elle n'avait pu déchiffré au milieux de tout ces mots... et depuis elle n'avait de cesse des les répèter avec frénésie d;s que l'angoisse ne s'accroissait chez elle

Couronne et Roi....Couronne et roi...couronne et roi.....

C'était deux mot hébreux... très ancien....mais que venait-il faire la...pourquoi avait-elle finit par les comprendre....que se tramait-il...Elle était glacé et avait voulu prendre plusieur bain chauf en vain pour se relaxé...POUVAIT-IL ENFIN ARRIVER! qu'elle puisse se vidé la bouche de ces deux horribles mots!

Elle était assise sur son lit a fixé le mur en se balancant d'avant en arrière comme une timbré au son d,une musique classique et douce. Elle devait se reprendre...se retrouver comme sa face à l'inquisiteur qui serait bientôt la non elle ne devait pas... Et puis pour s,occuper l'esprit elle avait prit sa journée pour nettoyer l'appartement de font en comble et capturé toute ces pensionnaire libre pour les mettres dans de petit pot...avoir la mort d'un inquisiteur par empoisonnement accidentel n'était pas dans ses futurs projets de vie.

On cogna enfin à la porte et comme un ressort Ophélia bondit pour passer le simple semi cadre de porte sans porte qui séparait sa chambre du ''salon et de la porte d'entré. La mutante entrebailla la porte après avoir débarrer les loquets et laisser les chainettes. Le regard ambré d'Ophélia se posa sur la personne de l'autre côté.

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Matiel non plus n'avais pas réussi à fermé l'oeil durant la dernière nuit. La discutions qu'il avait eu avec Ophélia ne faisait que se répéter en boucle, le bouleversant de plus en plus. Certe, l'inquisiteur avait déjà eu des remords face à ce qu'il faisait, mais il arrivait autrefois à les vaincres... ou plutôt les ignorer. Mais comme il l'avait expliqué à la taverne, les yeux de la mutantes faisait revivre en lui chaque exécution qu'il avait fait dans sa carrière avec une opinion toute différente. De peur que ces yeux viennent le hanter dans son rêve, il préféra rester éveillé, à fixer le plancher et se morfondre dans ses pensés.

Puis le jour arriva. Une pile de dossier s'était écrasé sur son bureau, demandant son saint jugement pour chacun des cas. Matiel ne se sentait pas d'attaque et préféra laissez cette charge à un autre collègue inquisiteur qui sera ravis de prendre la gloire de résoudre tous ces cas. À la place, Matiel ouvrit le dossier concernant l'évènement de l'an dernier pour ce rafraichir la mémoire.

Enfin vint le moment qu'il atendait avec impatience. Il sauta dans un taxi afin de passer le plus discrte possible et se rendis dans les quartiers résidentiels. Malgrés le temps l'inquisiteur se souvenait exactement où trouver l'appartement de la mutante. Une fois à destination, il s'empressa de monter les marches jusqu'à arriver à la porte qui lui rappellait une certaine nostagil. Il cogna trois coup et atendit qu'on vienne lui ouvrir. Le son des chaines se déverouillant de l'autre côté le rassura qu'il n'était point venu pour rien.

C'est là que Matiel refis face à Ophélia.

- Bonjour je... J'ai fait aussi vite que possible... Ça n'a pas l'aire d'allez, il y'a un problème?

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Ophélia défit les chainettes dès qu'elle reconnue Matiel et lui fit signe d'entré rapidement en sa demeure. La mutante referma doucement derrière l'inquisiteur en rebarrant tout les loquets et remettre les chainettes en place.

l'appartement d'Ophélia était un petit 2 1/2 une pièces sans porte formait sa chambre et son salon était délimité pat un mur fait de vivarium en tout genre qui renfermait nombre de créature venimeuse et mortel. Scorpion, araignée, serpent, centipède, et batracien ainsi qu'un monstre de gila se tassait sur ce mur improvisé qui délimitait le salon de la cuisine qui semblait bien éclairé. 2 des 3 mur du salon était couvert eut aussi de vivarium ou s'entassait aussi des livres sa et la.

-Tu peux t'assoir

dis la mutante en lui présentant son pauvre vieux futon délavé et déchiré. il n'y avait qu'une table basse qui formait le mobilié. La mutante passa le mur de vivarium et revient avec une chaise de bois. Elle posa le dossier face a Matiel et si assit en califourchon possant ces bra ssur le dossier et y déponsant sa tête au trait fatigué.

-Je crois que toi et moi on a pas beaucoup dormir cette nuit... M,enfin t'es pas la pour sa.

Elle prit son sac non loin d'elle et pris l'enregistreuse qu'elle fit tourné.

- Il y a deux mot hébreux que je comprend dans cette enregistrement.

Elle repassa la bande et arrêta dès que le premier mot fut dit elle le rééta en français.

-Couronne

Elle reparti l'enregistrement et l'arrêta une seconde fois.

- Roi

puis elle le laissa finit

-Je ne sais pas se que totu cela trame, mais Matiel nous avons entendu cela quand nous sommes tomber dans le coma... sa accompagné d'un néant le noir total...c'était un cauchemar... et je croyait que ce n'était qu'un cauchemar jusqu'a ce que tu m'anène ceci...


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Matiel se sentait un peu nerveux en entrant pour la première fois dans l'appartement d'Ophélia. Il balaya visuellement les murs de la pièce. Rien de bien impressionnant, simplement ce que les habitants de ce district pouvait s'offrir. Il pris place volontier sur le sofa délabré, il avait vue pire.

C'est à ce moment qu'elle lui fit réécouter l'extrait audio. Matiel ne pu s'empêcher d'avoir un frisson dans le dos, il ne s'habitura défénitivement pas à cette voie démoniaque. Il fronça alors les soucis et fixa ses genoux.

- couronne... roi

Murmura t-il en repassant mentalement toute les informations qu'il avait.

- identifier comme la grande noirceure... envoyé sous forme d'onde... d'origine hébreux...

Ses yeux s'écarquillèrent sous l'inspiration qui venait de lui sauter en pleine figure. Il releva soudainement la tête vers la mutante.

- L'ancien testament, couronne et roi sont deux mots souvent utilisé dans ce livre saint. Il doit y avoir une relation. Et même s'il y'en a pas, on peu l'utilisé pour traduir le reste de l'enregistrement! On doit forcément avoir une copie dans notre bibliothèque.


La fatigue venait brusquement de disparaître pour être remplacé par l'exitement d'avoir enfin une nouvelle piste à suivre pour résoudre cette enquête. Une fois l'énergie passé, Matiel repris son calme habituel et soupira un bon coup.

- Ophélia, excuse-moi de t'avoir entrainé dans tout ça, je ne voulais te faire revivre ce cauchemard. Mais j'avais besoin toi... J'ai besoin de toi en faite...


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-J'y ai penser...mais pour être franche fais attention à ton enthousiasme... ce n'est que deux mots que j'ai réussit à comprendre ce ne veux pas dire qu'un exemplaire de l'ancien testament t'aidera à tout traduire...

Dit-elle se voulant réaliste pour que l'inquisiteur ne se frappe pas à un mur de déception. Elle détailla l'inquisiteur face à elle. IL avait si mauvaise mine... ce n'était pas que le remord qui le rongeait...Il y avait autre chose.

-Sa va de toute manière je préfère que tu te fis à moi qu'a un autre. Si je peux aidé à prévenir quelque chose de mauvais je préfère le faire...cependant ne me roule pas Matiel.

ajouta-elle sérieuse... c'était un fait si l'inquisiteur venait à la roulé il n'y aurait d,endroit sur pour lui. Sa haine serait le pire des incendies! S'il la roulait Ophélia perdrait toute espoire et toute confiance.

- Mais Matiel en dehors de cela... que t'arrives t'il? Tu est blême plus blême que je ne t'ai jamais vu. Ce n'est pas que poid du manque de sommeil sa je ne suis pas dupe.


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Matiel confirma d'un hochement de tête, la remerciant de l'aidé à garder sa tête froide. C'était aussi un hochement voulant essayé de la convaincre de lui faire confiance, que j'amais il ne voudrais se mettre volontairement contre elle.

Puis vain la question délicate. L'iqnuisiteur hésita d'en parler, essaya de fuire le regard de la mutante, mais rien ne marchait, il sentait de plus en plus l'envis d'en parler, de se débarasser du fardeau du silence. Il fixa alors la mutante, d'un regard etrêmement sombre qu'on pouvait s'y perdre.

- Je suis mourant.

Finit-il enfin par cracher de sa bouche, c'est mots goutèrent comme du venin au fond de sa gorge.

- Je ne peux plus le nier. Je ne sais pas ce que j'ai, mais je le sens, ça gagne du terrain sur mon corps... sur mon esprit. À chaqye matin, je me réveille avec toujours moin d'énergie que j'en avais hier. Il m'arrive des fois même de m'étouffé subitement avec l'impression que mon âme va sortir de ma bouche... et ma chaire qui se blanchie à vue...

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La mutant vient placer ces main devant sa bouche pour étouffer un hoquettement de stupeur...Ce ne pouvait être vrai! Matiel ne pouvait pas mourir, pas de maladie comme cela. C'était impensable pour la mutante..même si l'homme devant lui était un monstre en bonne éduforme. Elle le détailla longuement et se leva même pour venir se planté face à lui. Elle tendit la main et vient défaire les sangle de son masque respiratoire pour voir les trait de cette homme qu'elle avait rencontré la première fois dans un bureau puant de luxure et qui aujourd'hui se trouvait assit sur son futon tout clique claque.

Elle continua de le détaillé sans gène... non il ne mourrait, elle ne était presque certaine... sa respiration sifflante? IL avait atteint son seuil... Et elle fut frapper de tel force qu'une affreuse moue de stupeur se colla à son viage.

- Matiel... je suis presque certaine que vous ne mourrez pas... pas...vraiment... dans tout vos rapport avez-vous déjà lut se que cela pouvait faire..de...

Elle se pinca un peu la lèvre inférieur.

-Muté?

Dit-elle finalement comme une bombe que l'on largue comme sa sans raison apparente dans un champ d'essait ou sur une ville japonaise quelconque...

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La bombe ne manqua point sa cible. La raison entière de l'inquisiteur faillit être désintégré juste à pensé à cette idée affreuse. En temps normal, il aurrait probablement frapper en plein visage la personne qui aurrait pu dire cela. Mais pour certaines raisons, la conception de faire du mal à Ophélia était presque impensable dans son esprit. Comme preuve, il n'avait point réagit quand celle-ci se mit proche de lui, n'avait point bougé quand celle-ci lui enleva son demi-masque, révélant son nez et sa bouche qui allait parfaite avec ses yeux cernés et son teint pâle.

À la place de se fâcher, il ne fit que regarder la mutante plus tendrement dans les yeux, ouvrant tout son âme à elle.

- L'idée que je sois en train de muté est une option envisageable. Mais ça me surprendrait puisque je porte toujours mes sceaux de protection et de pureté. Mais tu veux que je sois franc avec toi?

À ses mots, il posa une de ses mains sur celle de la mutante. Ophélia pouvait sentir que cette main tremblait légèrement.

- Dans les deux cas ça ne change rien, je suis condamné.

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- Tu es condamné du moment ou tu te condamne. Tu n'es pas mort tant que tu n'as pas pousser ton dernier soupire Matiel tu m'entend! Tu as été lâche toute ta vie à te cacher derrière un idéal qui s'éffrite sous tes pieds, mais se soir Matiel aujourd'hui demain et le smois à venir apprend. Apprend à devenir fort, réellement fort, courageux et noble Matiel. Ce n'est pas parce que ton humanité te quitte que tu ne peux pas être bien Matiel. Ne fais pas se que tu as traquer toute ta vie Matiel... SI je t'ai donne rune seule fois raison lors de nos dénat c'était sur l'obligation et se que défendait l'inquisition.

Elle passa sa main sous son menton et releva celui-ci pour croisé son regard.

- Matiel si tu te résigne tu tombera dans l'appatie qui te dégoute tant chez la plus part des mutants. Cette appatie même que je ne vis pas et qui ta destabilisé la première fois ou on s'est croisé. Bat toi Matiel, même si c'est vain, c'est se qui te gardera en vie Matiel. C'est la toute ton humanité. Tes sceaux Matiel ne peuvent rien aucun scientifique n'a trouver de remède pour empècher les mutations tu le sais bien.

Avec la plus grande des douceur Ophélia serra les mains de l'inquisiteur face à elle.

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À cette déclaration, Matiel eu les yeux écarquillés, son esprit allait maintenant dans un autre univers, comme quelque'un qui venait de recevoir une révélation. Il revoyait en boucle les monstres, lesvrais, qu'ils avaient térassé dans sa carrière. Il se rappellait maintenant à quel point ils étaient ideux, sauvages et sadiques. Ils ne vivaient sas acun but précis si ce n'était que de survivre et de s'attaquer à tout ce qu'ils voient. L'inquisiteur se rendait compte que c'était ce qu'il état en train de devenir lui même, interieurement, ni plus ni moin.

Une fois cette révélation passé, le dégoût qu'il avait fut effacé par la douce chaleure des mains d'Ophélia, la seul personne dans ce foutu disctrict qui s'efforçait de le comprendre, la seul personne qui était capable de voir le bien dans tout le mal qu'il faisait. Il serra donc ses mains encore plus forts afin de renforcir le contact et fini par répondre.

- Je... je me batterais... pour mon humanité et pour toi Ophélia... Je ne sais juste pas par où commencer.

La froideur de ses yeux avait depuis longtemps disparue, n'importe qui pouvait maintenant clairement voir les sentiments de trsitesse et d'espoir, ceux d'un homme ordinnaire.

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toujours le regard poser dans celui de l,inquisiteur Ophélia glissa la main qu'elle avait placé sous son menton sur sa joue avant de la laisser retomber sur l'avant bras de l'homme. Elle se trouvait a présent à genoux face à lui.

-Matiel, il faut que tu te battes pour toi avant tout pas pour moi. Même si d'entendre cela me flatte et me rend heureuse c'est pour toi que tu dois te battre avant tout pour ta conviction.

Elle lui retendit ensuite son masque avec douceur.

- Commence par te sondé toi-même. Ne te pardonne pas, mais assume se que tu as fais même les acte les plus terrible. Pas de pitié, pas de pardon , mais l'acceptation tu peux avoir des remord, mais aucun regret. Se que tu as fais tu l'a fais le passé est passé maintenant regarde l'avenir le combat s'annonce rude. Cependant tu n'a pas le droit de perdre rentre bien sa dans ton crâne.

lui dit-elle en venant tapotter l'un de ces tempes de son doigt.

-Tu es l'inquisiteur Matiel un homme de droiture! Tu ne connaîtra point le déchéence! Tu ne perdra pas foi en ta mission qu'elle soit divine ou non! Et tu changera se monde et le tien! Tu entend?!

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La figure de Matiel se raidit soudainement, il venait de reprendre son sérieux. Mais ce n'était pas ce sérieux habituel froid et détaché psychologiquement. Il s'agissait d'un sérieux remplis de détermination et de conviction. Une atitude souvent donné aux héros épiques de compte du passé. Encore une nouvelle émotion pour l'inquisiteur. Il agripa le masque à gaz de sa main droitre, mais sans le remettre. Il placa alors son autre main sur la joue de la mutante. Un long silence s'instala anvant d'être prisé par sa réponse.

- D'accord, je vais changer ce monde, en commençant par le mien. J'apporterais lumière et justice dans ce monde de déchéance, tu as ma parole.

Un autre silence. Matiel fit glissé gentiment sa main de la joue de la mutante pour ateindre l'arrière de sa tête. Puis doucement, il déposa un baisé sur ses cheveux blancs.

Déjà qu'il risquait sa carrière avec les rencontres qu'il avait avec Ophélia, l'inquisiteur se serait retrouvé sur le bûché en un rien de temps juste pour cet acte.


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La mutante sourit au parole de l'inquisiteur. Au tréford de son âme elle espérait et fondait ses espoirs dans l'homme qu'était Matiel. Pour la mutante lui seul était la clé de la rédemption. Il avait connu l'enfer et il l'avait attisé alors il en connaissait tout à présent il était armé pour le combattre et éteindre le brassier. C'était son chemin de croix à présent.

QUand l'inquisiteur vient poser un chaste baiser sur la tête d'ophélia la mutante ne sut pas trop que faire. Visiblement elle fut décontenancer et désarconner elle eut un petit sourire nerveux et mal à l'aise. Elle détailla Matiel longuement avant de reprendre la parole.

- Le destin t'a mener sur mon chemin pour sa et le destin ma mise sur ton chemin pour sa. Souviens toi Matiel que se sont les petits gestes qui crééront les grands mouvements.

Elle se releva doucement.

-reprend l,enregistreuse j'ai fais tout se que je pouvais faire pour toi à se propos et je te conseil de rentré à présent.
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Matiel hocha de la tête afin de confirmé la proposition d'Ophélia. Il libéra alors sa main de la tête de la mutante quand celle-ci se leva. Il se concentra ensuite à défaire la sangle de son demi-masque à gaz avant de le remettre sur son visage. Il se releva doucement à son tour en reprenant l'enregistrement en main avant de le ranger précieusement dans sa poche.

- Merci, merci pour tout Ophélia.

Ce fut la dernière phrase avant que l'inquisiteur se dirige vers la porte de sorti. Une hésitation soudaine imerga en lui, comme s'il ne voulait plus sortir de l'appartement. Après deux secondes, Matiel secoua la tête et se libéra de cette hésitation, prêt à faire face de nouveau à ce monde et ses responsabilités.

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