Cfft le dernier commencement
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Cfft le dernier commencement

dans un monde post-apocalyptique l'ordre ne règne que dans le district 6 !
 
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 un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2

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Dm Narrateur
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un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2 Empty
MessageSujet: un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2   un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2 Icon_minitimeSam 8 Juin - 23:12:50

Une autre journée de travail venait de se terminer pour Matiel. Comme à son habitude, quand les choses furent trop stressante, il allait se décontracter dans un endroit autre que chez lui.

C'est donc dans un bar quelquonque que l'Inquisiteur se retrouva à boir... encore seule. Il ne juissait pas d'une grande compagnie dans son cotidien. Félias voulait invité deux de ses Dévots à prendre un verre, mais les deux étaient déjà parti en mission. Sinon, y'avait personne d'autre, tout simplement.

Assis en fasse d'une table, il contempla son verre remplis de Wisky et essaya de trouver des bons sujets à discuter avec soit même.

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La petite clochette du bar tinta pour signifier l'entré d'une nouvelle personne. Passant la tête puis son corps à sa suite ophélia entra dans l'établissement avec son habituelle sourire. La mutante salua le barman en s'approchant du comptoire. Ce soir elle avait révétue un pantalon de jean noir moulant et une camisole de dentelle mauve foncé et noir avec quelque broderie argenté. Sur ces cornes était agencé des ruban mauve et argenté ajouté à cela ces bijoux argenté laissant pendre petit coquillage de nacre blanc.

Comment sa va?

Dit-elle au barman une fois assise sur le haut tabouret.

Sa va comme sa peut dans le district ma jolie Fée.

Rho soit pas rabat-joie tu me sers un truc?

Tu veux quoi?

Oaufff... je sais pas trop un truc sucré, mais pas trop fort

un abricot brandy sour?

va pour ça si tu ajoute de la grenadine s'il te plaît.

Le barman hocha de la tête et commença à mixé. Ophélia se tourna dos au bar pour regarder l'intérieur du batiment et les personne présente. Le bar n'était pas encore bien remplit et la nuit ne venait que de s'installer. Un couple de zoomorphe félin se trouvait au fond de la salle sur une des seul banquette, plusieur homme était a une table et jouait au carte..surement du poker un texasholden très certainement. Un mutant servait de videur et le barman qui était un homme dans la fin 30ène.

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Au bruit de la clochette, Matiel releva la tête pour voir qui venait de rentrer. Évidament, c'était loin d'être un évènement exceptionel, beaucoup de personne était rentrée dans ce bar après lui. Mais puisqu'il n'avait rien à faire de plus important, il se laissa pousser par sa curiosité.

Félias fut surpris de voir qui venait de rentrer. De tous les mutants, zoomorphes et autres créatures inidentifiables qu'il avait du évaluer durant la semaine, s'il y en avait bien un à se souvenir, c'était bien cette Ophélia. Cette façon distingué de marcher, de s'habiller, tout ça était particulier chez elle.

Matiel continua de la suivre du regard, elle se dirigeait vers le comptoir. Elle semblait avoir une conversation avec le barman, surement pour commender à boir. Elle commença à inspecter les environs... Zut, elle a du le voir.

Matiel ne savait si elle le regardait ou elle ne faisait que regarder le coin où il était assis. Mais il ne fallait point se cacher, l'inquisiteur avait une bien meilleur estime de lui que pour ça. Il se redressa et la salua d'un signe de tête, s'était la moindre des choses, qu'elle l'est remarqué ou pas.

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Son regard accrocha sur l'homme qui la salua. Cela prit un petit moment avant qu'elle ne le reconnaisse et elle dut faire un effort surhumain pour ne pas grimacer et rendre le salut poliment. Bordel qu'est qui fou la cette inquisiteur percécuteur de malheure...Il boit un verre c'est certain...Il pourrait pas alle rle boire ailleurs...

Tien miss fée

Le mutante se retourna a demi pour prendre son verre et payer le barman en lui murmurant un truc. Celui-ci haussa simpement les épaules prennant un verre pour l'essuyer de son tablier.

Ah tien au fait j'ai ton chanvre et rapelle moi tu voulais du oublon ou du blé?

Oublon et merci pour le chanvre

La mutante sorti du sac qu'elle avait poser a ces côté deux bon sac ziplox remplit de plante qu'elle tendit au barman.

J'avais amener les deux au cas j'espère que tu en aura assez?

oh sa devrais faire l'affaire t'en fais pas.

Elle opina doucement avant de venir prendre la paille de son brevage jaune et rouge. Tirant un peu sur celle-ci pour faire monté le liquide elle eut un air pensif refermant consiencieusement le rabat de son sac.

Oh fait Ophé parait que t'as été malade vla deux jour? c'est vrai?

Plus ou moins je me suis simplement encore fait mordre et comme c'était du costaud j'ai du attendre que le malaise passe.

ah ouais...

Le barman eux un étrange malaise et s'abtint d'ajouter autre chose laissant la mutante siroter son verre.

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Matiel était encore intrigué par ce qui se passait avec le barman et la mutante. Il avait crue voir passer un sac remplis d'un produit inconnue. Probablement un médicament en rapport avec son emploie se dit-il. Peut importe, ce n'était pas de ses affaires, le contact était fait, il pouvait l'ignorer et se reconcentrer sur son verre... Mais où était-il?

Matiel jura entre ses dents, il avait du faire un faux mouvement pendant qu'il était distrait. Son brevage était maintenant tombé sur le sol et se répendant tranquillement. L'inquisiteur ne fit que soupirer et se releva, que pouvait-il faire d'autre. Il se dirigea vers un pas non chalant vers le bar man.

- Un autre verre s'il vous plait.

Déclara-t-il en déposant sans hésitation un billet sur la table. Il regarda l'homme s'activer et sélectionner une bouteille sur ses étagères. Matiel accota ses avants bras sur le bar et courba le dos afin d'être à la même hauteur que ceux qui étaient assis.

- Je ne pensais pas vous revoir si tôt madame.

Lui dit-il alors que ses yeux fixait vers le vide.

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Merde...Et moi je me serais passer de te revoir...Pensa Ophélia en une fraction de seconde en tournant son regard vers l'inquisiteur. Inconsciemment Ophélia passa un doigt sur son nouveau tatouage comme si celui-ci l'eut démanger. Il était placé juste un peu sous l'oreille gauche a la jonction de cou.

-Moi non plus bien franchement, je ne croyait pas que les inquisiteur buvait. Faites attention de ne pas tomber dans le vice du luxe.

Il y eut une certaine pique involontaire de la part d'Ophélia, mais tout de même présente. Les plans de sa soiré tranquille au bar à discuter de tout et de rien avec Mick était malheureusement peut-être tomber à l'eau. À son cou pendouillait se soit un petit éléphant argenté trompe relevé.

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Matiel essaya d'afficher un aire amusé, mais c'était presque impossible avec sa tête d'enterrement. Il laissa néamoins échapper souffle d'arrogance par ses narines.

- Ils ne font pas juste ça.

Dit-il en sortant de sa poche un cigar, afin d'illustrer son point. Félias le tappa deux fois sur le contoir pour être sûre que le tabac soit bien rentré

- Et je ne savais pas que les apothicaires faisait buisness avec les amateurs de bars.

Mick, l'avait probablement entandu, mais Matiel n'en n'avait rien à faire, le barman avait du travail de toute façon.

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Elle eut un rire.

-Buisness oui pour vendre du chanvre et du Oublon vous savez se que l'on fait avec ces plante une fois distillé?

Elle essayait de cacher son ironie car la réponse était flagrante et se voyait dans les bouteilles derrière Mick. Elle faisait pousser nombre de plante soit chez elel soit chez les poisonous alors des revenu supplémentaire et légal Ophélia ne crachait pas deçu.

-alors il fume également le cigare un petit luxe vous les aimez comment? Personnellement je préfère un mélange balancer de tabac qui donne un gout un peu végétal sec ou terreux.

Et oui une autre chose qu'elle connaissait tout se qui se fumait, se piquait ou se sniffait elle connaissait au moins un peu. Elle détailla la couleur du cigare et la bague de celui-ci pensive. Immitant l'homme de foi elle sortir de sa bourse un petit cigare fait un longeur et a l'odeur sucré. Visiblement il était fait main car rien n'indiquait sa provenance.

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Martiel se tourna le regard pour la première fois vers la mutante, il souleva un sourcis par l'intrigue alors qu'elle sortait elle aussi un rouleau de tabac. « Décidément, elle est pleine de surprise» se dit l'inquisiteur.

De sa main de libre, il sorti de son autre poche son briquet et le raprocha du cigare d'Ophélia. D'un coup de pouce, il fit sortir la flame de la boite de métal. Après une seconde, il saissa le contact et passa maintenant au sien. Parcontre cela lui pris trois reprise avant qu'il ne puisse reprendre la flame. Il n'avait jamais compris pourquoi, mais cela marchait toujours mieux avec les autres.

Voila maintenant que les deux étaient armée de leurs cigars. Une certaine tension semlbait avoir diminuer.

- Pour répondre à vos deux questions, je dois admettre que je ne connais absolument rien aux plantes. Je ne pourrais dire quelles herbes sont bonnes ou pas. Mais j'ai toujours ce présentiment naturel quand un cigar est bon ou pas. C'est une fumée que le corps ne veut même pas rejeterée. Elle va chercher la profondeur des poumons et aussitôt avoir ramasser le stresse au fond, ressort comme une tempête par la bouche.

Cette description lui donna une soudainne envis irésistible de fumer ce qu'il avait en main. Il plissa un peu les yeux et inspira tranquillement dans le cigar avant de tout ressortir dans un souffle prolongé et tranquille.

- Ça vous devez comprendre?

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-Plutôt oui

Répondit-elle en venant prendre une inspiration de son propre petit cigare. AH le gout elle ne s'en lassait jamais. Doux goût sucré de vanille velouté mélanger a un accent terreux de la terre fraîche celle disparue depuis des décennies sous les bombe et la folie.

Elle souffla 3 rond de fumé en passant à cette étrange nostalgie qui ne devait même pas être à elle. Gaia je t'entends chaque soir en me couchant et chaque matin en ouvrant les yeux. Je sais que ces toi qui me protège, mais qui ma maudit. Mon ange brisé ma terre brulé....

Ophélia tenait son cigarillo de manière désinvolte et extrêment féminine. Elle avait de réflexe croisé ces jambes l'une sur l'autre et s'était un peu redresser. Son habitude de vouloir plaire au regard était une tare autant qu'un atout pour la mutante qui détaillait du regard son interlocuteur de fortune...Tu parle d'une fortune pensa-t-elle même un peu sarcastique.

-Qu'est-ce qui mène un type comme vous à venir piqué une conversation avec une fille comme moi hein? Je dois avoir peur pour ma vie? ou bien je dois avoir peur d'être un outil?

Elle n'arrivait pas a être la plus respectable dans ces phrase lancé a l'inquisiteur non Ophélia n'y arrivait pas elle gardait toujours un petti ton bien condescendant ou digne mélanger a un brin d'amertume. C'était difficile pour elle de faire l'effort de connaître son voisin quand celui-ci condamnait chaque jours tout son être.

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À force de parler et de fumer, Matiel n'avait même pas remarqué que son verre venait d'être servit. Tout était parfait, il pouvait boire et fumer... Avec une mutante. Juste cette pensée sonnait un peu amer dans sa tête.

- Vous devez avoir peur, c'est ça l'essentiel, le reste c'est optionnel.

Matie s'interrompit pour prendre une gorgé.

- Mais pourtant, je me souviens que durant votre interrogatoire, vous ne sembliez pas en éprouver.

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Cette homme me dégoute... Il me répugne comment peut-on se dire homme de foi avec si peu de tolérence...Ophélia aurait eu le coeur au bord des lèvres si elle ne gardait pas son ton et sa posture tout à fait neutre.

-Vous ne me faites pas peur car je n'ai rien à me reprocher et je ne vous donnerai jamais la chance d'en douté.

Dit-elle en retournant son regard pour le figé dans celui de l'inquisiteur. Elle était brave la femme et déternimer a s'accrocher a ces conviction presque aussi fort qu'a la foi que pouvait avoir l'inquisiteur.

L-a seule chose qui me fasse réellement peur c'est le fanatisme aveuglant de certain.

Mick le barman avait arrêter ces affaires et regardait en coin avec une petite onze d'appréhension Ophélia qui elle restait toujours neutre ayant même lancer la dernière réplique avec un air tout à fais blazé et détaché retournant son regard comme si de rien n'était vers le mur devant elle. Tout cela en tirant une bouffer sur son cigare et l'expulsant dans un volupte de fumé accre à l'odeur sucré.

-Savez se qui devrait faire peur à un inquisiteur?

Ajouta t'elle en regardant toujours le mur avec ce ton blazé, mais légèrement mystérieux.

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Matiel confronta volontier le regard percant de la jeune mutante. S'il fallait qu'il se laisse abattre par ce genre de commentaire, cela ferrait longtemps qu'il ne serait plus inquisiteur. On lui reproché à maintes reprises ses métodes, on avait accusé ses convictions de fanatismes aveugle plus d'une fois et défendu les natures impurent des non humains. Mais il avait raison, c'était ça l'important. Il devait continuer d'avoir fois en ce qu'il faisait et défendre ses valeurs à n'importe quel moment.

Quand Ophelia brisa le contact visuel, Matiel se reconcentra lui aussi sur le bar en face de lui.

- J'ai déjà ma réponse à ça, mais il semblerait que vous ayez une hypothese, allez-y.

L'inquisiteur l'invita volontier à lui démontrer ce qu'elle croyait

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-Un mutant qui n'a pas peur de la mort.

Les douleurs qu'avait vécu Ophélia l'avait forgée. Celle-ci n'avait plus peur de la mort car après les long mois d'agonie ou elle l'avait supplié. Rien rien n'étais pire que cela pas même la mort.

-La mort est une délivrance et non un châtiment

dit-elle à voix basse en tirant une nouvelle bouffer de son cigare. Trop de mutant avait vu leur changement et les vivant aujourd'hi comme un fardeau et c'était transformé irrémédiablement en de pauvre âme en peine.

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Matiel ne fixait plus le bar, la mutante avait réussi à avoir toute son atention, toute sa concentration et toute son énergie social. Cette conversation commençait à tourner en débat plutôt intéressant, son mode venait de changer de passive à active. Maintenant l'inquisiteur état intéressé, il voulait savoir jusqu'où la folie d'Ophélia la porterait dans ses propos.

Il porta son cigare juste sous le menton et le releva, un écran de fumé naturel dançait devant ses yeux.

- Une délivrance?... J'ai toujours admirer la tenacité des non-humains à se croire courageux et au dessus de tout, alors qu'en faites, ils ne sont que dans le plus profond désespoire. Et je ne dois pas être le seule a en avoir peur, TOUT LE MONDE, devrait en avoir peur. Ceux qui sont destabilisés psychologiquement, détruit physiquement, remplis de radiation et qui n'ont plus rien à perdre, qui a-t-il de plus dangereux dans ce district? Avoir peur de l'inquisition, c'est un instinc naturel de survie. Quiconque qui est assez fou pour allez à l'encontre de ses loies n'a tout simplement plus aucune volonté de vivre. Et si la mort n'est pas un chatiment, alors j'en trouverais un plus terrible.

Il avait répond dans le plus grand calme, mais en maitant enfase sur plusieurs mots. Son but n'était point d'intimider la mutante, juste lui montrer que lui aussi avait des armes et du courage. Mais Matiel sentait venir les contrarguments, que c'était lui qui était plus dangereux, que c'était lui qui était fou. Combien de fois l'avait-il entandu celle là?

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Elle eut un rire un nouveau un peu plus franc, mais bien cynique.

le faible connait la valeur de la force. Le mutant connait la valeur de la vie pour avoir cru la perdre, en est-il pour autant attacher à présent...

Elle laissa plané cette phrase laissant à l'Inquisiteur le soin de le terminer à son bon vouloir au fond de son crâne. La réponse était propre à chaque individue, si Ophélia tenait à sa vie elle n'avait pas pour autant peur de mourir c'était un étrange paradoxe avec lequel la mutante vivait bien.

Vous croyez que sur se monde que nous avons nous même détruit nous avons encore notre place? Nous avons pourrie la terre par notre égo et celle-ci est tout aussi mutante que moi à présent. Et pour quoi? L'argent, le pouvoir... Une sorte de fanatisme certes non religieux, mais un fanatisme pareil... Mais le point n'est pas la... Tout les malheur de se monde on été créer par nous même...et la beauté dans tout

Elle prit une bouffer de cigare.

L'avenir est un long passer, car aujourd'hui vous faites la guerre aux miens frapper par la malédiction de nos ancêtre ironique?

Elle eut un sourire, un vrai ,un amuser retournant son regard vers l'inquisiteur. Un ange aurait sourit comme elle. Un doux croissant de lune sur un fond d'encre.

Vous croyez pouvoir surpasser la mort? La vanité n'est pas un autre pècher? pour sur vous t'apper dans les ailes de l'humilité la pauvre.

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Matiel fut plutôt surpris de la nature de la réponse. Il s'atendait plus à se qu'elle lui renvoit ses propos en pleine figure, suivit d'un paquet d'injures et après quoi, elle aurrait quitté la table en colère. Mais non, elle venait de rentrer dans son jeux, tout tournait encore sur la philosophie que chacun avait de ce monde.


- Je ne peux malheureusement nier les graves erreures que nous avons commisent. La radiation est l'incarnation du mal que nous avons créé. Mais notre espèce à existé pendant des milénaires, tant de choses ont été faites par nos mains. Et même sur le bords du précipice nous sommes encore là. Vous êtes en train de me dire qu'il faudrait tout abandonné, admettre la fin de notre race. C'est une réalité que je peux accepté, peu importe ce qui doit arrivé, nous devons nous battre pour un avenir meilleur. Sinon à quoi bon ces années d'histoires? Tout comme vous, la mort ne m'éfrait pas, mais le néant, la fin ultime, ça c'est quelque chose qui nous effrait juste à y penser.

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-vous n'avez pas répondu à ma dernière question malgré vos belle palabre. Vous croyez-vous vraiment plus puissant que la mort?

Elle prit son verre et vient pincé la paille entre ces lèvres pour boire une gorgé. Il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut point entendre ni pire aveugle que celui qui ne veut pas voir...Pensa la mutante avec ironie.

-Je crois qu'il faudrait surtout lâcher prise. Que vous lachiez prise vous nous nommez d'incarnation du mal? Je réfute c'est dire, nous n'incanons pas le mal, nous incarnon l'échec de l'homme sur sa propre nature. Ce n'est pas pour autant que nous devons être condamné sur quelque chose qui est en dehors de notre contrôle.

Ophélia s'arrêta quelque seconde pincant ces lèvres dans une moue pensive le regard toujours poser sur son interlocuteur.

-Chaque humain peu devenir un mutant vous compris. Le corps ne réagit pas de la même manière et la miriade de changement tous plus étrange les un que les autre. Vous parlerez que notre état amène la folie? Non se qui amène la folie c'est la persécution comme le renard traquer par les chiens lors d'une chasse de course.

Cette discutions tournait en rond, mais cela changeait de ne pas avoir de discutions du tout. L'inquisiteur était quelqu'un d'intelligent, peut-être un brin trop confiant, mais cela était bien égale pour Ophélia en se moment. Elle ne s'en laissait et laisserait pas imposer par personne.

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Matiel déposa son cigar sur le cendrier, il le laissa continuer à se racourcir naturel. Une fois que sa main était libérée, il fourra sa main entre la chemise qu'il portait et son long manteau de cuire. Il finit par trouver sa poche intérieur et en sortit un petit livre noire recouvert de symbole mystique. L'inquisiteur présenta la couverture à Ophelia.

- Je ne me crois pas plus puissant que la mort, mais je crois en quelque chose qui est au dessus de la mort. Cette antité est ma lumière dans le noire, mon salut dans ce monde de chaos. Et tant que je la suivrais, je serrais capable de vaincre tout ce qui ce trouve sur mon chemin.

D'un coup sec du poignet, il ouvrit le livre, et le plaça devant lui, mais il ne lit point, de toute façon, tout était écrit en latin. L'inquisiteur ferma les yeux et se mis à réciter avec le plus d'émotion ce passage.

- Il existe deux types d'hommes mauvais, ceux qui ont acceuillis le mal en eux à bras ouvert et ceux qui furent infecté malgrés eux. Les deux auront la même apparence, les mêmes problèmes et ne pourront être pardonné de leurs péchés commis en coséquence. Par la main droite de la la grande divinité, les deux seront détruits de corps. Malheureusement, l'un d'entre eux sera martir, pauvre victime d'une noirceure omniprésente. C'est un mal, mais qui doit être nécessaire pour la victoire du bien sur le mal, la divinité n'a aucune haine envers ses pauvres victimes, mais elle réclame le mal avant tout, que puisse un jour briller la lumière pour tous les coeurs sombres. Être de chaire, aillez crainte de la main droite, mais acceuillez la quand le temps viendra, que puisse revenir la lumière en vous.

Il referma le livre et réouvrit les yeux.

- Je suis tout à fait d'accord avec ce que vous venez de dire, mais...7

Il eu de la misère à finir cette phrase et sombra dans le silence.

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Ophélia porta son regard sur le livre tout au long de la litanie du cultiste. Bien qu'il fut en latin le livre l'intéressait grandement. Pas pour le contennue intégrale, mais pour la connaissance ajouté qu'elle pourrait avoir. Tout les sujet l'intéressait, de la science en passant par la théologie.

L'hésitatoin de l'inquisiteur a terminer son monologue surpris visiblement la mutante qui fronça légèrement les sourcils peu après suspicieuse. Lui tendait-il un piège.

-Mais quoi? J'ai été franche depuis le début voilà votre tour.

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La suite semblait si dure à sortir. Matiel sentait qu'il s'appretait à parler des seules doutes qu'il avait sur sa carrière. Un soupir s'échapa de sa bouche et son front était plissé. Il serra fermement son verre de Wisky et bue tout cul sec avant de le redéposer violament sur la table.

- Mais même si j'étais dans l'erreur, qu'il n'y avait eu que des inoscants de mort et que l'inquisition ne faisait qu'allimenter les feux de la violence. Supposon que tout cela était vraie, il faut quand même continuer. Sinon, les gens viendraient à tout simplement tomber dans l'apatie, accepter la nature diforme des non-humains. Par la suite, on finirait par accepter la présence du mal... Bon, appelons ça radiation, on finirait par accepter la radiation dans nos corps, nous laissez corrompre physiquement. Par conséquent, nous détourner de la grande divinité, notre seul soutient ici. Et alors... Que serions-nous, tous mutants, paria délessé dans cette enfer? Non, l'inquisition est là pour ça, nous sommes le bras droit de cette sainte lumière.

Matiel se surprenait lui même à être si honnête, surtout en présence d'une mutante

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Elle eut un petit moment de latence. Non pas que se que l'homme avait dit la frapait dans ces convictions...quoi que sa vision n'était pas fausse et c'était la grande raison du pourquoi elle n'était pas des mutant qui voulais se sauver de l'inquisition ou la détestait profondément. Son regard qui se trouvait dure est neutre changae légèrement. L'homme devant elle était finalement humain et cela rassurait sur un certain point Ophélia. La mutante se surprit même à offrit a l'inquisiteur un sourire empathique et franc.

Que répondre pour la mutante en se moment l'inquisiteur n'avait n'y tord n'i raison.

Je ...comprend...

La mutante avait l'impresison de marcher sur des oeufs. Par parce qu'elle voulait gagner cette joute verbale non parce que la discution glissait vers les nouveau tabou de cette société.

Même si je n'approuve pas toute les méthodes. La visé de prévenir l'humanité et de tenté de la sauvegarder dans son intégrité physique et psychique est louable et c'est pour cela que vous m'avez vu dans vos bureau sans rancoeur, haine ou colère.

Cependant le nombre de mort que vous avez aussi fait... C'est se que je nommais fanatisme. Certain mutant n'attende qu'un chose qu'on leurs donne un but pour se raccrocher à leur humanité au lieu de sombrer dans cette espèce de No man's land apathique qui les plonge finalement dans une folie que nous connaissons tout deux.

Elle fit un pause sa main tremblait légèrement sur le bois dont plus grand chose du vernis original ne tenait. La mutante regardait sa main car le sujet la touchait et elle avait tendance a trembler légèrement au lieux peut-être de voir ces yeux s'humidifier ou la colère créer une grimace sur son visage. Cependant elle n'était pas en colère une tristesse c'était installer en elle. Pas envers quelqu'un en particulier..ou en fait oui...Ai-je pitié pour cette homme? Ai-je pitiée de sa vie et de son devoir...

Sa main qui tenait son cigare le déposa dans le même cendrier et se posa sur la première pour arrêter le presque imperceptible tremblement. Avant qu'elle ne se relève pour venir replacer une de ces mèches de neige derrière son oreilles et venir à nouveau plonger son regard ambré et légèrement doré se soir dans celui de l'inquisiteur.

Un regard qui n'était plus dégouté simplement désoler et réellement désoler comme si elle lui offrait simplement sa sollicitude ayant un égard pour lui. Ce régard était innocent dénué de toute avidité. Il était simplement pur de tout ''mauvais'' sentiment.

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Matiel se sentait hypnotisé par ce regard doux, son dégout pour ces yeux dorés venait subitement de se transformer en atirance. Ce n'était pour aucune raison d'estétique, c'est juste que personne ne l'avait regardé ainsi auparavant, c'était comme si on voulait l'aidé à supporter la lourde charge qu'il avait sur les épaules.

- Il est aussi écrit, « il est idiot de vouloir écouter quelqu'un qui ne veut point t'écouter.» Voilà pourquoi je n'ai jamais discuté avec un mutant au paravant. Je doit me confesser, vous êtes une personne fascinante. Malgrés vos mutations, vous avez su gardé votre apparence humaine, votre sanité, votre dignité, tout est intact chez vous. Et malgrés nos réalités qui nous séparent, vous arrivez à faire le pont entre. Je dois avoué que vous êtes le pire adversaire que j'ai rencontré... et le meilleur. Peut-être que si nous étions dans une autre vie, on aurrait pu...

Matiel perdit l'équilibre de son coude sur le contoir, sa figure avait presque renversé sur son verre, peut-être avait-il trop but de wisky?

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La mutante eut un petit sourire gènée. Était-elle toucher du compliment que venait de lui faire l'inquisiteur oui totalement. Cependant au fond de son coeur elle restait un animal farouche qui malgré tout sa gentillesse se gardait une pudeur protectrice envers les sentiment démontré par Matiel. Comment juré qu'il était totalement franc? Rien et la confiance chez Ophélia se gagnait.

-Le pire et le meilleurs

ne put-elle que répèter amuser avant que son compagnon de bar ne manque se fendre le crâne contre le comptoire du bar. D'instinct Ophélia tente de le rattraper posant une main sur son épaule et l'autre au niveau de son torse. Geste vain car s'il avait eu a tomber il l'aurait écraser ou l'aurait emporté dans sa chute la force de la mutante étant si déficiente.

-sa va aller?

Dit-elle un brin inquiète. L'alcool ne pouvait as avoir causer se malaise moins qu'il est but beaucoup avant et ce n'était pas le cas autrement la conversation aurait été bien différente. La mutante inspecta l'inquisiteur pour s'assurer de quelque chose passant une main dans le cou de celui-ci sans s'expliquer.

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Matiel sentit un malaise au niveau de sa poitrine, sa respiration augmentait malgré lui. Par réflexe, il compressa sa main sur la zone où il sentait ses nerfs se tordent. La douleure était vive et le força à fermer les yeux de toutes ces forces et de grimacer. Au bout de trois seconde, le tout était passé, l'inquisteur recommençait à mieux respiré et à se décontracter. Un dernier supir de soulage, et il revint à lui. C'est là qu'il sentit la présence de la main d'Ophélia.

- Ça va, excusez-moi.

Félias semblait soudainement un peu plus énervé, il agripa son chapeau à bout de bras.

- Peut-être que je devrais y allez, je ne voudrais pas vous causer d'ennuie.

Il fit quelque signe de tête à l'opposé du bar pour indiqué ceux qui étaient aux tables voisines. Ces curieux les fixèrent et chuchotèrent frénétiquement entre eux. Notament les mutants qui se demandaient qu'est ce qui à bien pu poussé Ophélia à lui parler et le touché. Matiel n'avait que faire des opinions qu'ils avaient sur lui, mais peut-être qu'Ophélia en connaissait parmis eux. Il ne voulait certainement pas que cette discution lui cause problème.

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Ophélia fronça un peu les sourcils non pas par colère, mais par inquiétude. Cette homme avait environs la quarantaine et aucune mutation... C'était certes peu courant, mais tout de même assez fréquent. Cependant elle espérait pour lui que ce malaise n'était pas le prémisse d'autre chose.

-Me causer des ennuit?

Elle eut un fort rire sarcastique qui semblait visé bien plus les curieux que l'inquisiteur lui-même. Ophélia se foutait bien du regard des autre en se moment elle ne laissait diriger sa vie que par elle seule. Et les peux de gens qui avait vraiment tenté de lui chercher des poux avait finit par se retrouver bien des malaise de santé tout d'un coup.

Elle eut un regard de défi vers les gens attablé particulièrement les zoomorphe et les mutant puis approcha un peu sa tête de l'homme pour lui murmurer

-Vous ne me causez et causerez aucun ennuit, les miens me connaisse assez bien pour savoir ne pas me chercher au risque très désagréable de faire l'expérience de bien des malaises.

Se ton était sans équivoque celui d'une femme qui ne s'en laissait imposer par personne. Il était froid et perçant comme la glace ne laissant pas le moindre doute sur la véracité de ces dires.

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Matiel s'était suffisament regardez de fois dans le miroir pour savoir que ce regard était sincère et libre de doute. C'est donc qu'elle n'avait pas grand chose à craindre, non, même pas l'inquisition. Et visiblement, juste à voir les curieux se concentrer à nouveau à leurs tables, elle ne mentait point.

- Vous sembles avoir un côté froid vous aussi, c'est très bien. Ces gens doivent voir cette force caracthère en vous, ce genre de confiance doit venir de quelque part. Seriez-vous influente dans votre domaine?

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Elle eut un petit moment d'hésitation. Se mouillé à lui dire un peu plus d'information sur elle. Sachant que de toute manière ou elle pouvait avoir un brin d’influence l'inquisiteur ne pourrait jamais y aller. C'était bien connu un inquisiteur qui mettait les pieds dans le quartier mercenaire avec en plus tout ces insignes il se ferait tuer. Les mercenaire avait une grande animosité envers l’inquisition et la plus par des guilde n'était pas tendre avec les inquisiteurs sur leurs territoires.

-Plus ou moins... C'est plutôt compliqué et pas contre vous mais ça ne vous concerne pas si vous tenez à garder votre tête sur votre tête.

A c'est mot elle rebroussa légèrement le haut d'un de ces grands gants dévoilant simplement l'insigne des Poisonous. Autre l'insigne l'inquisiteur pu voir l'une des taches plus pâle et décoloré causer par la morsure d'un de ces serpent.

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- Par tous les saints…

Ne put s’empêché de murmurer Matiel. Il avait déjà vu ce signe quelque part. Le commissaire de police lui avait montré une fois, il lui avait aussi dit de se tenir loin de ça. Malgré que les poisonus ne faisait que du commerce, ils causaient les morts des plus subites et atroce. Et leurs savoirs en la matière n’étaient pas à envier. Mais c’était la première fois que Matiel en rencontrait un en vraie.

- Je vois que votre métier d’apothicaire à plusieurs aspects.

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Ophélia eut un petit rire amusé. Un homme aguérit à tuer et traquer avait donc une crainte de cette insigne c'était un brin intéressant à savoir. Était-ce vraiment de la crainte ou de la suprise? Dans tout les cas la petite insigne lui avait fais de l'effet.

-Ne les réveillé pas ils dorment en paix voyont.

Dit-elle sur un ton légèrement moqueur, mais surtout taquin.

-Un apothicaire est un apothicaire on connait les plantes u on ne les connait pas mon cher inquisiteur. Que leur effet soit bénéfique ou malsain. Ce ne sont que des outils comme votre arme à feu ou un couteau. C'est la main qui les vend qui sait se qu'ils feront.

Elle repris son cigare qui était à présent brûler de moitié. La mutante en tira une bouffer.

-J'ai un grande préférence pour les anti poison et les remèdes cependant. Même si j'aime bien créer d'autre chose comme ce cigare.

Et oui il était de fabrication maison et bien conçue par déçu le marcher.

_____________

Matiel entrouvit son manteau rien qu'un peu. D'après l'angle que se trouvait Ophélia, elle pouvait voir un 9mm attaché à la bretelle de sa chemise par une bandouillère. Puis il la referma délicatement.

- Du temps que j'étais dévot, j'ai souvent été impliqué dans les combats d'armes à feu. Le sentiment d'avoir une arme braqué sur vous est fort déplaisant, ça je vous le confirme. Le seule avantage je vous dirais, c'est qu'on peu s'imaginer le pire. Ne serait-ce qu'une fraction de seconde on peut se préparer à la mort, faire une courte prière même. Mais le poison est si subtile. La mort vient subitement, sans que personne ne s'y atend, on meurt sans comprendre pourquoi. Ça peut-être à cause d'une tasse à café, une soupe...

Matiel fixa son verre du coin de l'oeille.

- Voir même dans un verre de wisky, S'il fallait que je meurs à cause de la chose que j'aime le mieux boire...

_________________

S'il dévoilait son arme Ophélia en retour et au fil des dire de l'inquisiteur hocha simplement la tête. Elle n'avait pas particulièrement peur de l'arme dans son étuit.

-Sur que n'importe quel empoisonneur apprend a connaître sa victime et son passer maître dans la manipulation. On a peur des armes, mais l'on n'a peur des poison qu'au moment ou il est trop tard. Moins de risque qu'un combat, peut-être plus lâche aussi...

Elle fut pensive un moment. La mutante n'en utilisait que rarement même si elle avait été la proie de nombreuses toxines. Ces petit protégés lui servait surtout à la décoction de plusieurs sérum anti-toxine ou encore à faire un ajout à ces drogue. Et même à certain dose infime les toxines faisait d'excellent remède à certain maux courant.

-Mais vous en faites pas il n'y a rien dans votre verre... du moins pour le moment.

Plaisanta-t-elle.

-De toute manière je traînes toujours un anti poison

Elle montra a sa ceinture une petite étuit de cuir noire ronde avec un petit clip de métal en laiton.

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- Pratique, je n'ai point d'équivalence pour mon arme...

Acquiessa Matiel en fixant la ceinture de cuire. L'idée qu'on avait empoisonné son verre lui était passé par la tête, c'est pour cela qu'il demandait qu'on le serve toujours devant ses yeux. Une fois servit, il s'arrangeait pour avoir son verre le plus proche de lui. Ce qui causait bien souvant des accent comme tout à l'heure.

- Je ne puis vous blamer, il m'arrive d'en avoir recourt dans mes opérations secrètes. L'important c'est que vous ne dépassiez pas le stade de la vente. L'utiliser sur un humain encoure plusieurs peines, mais en général, ça se résume par la mort...

L'intention n'était point de l'intimidé, de toutes façon ça ne marchait, l'inquisiteur voulait juste la prévenir.

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Vous ne m'apprenez rien la plus part de se que l'on peut faire de mal à pour peine la mort.

Cette réplique était un brin sarcastique, mais beaucoup moins accerbe qu'au début de la conversation avec l'inquisiteur. Elle était bien au courant des différente règle et ''loi'' passer par l'inquisition. Celle qui était la plus crainte était l'Anathèma Hérética ou en sommes l'exécution sommaire d'un mutant ou d'un zoomorphe.

-Votre bon vieux Anathèma Hérética ou Anathème Hérétique si on revient au français d'aujourd'hui. Drôle tout de même puisque se sont deux synonime placé l'un devant l'autre. Sa manque un peu d'originalité.

dit-elle en ayant un énième sourire en coin mi ironique mi amusé.

-Vous en avez déjà décrété en temps qu'inquisiteur?

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- Scis about Latini, speciosus! ( Vous savez parler le latin, impretionnant) Mais il est un peu dure de faire la traduction exacte de cette langue.

L'inquisiteur du prendre un moment pour réfléchir à la complexité de la question, car ce therme avait multiples signitications significations. Il se dit que c'était le parfait moment pour prendre le temps de gouté à son cigar qui touchait à sa fin. Une fois la grande fumé sorti de ses poumons, il commença son élaboration.

- Anathèma Hérética... La solution ultime de l'inquisition. Le commun des mortels pensent que l'on utilise ce therme à chaque fois que l'on exécute quelqu'un publique, mais c'est pas tout à fait exacte. On a un code de procédure avant de condamner un non humain à mort, le système de marcage en fait parti. Mais il arrive de temps en temps qu'un non-humain passe à traver les mailles du fillets, un dangé incontrolable que l'on ne peut justifier. Dans ce cas, un assassina en règle est toujours une bon moyen de régler la situation. Mais quand viendrait le scénario où le danger est trop grand même pour ça, c'est là qu'on a recourt à la solution la plus radical. Les gens pensent que Anathèma Hérética n'est qu'une simple mise à mort, mais ça va beaucoup plus loin que ça, c'est le retrait total de tous droits d'une personne, en plus de le déclarer comme un ennemie du district. Si je voudrais, avec ça, je pourrais torturer quelqu'un pendant 10 ans et le jeter en pature aux chiens pour une simple histoire de vérue sur le front.

Matiel pris une courte pause pour boire dans son verre.

- Pour répondre à votre question, je ne l'ai utilisé qu'une fois, ce fut un vrai bain de sang.

Félias semblait tout d'un coup beaucoup plus sombre et sévère qu'il ne l'était il y a 20 secondes.

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I speak in english, en françait en latin et en arabe ancien ou mieux connue sous le nom d'hébreux.

Elle eut un petit sourire fière. Ces langues la mutante avait passer de longue heure à les apprendres à la sueur de son front et au découragement passager du a une frustation. Cependant le sinformation qu'elle avait pu tiré des livres valait largement la peine.

La mutante écouta l'inquisiteur en fumant son cigare. Elle vient jouer un peu dans ces cheveux pendant que l'inquisiteur l'insturisait sur le muthe qu'était devenue au saint de la communauté non humain ces deux mots horrifiant. C'est en comprenant quelque chose que l'on apprend à ne plus en avoir peur se dit la mutante bien qu'elle n'eut elle personnellement aucune crainte de l'inquisition. Son regard qui était redevenue simplement neutre redevient à nouveau compréhensif à la fin de l'explication.

Assumé avoir créer un bain de sang...Peu d,inquisiteur aurait dit cela ainsi d'après la mutante. L'homme devant elle était donc pleinement conscient de ces actes... était-ce un bine ou un mal...surement un peu des deux... Elle avança doucement sa main gantelé pour la poser sur l'avant bras de l'inquisiteur.

Je n'irais pas plus loin dans ma question je sens que se sujet vous affecte plus que vous ne le voudriez.

Elle eut un sourire franc qui se mua rapidement ces yeux roulèrent et se fermèrent. La mutante était entrain de s'évanouillir! Son corps s'affaisa et vient tomber du haut tabouret. Si l'inquisiteur ne rattrapait pas la femme celle-ci se fracasserait la tête contre le plancher de bois du bar.
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un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2 Empty
MessageSujet: Re: un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2   un homme, un verre, un peu de compagnie avec ça? 2 Icon_minitimeSam 8 Juin - 23:13:40

L'inquisiteur avec la mutante dans les mains put remarquer un certain tolé dans le hall des urgence de l'Hopital. Étrangement plusieurs mutant était coucher sur des civières certain plus affreux que d'autre, mais tous dans un état plutôt identique à Ophélia.

Un point en commun entre tout les mutants que pu faire rapidement l'inquisiteur au vu de ces connaissances fut que tous avait une difformité au niveau de la tête. La plus part étant des protubérance ou des déformation augmentant la masse crânienne. Coïncidence? Peut-être peut-être pas.

Une infirmière vient à la rencontre de l'inquisiteur.

-pas une autre... Désoler monsieur nous sommes débordé les médecins son TOUS occuper. On a des cas de mutant qui se sont évanouillit dans des escalier et on débouler 2 étage... et encore ce sont les plus chanceux... Est-elle blessée?

Demanda-telle en commença à inspecté la mutante toujours dans les bras de Matiel.

-Suivez moi il doit resté une civière dans le corridor à droite.

Elle fit signe de suivre et en passant a côté de 4 mutant ils arrivèrent à la civière vide placer dans le corridor. Tout les mutant semblait dans un état catatonique tous en vie, et pourtant presque mort au premier regard. Le respiration de la mutante avait également énormément diminuer pour n'êtres qu'un souffle presque imperceptible.

Ils sont tous dans cette état.. les premier cas son arriver il y a 20 minutes... Je vous amène un formulaire je ne crois pas qu'elle soit en danger pour l'heure... Pardonner nous ne pouvons faire plus pour le moment .

Puis elle quitta les deux personnes en direction du bureau de la secrétaire du hall des urgences. Le chaos était excessivement présent les infirmière courait dans tout les senses et un docteur passait de temps en temps de salle en salle. Il régnait une étrange panique contrôler de la par du personnel.

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« pas un autre!» Ces mots frapèrent de point fouet l'esprit de l'inquisiteur et son agrssivité commença à augmenter. Sa paranoïa commença à revenir. Il devait sagir d'un complot, voilà ce que c'était, juste une horrible situation monté de toute pièce pour voir jusqu'où il serait pret à allez pour une mutante. C'était surement ça. Fallait t-il qu'il sorte sa rosette et imposer son autorité, voir même décendre 5 mutantes pour faire de la place?

Finalement, le dénoument arriva, Matiel fut soulagé et suivit l'infirmière à travers ce chaos. C'est là qu'il prit conscience des points en commun qu'Ophélia avait avec eux. 20 minutes? C'était exactement le même temps qu'Ophélia venait de s'évanouïr. Que des mutants... Non, ça ne pouvait être une coinsidence. Matiel devait assister à un phénomène totallement hors de l'ordinaire. Voilà qui réveilla tous ses sens d'inquisiteurs en lui, l'adrénaline coulait à flot.

Il remercia l'infirmière et la regarda partir au pas de course. Il essaya de trouver un banc pour l'allonger, une fois cela fait il s'aprocha de sa bouche pour entandre sa respiration qui s'affaiblissait. L'inquisiteur commença alors à lui chuchoter des mots d'encouragement et la secouant doucement, que sa marche ou non, il ne pouvait se retenir de faire autrement.

En atendant l'infirmière avec le formulaire, il regarda une dernière fois le chaos autour de lui. «MAIS QU'EST CE QUI SE PASSE ICI!» se demanda t-il mentalement.

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L'infirmière revient avec une petit pad de bois et une feuille coincé sur celui-ci. Un crayon était attaché et elle le tendit à l'homme.

-Tenez ce ne devrait pas être long à remplire, mais ce sera utile pour nos archive. Nous tentons de savoir se qui c'est passer et chaque contrandu pourra nous aider grandement.

Elle n'eut qu'un petit sourire désoler et reparti rapidement pour s'affairer sur d'autre patient Ophélia n'était pas une priorité pour le moment puisqu’elle n'était que dans le coma.

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Matiel la remercia et pris le pad qu'on lui tendit. Dans un certain sens, il compatissait avec l'infermière, il savait très bien ce que c'était d'être soudainement débordé et dépassé par les évènements. Son métier d'inquisiteur lui demandait aussi de travailler avec énormément de paprasse, mais c'était quelque chose de nécessaire.

Il commença à écrir l'histoire banal qui s'était passé, l'alcool, la cigarette, il mensionna aussi quelques détails sur le sujet de la conversation. Puis il signa au bas de la page et déposa le formulaire sur ses genoux. Ce document allait probablement se retrouver parmis une montagne de papier, chose certaine, il allait bientôt mettre la main sur ces documents, cette situation méritait enquête.

Il gardait un oeil constant sur Ophélia, se tracassant une nouvelle fois pour sa santé. Sinon, il demanda à quelque passant du personnel s'il pouvait emprunter une radio dans les parages.

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Un cri se fit entendre dans le corridor et comme une vague d'autre le suivirent. Après moins de 10 minute passer a l'hôpital les mutant commençais a s'éveiller. Certain gueulait comme des damés, comme si un affreux cauchemar les avaient éveillé.

Un près de l'inquisiteur se leva d'un bon, mais tomba face contre terre car il en perdit l'équilibre. Il tourna son regard vers l'inquisiteur. Celui-ci ne laissait voir qu'une seule chose. La terreur, la plus grande des terreur.

Il se releva, mais retomba sur ces fesse en te voyant passant ces bras devant son visage et se recroquevillant d'une autre peur. Celle que tout inquisiteur pouvait faire ressentir au mutant. Visiblement le mutant reconnaissait l'homme et gégnait a présent à la base de sa civière.

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Ces cris firent sursauter l'inquisiteur, celui-ci bondit d'un bond de sa chaise et foura sa main dans son manteau afin d'agriper le manche de son 9mm. Matiel était sur ses gardes, pret à toute évantualité. Quand il comprit qu'il s'agissait des mutants, il enleva la main de son arme, mais resta sur sa vigile.

Il remarqua alors le mutant pret de lui entrain de gémir. Étrangement, Matiel ne se rappellait pas l'avoir vue dans sa vie, peut-être un parmis les nombreux qui furent évalué, ou peut-être à cause de tous ses symboles de l'ordo Justicar. Peut-importe, il avait besoin de lui parler.

L'inquisiteur le brassa au niveau des épaules et le forca à lever sa tête.

- Du calme, je ne suis point là pour vous juger. Racontez-moi ce qui c'est passé!

Lui ordonna Matiel en le regardant de haut.

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Ophélia pris une grande bouffé d'air comme si on l'eut plonger la tête sous l'eau durant un long moment. Elle ouvrit les yeux comme deux petit phare jaune tel un hibou ou une chouette. Sa main aggrippa le côté de la civière, tremblante.

La mutante se réveilla quelque seconde après son voisin. Ces yeux passèrent tout autour d'elle pour tenté de comprendre ou elle était. Rapidement elle remarqua l'inquisiteur et fut un brin étonner.

Ou suis-je?

Dit-elel en tentant de se relever doucement une main sur la tête visiblement une migraine semblait l'avoir assaillit.

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Le mutant gémit qu'un mot.

-néant...n...né...néant....

Il n'avait pas de sens et une infirmière approcha pour venir l'aider. Elle le rassit sur sa civière et lui donna une dose de tranquillisant. EN peu de temps le mutant agité l'était beaucoup moins bien qu'une terreur sourde se lisait toujours au font de ces yeux.

La dame vient s'occuper ensuite d'ophélia pour prendre son poux et regarder son état occulaire.

-vous êtes a l'hôpital dame...

Puis elle quitta pour s'occuper rapidement d,un autre mutant un peu plus loin laissant a nouveau matiel et Ophélia seul

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Néant? Qu'est ce que ce mutant voulais bien dire par là? C'était un mot d'une grande lourdeur, surtout pour quelqu'un qui venait de se réveiller. Et le brin de folie qu'il avait dans ses yeux avant de se rendormir n'affichait rien de bon.

C'est à se moment qu'il entandit derrière lui Ophélia se réveiller. L'inquisiteur soupira de soulagement et fit un cours remerciment à sa divinité, mais resta de dos pour essayé de point le faire paraître. Puis il se revira avec son aire froid habituel.

- Content de vous revoir saine et sauf miss O'Cunagan. Comment vous sentez-vous?

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La mutante eu un petit regard torve étonner de la galenterie de l'inquisiteur. S'inquétait-il réellement pour elle... Puis son cerveau se remit en marche...Je suis à l'hôpital...j'ai pas pu me rendre ici toute seule...Elle détailla l'inquisiteur du regard. M'a-t-il amene jusqu'ici?

-Je me sens comme si j'avais courrue le marathon en fait... j'ai mal partout et j'ai une migraine lancinante.

Elle ne dit pas qu'elle avait la bouche pateuse, qu'elle avait soif ou qu'elle avait une étrange peur au font du ventre. Un black out s'était tout se dont elle se rapellait... mais étrangement elle avait une étrange impression.

_________________

Parfait, Matiel avait réussi à briser la glace, peut-être pouvait-il s'aventurer un peu plus loin dans son interrogation.

- Vous vous êtes soudainement évanouïe après notre discution, pouvez-vous me dire qu'est ce qui vous est arrivé? Est-ce la première fois que ça vous arrive?

Il se dit que ce n'était vraiment pas le moment de prendre des notes.

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Elle eut une air pensif tentant de se souvenir de quelque chose. Cela dura une bonne minute avant qu'elle n'hoche la tête négativement. Avec un air plutôt désoler.

Ça ne m'est jamais arriver au par avant... du moins pas ainsi. IL y a longtemps il m'arrivait de tomber évanouillit, mais a cette époque je ne sortait pas de chez moi.

Elle pointa ces cornes pour complèter son explication. La mutante se disant qu'il serait capable de faire le rapprochement entre l'apparition de ces cornes et ces ancienne crise d'évanouissement.

Mais..dites vous m'avez vraiment amener jusqu'ici?

Un brin étonner , mais à la fois toucher.

_________________

Matiel garda son regard fixé sur les cornes, à méditer sur une explication, était-ce vraiment le lien de tout ça... Y'avait-il quelque chose de plus à comprendre?

C'est la question que lui posa Ophélia qui le ramena sur terre, et ce n'était point une réponse facile. Même l'inquisiteur avait de la misère à croire qu'il avait aidé une mutante.

- Je... je... je

Répétat-il sans cesse dans sa tête à la recherche d'une phrase clée pour le sortir de ses embaras. Il se racla la gorge et reprit du début.

- Je crois que vous devriez vous reposer miss O'Cunagan. Si vous voulez, je peux vous reconduir chez vous.

_________________

La mutante eux un sourire à peine voilé. Non pas qu'elle s'amusait des déboire de l'inquisiteur..même si intérieurement elle en tirait une certaine fièreté. Au contraire elle trouva que cela donnait un petite touche encore plus humaine au monstre qui devenait de plus en plus humain.

-Vous pouvez me reconduire jusqu'au quartier des mercenaires, mais je ne vous conseil pas de passer les limites...vu votre travail vous finirez la peau trouée en moins de deux. Cependant vous ne m'avez pas répondu vous m,avez amenez ici par la force de vos moyen et avez pris soin de moi pendant que j'étais évanouie?

La mutante voulait l'entendre dire oui. Elle y tenait ardament.

_________________

- J'ai participé à cet opération, en effet.

Ditil après avoir roulé sa langue sept fois dans sa bouche. Un « Oui» aurrait parfaitement résumé la situation, mais c'était trop dure pour son orgeuil démesuré de sortir ce simple mot. Hors cette phrase avait cet avantage de contourner ce problème. L'inquisiteur lui tendit alors la main, signe qu'il voulait aider Ophélia à se relever.

- Allons, il est temps que vous rentriez chez vous.

_________________

Elle eut un petit rire, mais sans plus. La réponse était satisfaisante alors elle prit la main tendu. Sa main était bien plus délicate et petite que celle de Matiel. Si l'homme l'avait voulu il pouvait aisément lui broyer la main.

merci

dit-elle une fois sorti de l'hopital ayant reçu son congé rapidement.

Finalement vous n'êtes pas si pire une fois que l'on vous connait un peu mieux. Vous êtes moins monstre aujourd'hui que je ne le voyais hier.

Elle commença a marcher avec l'homme vers le quartier mercenaire celui-ci plutôt central n'était qu'a environs 30 minute de marche environ. 20 pour la mutante qui connaissait quelque raccourcie plutôt pratique.

_________________

Cette marche se fit dans le silence pour Matiel. Les rues étaient tranquilles. À cette heure, plus personne ne marchait dehors d'habitude, c'était considéré trop dangereux. Mais l'inquisiteur avait une certaine armure avec son titre... tant qu'il restait proche du centre de commandement.

Alors que les ruelles sombres défilaient devant eux, Félias repensa à ce que venait de lui dire Ophélia, « moin monstre, plus humain» d'habitude, c'était ses thermes, ils employaient volontier pour différencier un humain d'un non humain. Mais ce soir, les deux se sont bien trop raproché, ça en faisait peur. Était-ce possible que l'inquisition et les mutants finissent par se comprendre mutuellement, probablement pas. Alors Matiel n'avait l'intention que de faire une exception, voilà la conclusion qui lui permettait de garder sa santée mental. Finalement, il arriva aux rues qu'il connaissait trop bien, sa profession l'empêchait cathérogiquement d'y rentrer, sa vie ne tenait pas à grand chose là.

- Bien, je crois que je vais vous laissez continuer seul à partir d'ici. Tâchez de prendre soin de vous miss O'Cunagan.

_________________

La mutante tenta bien de faire encore un peu la discutions, mais voyant ces tentative se soldé par des échecs tout aussi cuissant les un que les autre au bout de 10 minutes elle abandonna l'idée.

À la place elle chantonna de vieille chanson comme l'aigle noir ou la Bohème. Son regard se posa sur le ciel et la nuit dégagé. La lune presque pleine couvrait le district endormit d'une lueur opaline.

Une fois arrive rau limite de son quartier résidentiel et celui des mercenaires elle regarde une dernière fois l'inquisiteur le détaillant une dernière fois du regard. Sur plusieurs point aujourd'hui il l'avait grandement étonner et donnait espoire a la mutante que l'humanité n'étais finalement pas destiné à toujours se pourrir elle même.

- merci Bien monsieur l'inquisiteur. Prennez également soin de vous je crois que vous en avez plus besoin que moi.

Avant se de sauver la mutante d'un mouvement rapide vient lui embrasser la joue et se recula un peu pour voir la réaction avant de faire un salut théâtrale et quitter en tournant les talons.

- et prennez une matinée de repos je crois que vous en aurez aussi besoin

_________________



L'inquisiteur resta figé comme la pierre, ne montrant auncune expretion facial. Puis il clignat trois fois des yeux sous l'effet de la surprise. Il ne savait pas trop comment réagir à ce geste, son côté inquisiteur lui conseilla de l'abattre, son côté polis lui disait de lui en donner un aussi. Il resta donc neutre et se contenta de la saluer en retour. Matiel la regarda partir, puis tourna les talons pour se diriger vers son appartement en essayant de se résumer cette soirée.

Il avait aprécié sa soirée, c'est ce qui le surprenait le plus. En therme professionnel, il avait été bien trop loin, et ce sans remord. Il se rassura en se disant que ce devait-être l'effet de l'acool. Demain les choses s'arrangeraient, elle redeviendrait mutante et il redeviendrait inquisiteur. Pourtant cette pensée ne le réconfortait point...
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