Demande déroutante

Comme les deux autres fois, Matiel avait pris un taxi pour venir ici. Il commençait à connaître le coin, il savait l'emplacement de l'immeuble, le nombre d'étage et le numéro de porte sans même regarder ses notes. Et pourtant, le haut inquisiteur avait la même nervosité que la première fois qu'il était venu, essayant d'anticiper la réaction de la mutante face à sa présence. La dernière fois qu'il était venu, il n'avait pas dormis de la nuit et ne pouvait même pas la regarder en face, mais bon sang qu'il avait besoin de venir quand même. Cette fois-ci, c'était différent, Matiel avait de bonnes nouvelles à lui faire part... à condition qu'Ophélia était présente bien sure.

La porte était devant lui, sa gorge se noua, il leva le poing et cogna trois coups à une même fréquence, espérant recevoir une réponse.

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Il cogna une fois, deux fois, trois fois... le silence lui réponduit en lui renvoyant l'écho de ses propres coup donner sur la porte de mélanine et de bois. Cependant l'inquisiteur n'eut aucune réponse. Aucun bruit de vérou qui se débarre, ou de chainette qui glisse... rien le silence écrasant et la solitude simple. Ophélia ne semblait pas être la. La mutante devait surement travailler ou vagabondé.... le souk ou .... l'AMCD... était les options donner de prime abors à l'inquisiteur.

L'inquisiteur n'eut ne choix que de quitter malheureusement...il n'allait tout de même pas défoncer la porte?! C'est en se retournant pour quitter qu'Ophélia lui tomba littéralement déçu. La mutante avait les écouteurs de son baladeur sur les oreilles et avançait d,Un pas presser pour rentré chez elle. Elle n'avait pas fait attention et avait foncé tête baissé sur l'inquisiteur.

-pardon...

puis elle fit les yeux rond elle voulu crier d'étonnement le titre et le nom de l'inquisiteur mais se mis une main sur la bouche juste avant pour ne pas ameuté l'étage emplit de mutant et de zoomorphe... Elle le dévisagea....

- z'êtes malade de venir ici sans prévenir?!

Elle prit ses clés pour ouvrir prestement son appartement et pousser l'inquisiteur dans celui-ci sans ménagement avant de rebarer à double tour.


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Matiel fixa la porte, espérant entendre les multiples méchanismes se débloquer. Mais tout ce qu'il reçu ne fut que le silence. L'inquisiteur se trouvait soudainement assez bête d'être arrivé ici sans prévenir, sans même s'assurer de la présence de la mutante. Il fit donc demi-tour, avec une certaine déception de la tournure des évènements.

C'est là que Matiel vit Ophélia se diriger vers lui, mais ses salutations furent enfouillies par le baladeur. L'impacte s'en suivit, mettant l'inquisiteur dans une situation dans laquelle il ne savait pas quoi répondre. La réaction de la mutante le surpris d'avantage. Il aurrait voulu glicer un « pardon » en réponse, mais apeine eu t-il le temps d'ouvrir la bouche, il se retrouva en moin de deux dans l'apartement d'Ophélia. Matiel remarqua que le tout n'avait pas trop changé, il ne prêta aucunement atention au ménage étant donné qu'il n'avait pas prévenue son arrivé. De son aire froid, il atendit qu'elle retira son baladeur avant d'ouvrir la conversation.

- Heum... Pardon de ma présence imprévue, j'avais des choses importantes à te partager... Je te dérange?

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- prennez pas se genre d'air froid avec moi inquisiteur

Dit la mutante en retirant ces écouteur de ses oreilles. Elle toisa l'inquisiteur comme s,il était un extra-terrestre débarquer de Tatoine.

-Tu dérange pas, mais tu crois pas que t'aurais pu me donner rendez-vous? Tu pige pas toi depuis l'temps que venir ici c'est danger surtout que tu viens tout seul! Sa va quand je sais que tu va venir, mais tomber comme sa, comme un cheveux sur la soupe! Tu te rend pas compte!

La mutante semblait à la fois furaxe, mais à la fois cette colère semblait dénotter une certaine crainte, voir une peur.

- mais bon prend place fais comme chez toi.

Dit la mutante et lui présentant le même canapé ou il c'était assied environs une semaine plus tôt. Le ménage était resté presque inchangé. Ophélia qui portait son vieux sac de cuir noir alla le lancer sur son lit ou il rebondir une fois et s'ouvrit un peu laissant voir plusieur sac de plastique contenant des plantes sècher ou des poudre au couleur blanche ou grisâtre. La mutante passa ensuite dans sa cuisine disparaissant derrière le mur de vivarium. Elle revient avec une tasse d'eau et elle s,assit sur la même chaise qui faisait face à l'inquisiteur.

-Alors quel sont les nouvelles?

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À la première directive, Matiel changea son aire sérieux en moin d'une seconde, relâchant les muscles de son visage pour avoir un aire plus détendu et relax. Il s'en voulait intérieur pendant une seconde de ne pas avoir changer son habitude inquisitorial en présence d'Ophélia.

Et il s'en voulait de nouveau lorsque la mutante commença à le réprimender, avec raison. Clairement, l'inquisiteur devenait trop sure de lui même. Presque tout les non-humains lui voulait la peau et voilà qu'il se promenait en plein jour dans les quartiers. Matiel n'eu donc aucun autre choix que de hocher la tête en signe d'accord, touché par la crainte qu'il arrivait à déceler dans les yeux d'Ophélia.

Il prit place ensuite sur le vieu canapé, écoutant les ressorts grincer sous son poids. Puis il atendit la mutante, observant avec un certain frisson les produits qui dépassaient du sac d'Ophélia, s'imaginant bien des scénarios dans lesquelles on pouvait bien les utiliser. Quand elle revint, l'inquisiteur la regarda directement dans ses yeux ambrés, cherchant une façon de déclaré sa nouvelle. Finalement, le tout sortit naturellement.

- J'ai réussi...

Souffa t-il entre ses lèvres. Et alors, un sourir se trassa sur son visage, non pas un sourir triste ou sadique comme à son habitude, un vrai sourir de joie. Ses muscles faciaux lui faisaient presque mal tellement qu'il ne les avait pas utilisé depuis longtemps.

- J'ai changé les choses. Désormais les patrouilles seront divisés par deux, en plus, les non-humains ne seront plus tué à vue. Mais le mieux, c'est qu'ils ne seront plus marqué au fer blanc dans le mois prochain.

L'inquisiteur détourna son regard pour fixer ses mains, toujours le sourir au lèvre.

- Je me sens plus léger depuis.

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Quand l'Inquisiteur dit ''j'ai réussit'' la mutante leva un sourcil mi septique mi intérogateur. Un aire de ''mais réussit quoi?'' était visible sur ses traits. Elle regarda l'inquisiteur ensuite donner une réponse à cette question muette et ses yeux s'écarquillèrent de plus en plus. La mutante affichait à présent un aire ahurie elle en échapa sa tasse au sol et celle-ci se brise. Mais la mutante n,y porta pas attention son regard rivé sur Matiel.

- T'es sérieux?

C'était la seule choses qu'elle put articuler... Elle n'y croyait pas. SI elle avait envoyé l'inquisiteur en lui demandant de changer le monde... elle n'aurait jamais cru qu'il puisse le changer ainsi... en si peu de temps...ses rêves ses espoirs. Matiel avait réussit à démarrer un mouvement! Étais-ce vraiment le cas! Avait-elle réellement changer le cour de l'avenir du district en montrant à un simple inquisiteur son reflet dans la glace.

- t'es vraiment sérieux?

Elle se leva pour se planté devant l'inquisiteur assit.

-T'as réussit? Tu vas continué?

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Matiel resta silencieux quand la mutante vint se lever pour être plus proche de lui. Il dû relever la tête pour garder le contact visuel. Mais son athitude n'avait point changé.

- Oui, je vais continuer.

Déclara l'inquisiteur avec la plus grande détermination. Il ressenti une certaine chaleure à l'intérieur de lui même en voyant ce qui semblait être de la joie dans le regard de la mutante. Matiel ne savait pas trop quel genre de prix recevoir en apportant cette nouvelle, mais juste ce regard vallait tout le mal qu'il avait dû affronter pour parvenir à ses fins, un prix largement satisfaisant.

- Je voulais t'en faire part le plus tôt possible. La suite risque d'être un peu plus dûre car je viens de me faire plusireurs ennemis parmis mes confrères, notament, l'archange en personne. Mais mon nouveau rang de haut inquisiteur devrait aider... et puis... J'aurrais ton support aussi.

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Comme elle l'avait fait la dernière fois que l'inquisiteur c'était assit sur son vieux futon Ophélia vient lui retiré sont masque respiration. Elle prit le menton de l'inquisiteur entre son pouce et son index et le fit aller de droite a gauche puis de gauche à droite l'examinant longuement. Elle le fit pendant qu'il parlait et figea à la mention de ses nouveaux ennemis et de son nouveau titre.

- Haut inquisiteur?!... mais Matiel... c'est quoi un Archange?

Comme la dernière fois elle s'agenouilla doucement devant Matiel et vient lui prendre les mains avec tendresse.

- Je serais toujours derrière toi tant que tes action seront juste et bonne Matiel. Tant que tu changera les choses autour de toi pour le mieux je serais derrière toi.

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Matiel eu l'impretion d'avoir un déjà-vu. C'était la deuxième fois que la mutante lui retira son masque afin de l'inspecter. Mais l'inquisiteur n'avait toujours pas compris pourquoi. Était-ce afin de déceler un mensonge sur son visage? Ou peut-être pour voir son état physique?

Matiel sentit la radiation de nouveau lui piquer les narines et le sang trnaquilement lui remonter. À la question d'Ophélia, l'inquisiteur s'empressa de répondre..

- Les deux sont des titres, cela montre notre rang et...

Il ne pu continuer de parler quand le visage d'Ophélia ne fut qu'à quelques centimètres du sien et sa tête se vida de son discourt quand ses mains rentrèrent en contact avec celles de la mutante. Une douce chaleure qui devenait de plus en plus familiaire sle réconforta de l'intérieur.

- Merci Ophélia, ça compte beaucoup pour moi. Vraiment.

Matiel avait visiblement quelque chose à lui demander, mais il semblait grandement hésité.

- Ophélia, je crois avoir besoin de ton aide une nouvelle fois...

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Elle aurait voulu plus de précision,mais l'inquisiteur ne lui en donna aucune il ne put voir qu'une petite moue renforgnée au fait que sa curiosité ne soit pas totalement désaltèrée. Cette moue disparue cependant rapidement pour laisser les trait d'Ophélia reprendre leur douceur naturel. Quand l'inquisiteur lui fit la brève déclaration sur l'importance de la mutante dans sa vie elle leva une de ses mains pour venir caresser sa joue et répondit à Matiel juste après sa question.

- Que puis-je faire pour toi je ne suis plus à un fois près?

Dit la mutante sans hésiter une seule seconde. Elle fixa une nouvelle fois son regard ambré dans celui de l'inquisiteur agée. Elle se mordit cependant légèrement la lèvre inférieur comme anxieuse.


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Un petit frisson de nervosité parcouru le corps de l'inquisiteur au contact des mains d'Ophélia sur sa joue. Il devenait de plus en plus hypnotisé par les yeux ambrés de la mutante, à un point tel qu'il faillit complètement oublier ce qu'il allait dire. Son menton tremblait légèrement quand il remarqua la lèvre inferieur mordillé, l'hésitation commençait à revenir, mais il la chassa aussitôt.

- Ça concerne l'enquête que je fais sur le phénomène qui est arrivé aux mutants. J'ai commencé à faire des recherches dans la bibliothèque interdite de l'inquisition. En cherchant, j'ai fini par tomber sur des reproductions intéressante. Cette reproduction se nomme '' la petit clé de salomon'' écrit en ltin. Il regroupe plusieurs ''grimoire'' supposément écrit par le roi Salomon. Le livre comporte une vingtaine de chapitres chacun, datant du xve siècle au xviiie siècle. Il s'agit des textes les plus anciens, et donc probablement de la version originale. Leur titre varie : Traité magique de Salomon ou Petite clef de l'art Hygromancie3,4,5. Le tout contient des formules de magie cérémonielle pour conjurer les « anges des ténèbres » , ainsi que des rituels et symboles pour provoquer l'amour, punir ses ennemis, se rendre invisible et bien plus, mais rien de rassurant. Mais étant donné que je n'ai pas de racine hébreuse, je n'ai pas réussi à traduir le reste de l'enregistrement. Et étant donné que je n'ai pas le droit de sortir de livre de cet endroit... J'aimerais que tu m'acompagnes à la bibliothèque interdite à la caserne Sanctum.


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les yeux d'Ophélia s'écaruillèrent au fil du petit monologue de l'inquisiteur pour terminer rond comme deux bille. Est-ce que l'inquisiteur lui demandait vraiment cela? Elle déglutie avec difficulté avant de tenté de répondre.

-tu... tu voudrais....que j'ailles....au creux de la caserne sanctume... moi qui est une mutante pour lire des livres gardé secret et interdit....

elle fixa Mateil dans les yeux.

-j'vais m'y faire tué!

hoquetta t'elle avec frayeur.

-il n'y a pas d'autre moyen? aucun?

Ses mains c'étaient mise à trembler dans celle de l'inquisiteur.

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Matiel venait de comprendre qu'il avait perdu le contact proche qu'il avait obetnu avec Ophélia il y a de cela 10 secondes. C'était regretable au fond de lui, mais malheureusement nécessaire. Sentant la radiation lui remonter à la tête, il reprit son masque à filtreur et le replaça délicatement sur son nez et sa bouche.

- J'aurrais voulu qu'il y est un autre moyen Ophélia, mais j'ai vraiment besoin de ta présence dans la bibliothèque, sans ça on arrivera jamais à déchiffrer ce message. J'ai déjà prévu une façon de te faire rentrer. Tu seras accompagné par deux de mes plus proches agents. On te revetira dans une toge de prêtre avec un emple capuchon et vous passerez par la sortie arrière de la caserne Sanctum. Je vais aussi trouver un moyen d'enlever la sécurité à la bibliothèque, j'ai quelques contacts encore dans le bureau. Écoute, je te mentirais si je te disais que c'était loin d'être risqué, car ça l'ai. Mais j'ai besoin de toi, j'ai besoin de savoir ce qui se trouve sur cet enregistrement afin de régler cet enquête une fois pour tout... Pour tes confrères mutants...

Matiel resta silencieux et entendit avec nervosité la réponse de la mutante.

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Les main d'ophélia tremblèrent l'une dans l'autre plus fortement. L'inquisiteur lui demandait vraiment cela! Se cacher comment cacher des corne aussi volumineuse que les siennes? Elle avait peur et sa se voyait.

-je....

Elle déglutie une nouvelle fois.

- d... d'a.... d'accord.....

Elle disait cela comme si elle se condamnait à mort et son regard en disait aussi loing sur cette pensé. Ophélia semblait croire que dès lors qu'elle c'était passer une noeud coulant autour du coup et qu'il allait dès à présent la pendre tôt ou tard. Mais la cause était noble non?

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Matiel avait un mauvais présentiment avec la réponse qui allait venir. Il pouvait sentir la peur chez la mutante qui ne faisait que faire grandir l'hésitation, visiblement. Lorsqu'Ophélia se mis èa bégueiller, l'inquisiteur se rentint le souffle.

Il s'avéra que la réponse était à son avantage. Mais Matiel pouvait sentir la lourdeur de son accord et se sentait presque mal de lui demander de faire une tel chose pareil. Il s'apprêtait à lui faire un grand discrout comme quoi tout allait bien aller et qu'elle allait rendre un grand service, mais l'inquisiteur sentait que la meilleur chose à faire était probablement de lui donner le temps de digéré le stresse. Il déposa une main sur l'épaule en signe de remerciment. Puis il se releva.

- Je vais allez préparer le terrain à la caserne Sanctum. J'enverais un de mes agents te chercher demain... Je crois la seul chose qui te reste à faire serait d'attendre.

Matiel se dirigea vers la porte de sortie de l'appartement, jettant un dernier regard sur la mutante, si les choses tournaient mal, ce serait peut-être la dernière fois qu'il la verrait.
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Elle regarda faire l'Inquisiteur avec un regard vide... le regard d'une condamnée à mort. Elle n'avait plus la force de vouloir se lever... de vouloir retenir l'inquisiteur...à quoi bon? Elle n'était qu'un pion de toute manière... un pion blanc au service du roi blanc sur un échéquier noir de pion adverse... un jeux... elle ne pouvait faire qu'ne métaphore sur un stupide jeux...

La mutante voulu déposer sa main sur celle que l'inquisiteur posa sur son épaules, mais elle ne bougea pas son corps enquilosé d'un seul coup. Elle ne put que soupirer et lancer à l'inquisiteur.

- Merci de ne pas avoir ajouté que tout irais bien.

et le merci était sincère s'il lui avait dit que tout irais bien il n'aurait fait que lui mentir... et lui donner une raison de plus de ne pas y aller. Au moins était-il franc et connaissait la porté de se qu'ils allaient faire tout deux.

Puis l'inquisiteur disparue en refermant la porte de l'appartement d'Ophélia et pour la mutante c'était comme s'il avait refermé un cerceuil... et qu'il ne restait a présent qu'à le cloué et l'enterrer... enterrer vivante... qu'elle fin atroce....

Après que les bruit des pas de Matiel ne furent plus audible à la mutante elle fondit en larme. Et elle passa le reste de sa soiré chez elle n'allant pas à son travail habituel. Elle prit un grand cahier vierge et un crayon et la nuit durant elle écrit jusqu'a l'aube...