Passé Go réclamer 200

Elle y était cette endroit maudit ou elle avait rencontré l'horrible, l'immonde inquisiteur Matiel... Presque un ans jour pour jour après son passage dans les locaux de l'ordo justicar pour son marquage Ophélia avait reçu une convocation du même personnage monstueux. Cette fois cependant elle c'était gardé d'y aller sous les condition de l'inquisiteur. Elle ne voulait plus lui donner de facilité, pas après ce qu'il avait fait Ophélia en avait trop souffert.

En regardant son reflet dans le miroire du bar elle eut un frisson de dégout. La mutante n'arrivait plus à se regarder en face tellement elle s'en voulait. Elle avait assisté à toute la scène du bucher percher sur un immeuble...elle ne c'était pas levé et s'en était un autre un plus vieux qui avait donner sa vie pour les plus jeuns geste bon et altruiste...Mais elle avait été répugné de voir ces femmes plus jeune ou plus vieille qu'elle et ces hommes plus vieux ou plus jeunes mourir sous les flammes pour n'avoir eut pour seul pècher celui d'existé. Elle se dégoutait de resté la à ne rien faire.

Et pourtant elle savait qu'elle n'avait pas encore jouer toute ses cartes qu'il y avait toujoursun espoir aussi infime soit-il elle devait l'arracher, gagné coute que coute et cela impliquait de danser avec le diable en personne.

Asisse sur son banc Ophélia portait une adorable robe de lin blanc immaculé lui arrêtant chastement au genoux. Le blanc faisait un adorable contraste avec sa peau d'ébène et ses cheveux de neige. Quelque petit coquillage rosé et nacré prendait avec quelque perle de ces corne de kératine. Un maquillage légèrement doré accentuait un regard ambré devenu lourd durant l'années, mais Ophélia se forçait toujours à sourire malgré tout.

Dans le bar il y avait clairement à la table la plus proche de l'entré 2 zoomorphe mercenaire appartenant au Silver Scale un Paon et un Chacal pendant qu'a une table tout près du bar un Androïde de génèse 2 et une humain des poisonous jouait au carte. Ophélia n'était pas encore assez téméraire pour ne pas savoir qu'a présent Matiel était flanquer de sbire et qu'elle aussi avait besoin de protection.


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La limousine noire s'arrêta devant le bar. L'inquisiteur en ressorti et fit signe au pilote de partir au plus vite avant que les ennuies ne surviennent.

Matiel se retourna alors et fixa l'entrée. Une seule soirée passé là, et déjà cet endroit lui rappellait tant de souvenirs... ses meilleurs souvenirs.... et ses pires. Matiel pris une grande respiration et trouva le courage de traverser la porte. Un lourd silence s'instala soudainement dans la salle, tous les regards se retournèrent vers lui, la pluspart remplis par la haine et la rencunne. L'inquisteur pouvait facilement identifier une dizaine de gros bras non humains se retenant pour ne pas lui faire la peau. Étrangement, ce n'était pas d'eux que Matiel avait le plus peur, mais bien de la personne qu'il devait rencontré.

Il repéra alors la mutante, assise au coin d'une table. Matiel pouvait reconnaitre ces cornes parmis mille. Il s'avança prudament vers la table et pris la chaise lui étant destiné. L'inquisiteur essaya de trouver quelque chose à dire, mais point de mots ne voulaient sortir de sa bouche. Il se contenta d'un hochement de tête, tout en fixant la table, il ne pouvait même pas la regarder dans les yeux, la honte était trop grande.

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Ophélia regarda la limousine noir arriver au dehors du bar et elle eut un petit rire de dégout que ces voisin purent distinctement entendre. Son regard se posa sur le zoomorphe paon et celui-ci lui retourna un sourire. C'était pathétique pensa la mutante son égo d,inquisiteur avait à se point grossit? Elle fit signe au barman de lui appoté un verre de Red devil.

Dès qu'il entra elle fixa ses yeux ambré lourd de jugement sur l'inquisiteur qui fit son chemin de croix entre les tables. Avant qu'il ne prenne la chaise elle la lui poussa vers lui dans un signe qu'il n'avait pas vraiment le choix de s'assoir. Ophélia avait prit de l'aplom depuis un an et elle semblait beaucoup moins douce qu'il n'y à un an peut-être l'an à devoir courir pour ne pas donner d'idée à l'inquisition de la passer sous le fil de leur lame?

- est au moins le courage de relever le regard devant moi Matiel.

lui dit-elle san spasser par quatre chemin comme si elle le connaisait depuis toujours et que son rang lui important pas plus qu'il ne le fallait.

- Est au moins foi en tes convictiosn et relève moi se regard et assume bordel!

Ajouta t'elle agressive et sèchement haussant un peu le ton pour que tout non humain puisse entendre et retourné le regard. Puis elle reprit sur un ton doux et faussement mieulleux.

- Tu as tout fais en connaissance de cause Matiel. Tu les as tous tuer pour des crimes qui n'était pas les leur et un innocent plus pur d'âme que toi a donner sa vie pour que les enfants soit épargné. Dit moi comment tu te regarde en face chaque soir et chaque matin et comment tu arrives à ne pas entendre leur cri pendant que les flammes les dévorait? L'enfer t'attend matiel et il n,est pas pavé de bonne intention les martyr rejoigne le paradi les bourreau eux bruleront en enfer pour l'éternité.

Elle se tut quelque seconde pour prendre une gorgé de son brevage alcoolosié et prendre dans son sac tout près un petit cigario qu'elle alluma.

- Tu dois être bien mal pris pour venir me quérir et affronté la seule mutante qui te tien tête et te trouble.


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- Ça va faire un an que j'ai pas réussi à avoir un someil réparateur.

Lui déclara Matiel toujours en fixant la table, ses yeux vides de vies. Sa voie était basse , pourtant les mots sortaient d'une profonde lourdeure.

- Ça va faire un an que je repense à cet évènement chaque jour et que je me regarde dans le miroir en me demandant ce que je suis devenue. Mais le miroir ne répond jamais, il ne fait que refletté mon visage. Triple cognac!

Déclara soudainement l'inquisiteur au barman qui sortie un verre sans aucune courtoisie envers le nouveau client. En temps normal, Matiel se serrait levé et aurrait affirmé son autorité. Mais pas cesoir, il l'ignora et se contentant de continuer.

- On m'a toujours appris quand j'était jeune que les non-humains n'avaient pas d'âmes, que c'était de simples bêtes assoiffé de sang imitant les sentiments humains pour mieux nous manipuler. Et même quand j'ai commencé ma carrière entant qu'inquisiteur, rien n'est venue contredir mon idée préconsu. Tu te rappelle bien du jour du marquage? Des centaines de non-humains faisant la file. J'en ai pas rencontré un seul dans ce tas qui c'est comporté humain avec moi. Tous m'ont regarder avec ces yeux de peur ou de colère animal... Tous sauf un.

Il releva soudainement sa tête pour plonger son regard dans celui d'ophélia. Mais son atitude venait soudainement de changer. Ses sourcils étaient froncés, ses yeux remplis d'une grande noirceur et ses mots remplis de mépris.

- Tu veux que je te dise la vérité, ça fait un an que je t'évite. J'espèrais jamais te revoir car à chaque fois que je te regarde dans les yeux, j'ai l'impretions de regarder le seul miroir qui me montre vraiment ce que je suis à l'interieur. Je maudit notre rencontre car soudainement tu as donner une âme à tous ceux que j'ai percécuté dans le passer. Ma fierté dans ce que je faisais vient de tomber, il me reste plus qu'un goût amer dans la bouche et un poid lourd sur les épaules.

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Ophélia regarda l'homme lui faire ses déclaration. Elle perdit son sourire bravache et sa grande fièreté faites pour créer entre elle et l,inquisiteur une barrière. La mutante posa simplement une main sur l'avant bras de Matiel.

Quand l'homme releva le regard pour le poser dans le sien en aucun cas Ophélia ne le détourna. En aucun moment elle ne lui donna tord et bougent sa pupille ambre plonger dans sa corné noircit par la mutation. La mutante offrit un regard toujours de compassion, toujours se regard qui pouvait hanté un être jusqu'au tréfond de son être. Ce regard qui ne pardonnait pas, mais qui voulait comprendre, et changer les choses. Ce regard qui tendait la main plutôt que de la morde pour terminé un cycle de violance.

- Il fallait que le destin vous envois un signe Matiel. Rien qu'un un tout petit. Je vous ai prévenu il y a un an Matiel, je vous l'avais dis que vous franchiriez le pointe de non retour. Et

Elle eut un petit soupire.

-Vous ne m'avez pas écouté.

ET elle soupira ensuite encore une fois.

- J'ai assisté au funéraille des familles et j'ai aidé à gravé les tombe des mutants, Annie Duschenaux mère de 2 enfant conjointe d'Edward Brondel. Alxis Rivard célibataire faisait vivre sa mère encore humaine, Joanie Mercier veuve laisse orphelin Anick Mercier, mais ne vous inquiété pas je l'ai prise la petite sous mon aile pour l'éduqué chez les poisonous. Vous vouliez la brûler elle aussi.

Puis elle revient elle aussi plus sombre.

-Matiel j'ai toujours dis et je le dis encore il n'est pas trop tard pour que vous soyez le changement et l'espoir de se monde qui ne demande que sa...

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Matiel eu un certain frisson en sentant la main d'Ophélia se poser sur son avant bras. Mais ce frisson se changea vite en chaleure interne qui vint déglacer son âme. Il se rappellait maintenant pourquoi Ophélia était l'une des rares personnes à qui il appréciait parler.

- Si cela ne dépendait que de moi.

Se mit à rire Matiel, un rire jaune et amer. Il se raprocha de la mutante et se mit à chuchotter pour s'assurer que les autres ne l'entandent pas.

- Je vous avais brièvement dit la dernière fois pourquoi je m'apprêtait à faire cela, je vous donne aujourd'hui toutes les explications. Après l'attaque qui a eu lieux sur la caserne Sanctum, L'inquisition toute entière fut convoqué à une réunion. Si seulement tu avais vu ça, toutes les plus grosses têtes et plus puissant de l'ordo... Tous avec une soif de vengeance. Ils réclamaient un bain de sang, une purge sistématique de tout non- humains afin de reprendre notre respect par la terreur. Par la suite, ils voulaient lancer une guerre contre ce nouveau groupe de rebelle, redoublant les loies raciales et plus de liberté d'exécution. Le funéraille que tu avais assisté devait être triste, mais si j'avais rien fait, t'aurrais eu deux milles noms à te souvenir. Mais si c'était juste ça, le district tout entier aurrait probablement sombré dans une guerre civile. Imagine ça, Militaire contre mercenaire, rebelle contre inquisiteur, humain contre mutant, morts et martyr. Et peu importe le vainqueur, Il ne restera plus rien.

Son verre arriva sur la table. Matiel avala une grosse gorgé sans même goûté au brevage.

- J'ai prévenu ça car j'ai proposé un piège constitué d'inoçants qui visait à coupé la tête de la rébellion et réinstorer la terreur. Une mesure accepté car elle prenait moin de ressource voilà tout... Est ce qu'on pourrait continuer la conversation dans un lieu plus privé dison?

Déclara Matiel en pointant du regard les non-humains prettant discretement l'oreille à leur discution.

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- Matiel c'est en commençant par nous que l'on peut changer le monde. Et vous voulez savoir comment je le sais.

Elle lui fit un sourire fière, mais surtout plein de certitude.

-Parce que si j'avais fais se que tout les miens font, si je ne vous avais pas tenu un peu tête et ne vous avait pas tendu une main pour arrêter la violence vous venez de me le dire tout aurait continuer. J'ai brisé la chaine Matiel et c'est chaque maillons qui brise qui relève un monde meilleurs Matiel, vous n,est pas qu'un simple inquisiteur aujourd'hui le regard des gens se tourne vers vous Matiel.

Puis la mutante regarda autour d'elle.

-hum vous savez ils sont ici pour ma survit. Je ne crois pas qu'ils me laissont partir toute seule avec vous. Ils veulent gardé un oeil sur moi. Même si j'ai...

Elle eut de la misère à le dire, mais ce fut dis avec sincérité.

-Confiance en vous Matiel eut non. Vous voyez le chacal a la tabel la bas? Vous avez brulé les parent de la femme qu'il aimait une belle zoomorphe canine je crois que c'était une louve... Elle c'est suicidé peu de temps après. Il la au travers de la gorge j'voulais pas qu'il vienne, mais le vieux diégo le paon voulait à tout pris son coéquipier. Je te propose deux alternatives. Sois on continue ici dans la ruelle à côté sois tu viens chez moi demain. C'est totu se que je peux faire pour toi désoler.

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À cette description, Matiel regarda le chacal assis au contoir, mais celui-ci avait déjà son regard sur l'inquisiteur depuis un moment. Qu'Ophélia ai dit la vérité sur son passé ou pas, Matiel pouvait facilement reconnaitre ce genre de regard meurtrier de quelq'un qui donnerait tout pour lui faire la peau. Il ne manquait juste une petite étincelle pour que cette bombe de rage explose et le réduise en bouillie.

Ne voulant pas rester plus longtemps, Matiel agrippa subitement la main d'Ophélia et y inséra quelque chose. Il s'agissait d'un enregistreur. Appareil venue d'avant l'apocalypse permettant de répéter une voie enregistré. Matiel se raprocha de la mutante et s'assura que personne d'autre ne puisse entandre.

- L'an dernier, grand nombre de mutant son tombé dans le coma. La raison est dans cette enregistrement. Je vous le donne car vous m'avez parlé de vos connaissances occulte. Je vous demande de la traduir, le sort de tout vos cofrères en dépendent. Gardez le précieusement, n'en parlé à personne. Je viendrais vous voir demain soir à votre appartement.

C'était plus fort que lui. Aussitôt que quelque chose concernait son emploie, il devait vouvoyer tout le monde, même la seul personne qu'il pouvait considéré comme une amie. Il se leva rapidement de sa chaise. L'envis était forte pour lui de vouloir rester, parler de tout ce qu'il avait sur le coeur. Mais l'inquisiteur devait partir.



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Quand Matiel aggrippa le bras de la mutante deux déclique métalique se firent entendre. C'était très clairement un chien qu'on venait de relever et le cran de sureté d'arme. Ophélia fit de grand yeux surpris et leva prestement la main.

-non... sa va les gars

dit-elle comme pour détendre l'atmosphère Matiel pu remarque du coin de l'oeil que le Chacal avait pointé un Glock vers lui et qu'un mutant à la table voisine avait sortit son arme également sous la table. Ils baissèrent chacun leurs arme dès l'exclamation de la mutante...mais visiblement la tension avait cru d'un cran par ce simple geste.

La mutante pris le petit enregistreur gris et le glissa prestement dans son sac d'un geste adroit comme si elle avait l'habitude de cacher les choses au regard des gens. Quand Matiel fit mention de l'étrange histoire ou elle-même s'était retrouver dans le coma Ophélia fut parcourue d'un frisson. Elle déglutie et lanca un regard vers son sac.

-Je sais se qu'il y a sur cette enregistrement alors

avoua t-elle avec peur.

Avant que l'inquisiteur ne se sauve Ophélia l'tira sa manche manquant de tomber tant c'était une mutante à la force ridicule.

-Matiel....soyez prudent....

Une moue d,intérogation et de profonde incompréhension se lut sur les visage des mercenaire dans le bar particulièrement du Chacal qui s'approcha d'Ophélia et posa une main sur son avant bras dès que l'inquisiteur fut plus loin d'elle. Le chacal n'attendit même pas qu'il parte. Il sembla la secoué un peu en parlant à voix basse avant que la Paon ne lui foute une claque ne arrière de la tête et qu'Ophélua semble lui répondre.