Cfft le dernier commencement
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Cfft le dernier commencement

dans un monde post-apocalyptique l'ordre ne règne que dans le district 6 !
 
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 toi et moi on a à se parler

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Dm Narrateur
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MessageSujet: toi et moi on a à se parler   toi et moi on a à se parler Icon_minitimeSam 8 Juin - 23:12:00

Si elle avait pu, elle serait venu plus tôt. Mais suite à son arrestation, l'académie militaire avait resserrer son horaire et ses heures libres. Il s'était écouler deux jours depuis cette fameuse arrestation. Maintenant elle connaissait l'académie. Elle l'avait frotter, lavé et relavé. En plus d'avoir fait les rondes sur l'heure du souper plus celle de nuit. Elle était épuisé.Ce qui avait eu de bon, elle n'avait pas eu besoin de parler à que se soit sauf à cet étrange personnage qui était venu lui rendre visite. Il avait un groupe de révolutionnaire. Mais elle devait faire attention, cela l'intéressait certe, mais elle ne pourrait pas travailler pour les deux en même temps en mentant. C'était impossible...par-contre, elle savait qu’elle pouvait jouer sur son intelligence...

C'est entre deux tâches qu'elle avait réussi à se glisser pour descendre dans les bas quartiers pour se rendre à la caserne. Elle était à bord de sa motojet personnelle. Elle était légèrement modifier. Ce qui la différenciait de celle de l'académie. La gamine s'arrêta devant la caserne et soupira. Ses graffitis avaient déja été enlevé. Elle débarqua de sa bécasse et se dirigea vers l'entré. Elle était vêtue du suit des recrues de l'armé avec son masque a gaz et des goggles sur les yeux. Elle était très prudente dans sa manière de se vêtir. Riki ne savait pas si elle devait sonner, cogner, crier...entré. Elle tenta le coup et décida de cogner....


''Je voudrais voir l'incquisiteur Matiel..."

Riki était nerveuse, elle se demandait ce qu'elle allait devoir faire pour avoir des infos sur son père...

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La lourde porte de métal s'ouvra et ce fut deux gardes vêtu d'une armure noire portant le symbole de l'inquisition qui se dressèrent devant elle.

- Veyez atendre ici.

Lui ordonna l'un des gardes avant de monter les escaliers qui menait aux étages suppérieur. L'autre gardait en main son arme à feu tout en surveillant dans le plus parfait des silences la nouvelle venue. Après ces deux minutes de tension lourde, son confrère revint et lui fit signe qu'elle avait la permition de passer. Mais avant de franchir la porte, on lui fit une fouille pour être sur qu'elle ne portait pas d'arme. Se fut au tour de Riki de monter les hautes marches de ciramiques pour finalement arrivé devant la porte grande ouverte qui menait au bureau de l'inquisiteur Matiel.

- Entrez.

Cette voie failiaire à Riki retenti de derrière la chaise tourné à fin de contempler la fenêtre. Tranquillement, elle se tourna, et ainsi Matiel se révéla à elle. Le garde referma la porte derrière et retourna à son poste.

- Ravis de vous revoir, votre présence m'indique que vous avez logiquement des questions à me poser. Et j'ai des réponses... À condition que vous avez remplis votre part du marché.

Lui dit-il de sa voie glacial et vide de douceur.

_________________

La porte s'ouvra et deux garde de l'inquisition lui fit face et la fouilla. On lui retira alors son petit handgun de militaire. Nerveusement elle monta à l'étage. Un gros bureau formel...elle en eu presque le haut de cœur. Elle se demanda presque ce qu'elle faisait là et l'envie de partir à courir dans le sens opposé était très forte. Elle retira son masque à gaz et ses goggle pour laisser place à son visage juvénile. Le visage de son père.

''B'jour inquisiteur Matiel...''

La gamine s'assied en face de lui et s'alluma une cigarette pour laisser passer le stresse...

''Ok...je sais pas trop par quoi commencer. Jouer croche c'est pas mon genre pantoute...''

Elle tapota nerveusement le bras de sa chaise...

''Ça me fait pas trop plaisir de devoir être de ton bord, cela dit tu as quelque chose que je veux..Mais qu'on s'entende, je te trahi pas, mais je trahi pas mes amis non plus....

Elle fixait Matiel d'un air déterminé.

_________________

Matiel se frotta le menton et repensa à trois fois au marché. Finalement, il redéposa sa main sur le bureau et hocha de la tête.

- J'accepte, je n'exigerais donc rien de vous qui puisse être relier à votre vie sentimental, et en échange, je devrais obtenir votre loyauté. Mais que se soit bien claire, tout ce que vous allez faire ou apprendre avec l'inquisition ne dois être répété. TOUT. C'est claire?

Cette dernière phrase semblait plus être un ordre qu'une question. Matiel avait mis l'enfase sur les mots qui pouvaient tout dire. Il se calma un peu et repris son professionalisme.

- Alors, commençons par vous miss Bago, avez vous des informations pour moi? Ou peut-être de récentes actions qui aurrait pu bénificier à l'inquisition?

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Elle n'eut pas le temps d'acquiescer ou plutot de dire d'arreter de jouer avec les mots qui enchaina tout de suite par lui demander des questions sur si elle avait des infos, elle fit un petit sourire en coin.


''Je crois que tu m'as mal comprise. Je peux travailler pour toi, chauffeuse priver whatever mais jamais je ne dirais quoique ce soi qui puisse mettre mutant et zoomorphe en danger...car dans les deux cas j'ai des amis."

Elle tira une pouffée sur sa cigarette.

''Je sais que tu as besoin de moi intacte, que je suis probablement spécial pour toi. Sinon a l'heure qui est peu importe que ma famille ici est été célèbre ou pas tu m'aurais défiguré. Pourquoi tu ne l'as pas fait...je sais pas mais tu as besoin de moi et moi j'ai besoin de toi...Alors je suis prète à faire des jobine, à te chauffé partout ou tu dois allé. Anyway tu trouveras pas meilleur que moi dans ce domaine...''

Elle n'était pas de splus charismatiques mais visiblement elle avait une tête sur les épaules du moins, même si elle était tête brûlé elle était logique...



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Matiel leva un sourcis d'intrigue, décidément, cette fille était des plus imprévisibles.

- Et bien, il semble que vous soyez plus intéligente que vous en avez laire madame Bargo. Vous avez très bien compris la situation dans laquelle vous vous trouvez. Cela dit, vous manquez un point important. L'une des raisons que je vous oblige à travailler pour moi est principalement pour que vous compreniez dans quel monde que je vis. Car si vous restez dans l'illusion que je suis un salle psychopate qui aime me rouler dans le sang de pauvre non-humains inoscants, vous allez être dans l'impossibilité d'accepter la vérité, et dieu sait ce que vous ferrez ensuite.

Matiel se leva et s'étira alors les bras avant de fouiller dans la poche de son manteau. Puis, il en sortit un badge et le jeta devant elle.

- Mais ne vous inquiétez pas, vous aurrez suffisament de temps pour voir. Désormais, vous êtes considéré comme agente à temps parsiel. Bien que vous allez principalement conduire, vous avez désormais une sainte autorité lors de vos services. Certains sont payés en argent, ou en nourriture, mais vous serez payé en information. En passant, votre uniforme est ici.

L'inquisiteur lui pointa de chiques vêtements noires arborant le symbole de l'inquisition finement plier sur une chaise.

- Vous avez quinze minutes pour vous changer, nous avons notre première destination à allez... Ho... Et vous aurrez un paiment en avance lors du trajet, si vous voyez ce que je veux dire.

_________________

Riki roula des yeux lorsque l'inquisiteur ce mit à parler de sa réalité. Visiblement la gamine n'était pas du tout d'accord avec lui et le serait jamais. Lorsqu'il parla du fait qu'il n'était pas un psychopathe Riki lui fit des yeux moqueurs du genre ''ah ouais tu es sure?''Elle finit sa cigarette et écrasa le mego sur le bois de la chaise. Elle était frondeuse.

''Je n'avouerai jamais vraiment ta réalité, j'espère que tu te l'ai rentré dans le crâne je suis ici parce que je pense que c'est ce que mon père veut....''

Elle regarda l'uniforme et le badge. Elle en avait mal au coeur. C'était tellement contre elle. Contre toute sa vie. Sa pensé ses croyances...

''UNe place pour me changer ou vous aimez mieu que je me déshabille devant vous?''

Visiblement elle avait un sens de l'humour douteux ou tranchant, le pire dans tout ça? Elle serait même pas gêner de le faire juste pour le provoquer. Riki la gêne, elle ne connaissait pas...Au moins elle allait déjà avoir de l'information.

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L'inquisiteur Matiel relâcha un profond soupir d'impatience, il n'avait nulement besoin de jouer à la gardienne avec elle.

- Il va y avoir des vestières à votre droite. Rejoignez dans le parking après.

Puis, il la regarda partir dans le silence. Félias ne savait pas durant combien de temps il allait devoir jouer ce jeux et à quel point cela affecterait sa crédibilité. Mais bon, d'un autre côté, il avait obtenue exactement ce qu'il voulait, le reste viendra par la suite.

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La gamine se dirigea donc dans les vestiaires. Une dizaine de minutes plus tard, Riki était dans le parking complètement changé. Elle était mal à l'aise dans cette uniforme, même si on voyait à peine son visage on pouvais le savoir par le reste de son corps...La gamine tenta un sourire.

''Alors je conduis quoi?''

Elel se disait que l'inquisiteur devait pas rouler dans de la chochotte. Il y avait ca de positif, pouvoir conduire une grosse voiture probablement. Un hummer peut-être. Lui il allait peut-être pas aimer le chemin. Elle? Un danger public au volant qui savait ce qu'elle faisait....

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À son arrivé, Matiel l'inspecta de haut en bas et en eu une bonne conclusion. Cette uniforme lui redonnait presque espoire en la gamine. Pour répondre à sa question, Matiel lui lança les clées dans les aires. Il se dirigea alors vers une voiture noire de taille au dessus de la moyenne. On avait choisie le meilleure aliage que l'on pouvait trouver dans ce district. Les portes étaient arboré du symbole de l'ordo Justicar fraîchement polie. Il était difficile de dire s'il sagissait d'une limousine ou un tout terrain.

- Nous allons au centre de commendement.

Déclara Matiel avant d'ouvrir la porte passagé et de s'installer confortable sur le siège. Une fois que la voiture serait partie et qu'ils commenceraient à quitter le parking, l'inquisiteur ouvrit alors la discution.

- En passant, que pouvez-vous me dire sur votre famille? En faite, que savez vous?

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En voyant la voiture qu'elle allait conduire la gamine laissa échappé un sifflement. Elle était impressionné. Elle murmurait des choses pour elle-même a propos du comment que la voiture était faite. Visiblement ça vrai passion était les machines.

Lorsqu'elle démarra la voiture, elle était tout sourire derrière son masque à gaz.

''J'adore ce bruit écoute le moteur sonné...il est presque parfait!''

Oui presque parfait. La perfeciton n,existait presque pas en mécanique dans ce monde. Et effectivement la gamine avait le pied lourd. Elle conduissait vite et elle voulait tester les limites du joujou qu'on venait de lui mettre entre les mains.(Dextérité 5 conduite 4)

''Ma famille....pas grand chose du côté de mon père tous des StormRiders hauts-gradés...mon père était Major avant de quitter le district 6 pour voyager avec moi...Ma mère se nomme Mathilde Burk. Je suppose qu'elle est ici. C'est une Red Rose, tireuse d'Élite...elle ne voulait pas de moi. Elle voulait monter en grade. Je sais donc que je viens d'une famille de bon militaire...mon père semblait être un homme d'honneur avec des valeurs de liberté et de courage...''

Semblait...elle avait l'impression qu'on allait briser l'image qu'elle avait de son père. Mais elels e devait de savoir al vérité sur sa mort ou sa non-mort....

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L'inquisiteur regarda la route défiler à toute vitesse, senti les tournants secs lui serrer la poitrine et écouta les autres conduir mécontants protester par les claxons. Étrangement, il se trouvait à aimer ce style de conduite.

Tout en apréciant ce style de conduite imposant, Matiel écouta de son oreille gauche la réponse de la gamine, puis il hocha de la tête, c'était un bon début.

- Pas grand chose en effet. Et vous êtes autant informé que la grande moyenne de ce district. Le nom de Bago n'est pas inconnue de personne. Tout le monde sait que c'est un héros de guerre, qu'il a fait quelque chose. Mais quoi? Seulement les vieilles personnes comme moi on pu en entandre parler et s'en souvenir. Le reste n'est qu'ignorance passé de bouche à oreille. Vous chassez le passé d'un héros que beaucoup de personnes ont essayé d'enterrer.

L'inquisiteur s'interrompie pour être sure qu'il avait tout ce qu'il avait besoin pour sa réunion.

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Sur le coup de la dernière phrase Riki arrêta brusquement la voiture, elle était à une intersection. Elle se tourna vivement vers l'inquisitueur.

''Enterrer quoi?''

Elle commençait à comprendre que son père n'était peut-être pas partie par hasard. Qu'il avait peut-être fuit...

''Il avait quelque chose a fuir?"

Et elle pesa à nouveau sur le champignon. Sa conduite était un peu plus dangereuse....

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Matiel aurrait bien voulu se tourner pour lui répondre, mais sa tête fut soudainement propulsé sur le banc, l'impulson de cette voiture était bien au dessus de la moyenne. Pour éviter de se fracturer le coup, l'inquisiteur se contenta de fixer la vitre avant.

- Ça oui, il a du s'exiler de ce district pendant un long moment. Je crois qu'il vous avait pris avec lui pour voyager pendant quelques années. Mais il est venue un moment où il devait revenir, et c'est ce qui signa sa perte.

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Riki sentait la rage monté en elle, elle commençait à perdre sa concentration sur la route. D'un coup sec elle se gara sur le bord de la route l'espace d'un moment, pour avaler ce qui venait d'être dit. Elle retira la clé du contact et se cala dans son siège. Il n'avait pas voyagé pendant 15 ans...ils avaient fuit. Était elle à son tour en danger ici? Pour qu'un homme fuit pendant 15 ans sa faute devait être assé grave...Et si elle était spéciale aux yeux de l'inquisiteur peut-être que c'était elle aussi que son père cachait....Et elle avait la confirmation que son père était bel et bien mort. Elle sentait ses yeux devenir humide...


''Donc il est bel et bien mort...''

Elle regarda autour, ils étaient presque rendu. Quand on disait que Riki chauffait trop vite....

''On y est presque...Qui a tué mon père?''

Elle ne voulait pas savoir la raison pas aujourd'hui...pas maintenant nécessairement. Elle avait déjà de quoi à avaler et à saisir...Elle repartit l'immense voiture, plus doucement cette fois. Du moins elle essaya.
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Matiel croisa les bras et fronça les sourcis. Il ne semblait point satisfait de ce qu'il venait d'entandre.

- Vous sautez trop vite au conclusion madame Bago. Si vous continuez ainsi, vous ne serez jamais une bonne agente de l'inquisition.

L'officier de l'ordo Justicar venait de prendre un ère plus autoritaire avec la jeune fille, t-elle un patron devant son employé. Quand Matiel vit la centrale se dresser devant eu, il se dit, qu'il était temps de donner la première piste.

- Je peux vous donner la fin maintenant, mais si vous voulez la comprendre, il va falloir commencer par le début, un début qui n'est même pas l'histoire de votre père. Est-ce que monsieur Bago vous a déjà parlé de ses propres parents?

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Bon il faudra qu'elle patiente...morceau par morceau...Bon sa famille...ses grand-parents.

''Je l,ai connais pas...Je sais juste que mon grand-père était dans la Storm Rider et qu'il avait un haut rang c'est tout...''

Elle se rappela alors que son père lui racontait des tonnes d'histoire par rapport a la science et l'évolution. La mécanique, mais jamais de lui ou de ses parents ou même de sa mère.

''Mon père me parlait jamais de sa vie dans le district 6...''

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Matiel commença à fouiller dans la pile de papier qu'il avait apporté avec lui et atendit pasciament que la voiture se park devant le grand édifice. Une fois arrivé, l'inquisiteur pris une grande envelope brune et la tendit à Riki.

- Le début de votre cenquête se trouve à l'intérieur. C'est du classifier A, chérissez donc cette piste que je vous offres.

Puis, il laissa le document entre ses mains et atendit qu'elle l'ouvrit.

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La gamine prit l'enveloppe. Elle se demandait si elle était vraiment prête à lire ses documents. Elle fixa l'enveloppe un moment. Elle prit un grand respire et en sortit un petit paquet de feuille. Elle lisa donc la première partie...

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Elle se retrouva en main d'un très vieux journal. Juste le papier jaunie pouvait témoigner de son ancienneté, mais la date donnait la précision qu'il avait été écrit il y'a 60 ans de cela. L'article principale était assez gros pour capter facilement l'atention de tous lecteurs.
Trajédie et mort d'un héros.
En effet, un terrible accident est survenue lors d'un exercice de conduite dans la caserne des StormRiders. Le véhicule de conduite est devenue hors controle puis a effectué plusieurs tonnaux dans les aires avant de ce fracasser au sol. 3 hommes y perdirent la vie, nottament le très réputé Jeff Bago, pilote émérite du district 6. Dans sa tombe, il laisse à l'abandon son seul fils, Éric Bago dont rappellons le, sa mère est morte du cancer deux ans plus tôt.

Le reste n'était que précision et témoignage.

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Riki tentait de prendre le journal délicatement, mais bon elle était ce qu'elle était et semblait maladroite avec de quoi d'aussi fragile entre ses mains. Pour mieu lire elle leva ses goggles, laissant voir ses yeux verts. Elle parcourra l'article. Il semblerait qu'elle allait devoir fouiller dans les archives des stormriders pour en savoir un peu plus. Ah moins qu'il y est d'autre chose dans l'enveloppe, mais elle savait qu'elle allait être payer a petit coup. L'inquisiteur semblait vouloir passé beaucoup de temps avec la gamine.

''Ok mon grand-père est mort dans un accident il y a 60 ans...dans la stormriders. Tu ne m'as pas montré sa pour rien j'imagine..., mais mon père devait avoir quoi...5 ans?''


Elle soupira l'air pensive.

''Ça ne peu donc pas etre lui...qui a fait ca...''

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- 3 ans.

Rectifia Matiel. Il s'étira de son côté droit et déboucla sa ceinture de sécurité. Une fois libéré, l'inquisiteur repris le précieux journal pour le remettre dans son envelloppe. Il en jeta quand même un dernier coup d'oeuil

- Cette évènement à été reporté comme accent. Ceraines rumeures supposaient qu'il sagissait d'un suicide collectif, d'autre disait que c'était un coup monté afin de permettre à quelques uns de monter en grade. Quoi qu'il en soit, la vraie cause n'a jamais été trouvez... Cela dit, vous manquez le point important. Repensez à votre père, qu'est ce qui a bien pu logiquement arrivé à un fils d'un héros de guerre qui se retrouve sans famille.

Félias ne lui laissa point le têmps de répondre et ouvrit la porte pour sortir de la voiture. Puis il se repencha pour être sure qu'elle puisse l'entandre.

- Vous avez donc de quoi médité sur les temps à venir. Ma réunion va durer deux heures, je vous veux donc présente pour me racompagner. D'ici là, vous êtes libre de faire comme bon vous sembles... En restant dans le professionalisme. Est-ce claire?

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Elle arriva pour répondre mais il la coupa aussitôt. Elle devrais réfléchir seule. Il lui demanda alors de rester dans le professionnalisme avec un ton autoritaire. Elle détestait tellement ce genre de ton envers elle. Elle soupira un peu.

''Très claire...de toute façon j'ai des tâches à faire a L,académie. Je suis une recrue des StormRiders ne l'oublier pas...''


Non il ne devait pas l,oublier. Pour un temps elle allait revêtir les couleur de l'inquisition mais elle ne voulait pas en faire carrière. Elle voulait quelque chose et tentait d'aller le chercher en restant le plus honnête possible. Elle se le devait. Rester honnête envers elle même, ses amis et Matiel. Mentir jouer par en dessous c'était contre ses principes. Contre elle...et elle savait que cela allait l'amener a sa perte. En faisant ce qu'elle faisait, elle restait elle même et gardait ses amis. Et elle en avait besoin. Il était rare qu'elle s'attachait aux gens, mais son univers en ce moment était bouleverser. Et elle sentait qu'elle avait besoin de repere que se soit le côté paternel d'Anderstone ou amical avec Andrej, elle avait besoin de ca.


Elle attendit que l'inquisiteur soit partie pour repartir vers l'Académie. Qu'est-ce que son supérieur allait dire en la voyant dans l'uniforme de l'inquisition...Mais bon entré en catimini dans l'académie était presque une habitude. Elle était confiner pendant 1h30 à la cuisine pour faire la vaisselle. Elle allait surement se faire regarder croche par le gars de la cuisine...Mais bon il n’allait pas dire grand chose. On regardait pas croche une rousse avec un couteau dans les mains. D'ailleurs dans la cuisine le cuisinier lui demanda pourquoi elle portait cette uniforme. Elle lui répondu par un beau c,est pas de tes ognons. Et lui il lui mentionna que le capitaine allait être mit au courant. Ce à quoi elle haussa les épaules. C'était encore une recrue en Conscription...Chose qui était obligateoir. Cela allait être mit à son dossier.

Pendant qu'elle était là elle réfléchissa. Son père avait du être mit en famille d'accueil suite à la mort de ses parents ou à la crèche. Probablement. Pourquoi que des stormriders auraient faite un suicide collectif. Ca semblait pousser par les cheveux. Un vrai accident...avec autant d'héros. Surprendrait...donc un concours de rang semblait probable. Ou du monde qui voulait la fin des stormriders....

Après son travail à la cuisine la gamine fila a toute vitesse chercher l'inquisiteur. Elle était à l'avance de 15 minute et fumaient cigarette par dessus cigarette dans la belle bagnole de luxe.

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La porte principale du cartier générale souvrie en entier par deux serviteurs. Puis il en sortit une multitude de personne. Tous étaient incroyablement biens abillés, ont pouvaient y voir des politiciens, des commissaires de polices et même des hauts gradés de l'armée. Dans cette petite troupe de personne finit par s'en détâcher Matiel qui se dirigea vers sa voiture, comme tous les autres.

L'inquisiteur ouvrit la porte de la voiture et s'écrasa sur le banc de la voiture. Il en retira alors son chapeau et se frotta le crâne de sa main libre.

- Ouf, par la sainte lumière.

L'autre main semblait s'être débarassé de plusieurs documents, mais il en tenait maintenant un grand avez le sceau du général lui même.

- J'espère que je ne vous ai pas fait trop atendre.

Demanda froidement l'inquisiteur alors qu'il s'étira pour remettre sa ceinture de sécurité. Malgrés ses efforts pour le caché, quelque chose ne faisait pas trop son bonheur.

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Lorsqu'il rentra la gamine fit presque le saut. Elle était perdu dans ses pensés. Essayant de voir qui avait adopter son père...Elle ne savait pas si elle avait des grands oncles ou un truc du genre. En plus Matiel n'avait pas l'air de bonne humeur...peut-être pas le bon moment de lui parler de ses réflexion, elle avait suffisamment manger de coup cette semaine. Elle se contenta donc de partir le contact.

''Heu nonon....comme j'ai dit J'étais confiné à la cuisine à l'académie...''


Elle soupira légèrement. Elle n'aimait pas la situation. N'aimait pas l'inquisition. Mais il avait fallu que son père soit plus impliqué qu'elle pensait. Elle ne pensait jamais découvrir des trucs du genre en venant ici. Mais son deuil ne serait jamais fait tant qu'elle ne saurait pas.

''Dure réunion hein?''

Elle essayait de rendre le tout un plus agréable en voulant se montrer légèrement amical et concerné...

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- Je vous ne le fais pas dire.

Matiel voulu tout simplement coupé la conversation ainsi, garder ses informations pour lui même. Mais il en vint à baisser ses gardes, faire confiance à sa nouvelle partenaire, dont il commençait à aprécier sa présence.

- Enfin, je crois que puisse que vous travaillez pour l'inquisition, il est de votre droit de le savoir. Les militaires vont bénéficiers de certains avantages sur la nouvelle loie sur le marquage. Dans les faits, ce n'est rien d'extrêmement important, et le général avait de très bonne raisons lors de la réunion. Non, ma seule crainte est que les non-humains vont tous se ruer pour s'inscrir dans l'armée afin de se... Portéger si je peux dire ainsi.

Il fouilla dans sa poche et en sortie un cigar de qualité moyenne, pour ensuite se rendre compte qu'il n'avait pas de feu.

- Pourrais-je vous emprunter votre briquet miss Bago?

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Bago sortie de sa poche un vieu briquet en métal, gravé de tête de mort et de serpents. Il ne semblait plus très jeune mais très fonctionnel. Elle le tendit à l'inquisiteur.

Bon, il était clair qu'elle n'était pas d'accord avec l'homme. C'était bien selon elle que les zoomorphes ne soient pas marqué dans l'armé. Il étaient déjas contrôlé et avait un dossier. Donc pourquoi faudrait les marqués en plus& Et plus de gens dans l'armé ferait en sorte que sa serait plus sécuritaire....Mais elle savait qu'Elle devait doser ses opinions en compagnie de Matiel, mais elle ne pouvait pas aller contre qui elle était. Mais trop tard une phrase pseudi sanglante sortit de sa bouche. Mais elle n'avait pas tort...

''Si l'Inquisition serait moins radical, sa se garrocherait pas toute dans l'armée....''

Elle soupira un peu se rendant compte que sa phrase était direct.

''Ce que j'veux dire c'est que personne a envie de se faire marquer au fer. Ça fait mal...Et personne ou être vivant aime avoir mal. Je veux dire prener un chien ou un chiot, Marquer le au fer rouge vous allez lire de la douleur dans ses yeux. Je sais que le rôle de l'inquisition est de contrôler zoomorphe ou mutant. Mais il doit sûrement avoir un autre moyen. Moins radical. Comme tous les fichés...avec un numero. Comme dans l'armé chacun pourrait porter un bracelet ou collie avec son numero de mutant ou de zoomorphe. Moins radical qu'un marquage au fer...non?''

Elle était contre le principe, mais si elle pouvait arrondir les coins...c'était le mieu qu'elle pouvait faire.

''Ainsi tu empêcherais pleins de zoomorphe d'aller dans l'armée...''

Pour la gamine tout le monde avait le droit, tout le monde méritait sa liberté. Cela paraissait dans son visage qu'elle allait a L'encontre de sa pensée. Mais qu’elle faisait des efforts pour aller chercher un entre-deux. Car elle devait avoir les infos sur sa famille...

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Linquisiteur inspira profondément dans le cigare et laissa le doux arôme chimique lui parcourir les poumons. Quand le plaisir amenait à une trop grande détante, il relâcha subitement ce nuage de fumé dans une expiration longue. Les ficelles de fumées dançaient devant ses yeux et ce fut le tour des mots de Bago à rentrer dans ses oreilles.

- L'idée n'était pas mauvaise, on y avait pensée lors de l'élaboration du projet. Mais il est venue un obstacle que l'on ne pouvait contourner. Qu'est ce qui empêcherait aux autres de faire de fausses plaques ou de fausses identités. Absolument rien. Ça prenait quelque de permanent et visible, comme une marque. Au début, on voulait le faire sous forme de tatouages, mais par faute de fonds et de temps, ce fut au fer plat. Elle, elle reste là à jamais, en plus, elle indique le niveau de dangerosité pour nos bons citoyens. En plus, il faudrait de terribles masojistes pour se faire soit même une marque, et même après ça, comment pensez-vous que nous allons réagir si nous apercevons deux marques sur le même corps lors d'une inspection. Mais le plus surprenant, je l'ai découvert après. Saviez-vous que ceux qui avaient encore tous leurs points en étaient très fier? Ils se promenaient dans la rue, montrait fièrement leurs marques, montrant à tous qu'ils n'étaient point dangereux, qu'ils avaient encore une appartenance humaine. Cela approte ensuite une bien meilleure collaboration de leurs parts, car ils ressentent un certain sentiment d'espoir.

_________________

Comme elle détestait cet ignoble personnage...Elle préféra démarrer le contact. L'ait buté. Elle était loin d'être d'accord avec cette manière d'être, de parler et de considérer les gens. Elle espérait qu'un jour il soit mal pris et que la seule personne pour l'aider soit un zoomorphe ou un mutant. Ça lui remettrait peut-être les esprit a bonne place.

''Alors je t'amène ou la?''

Visiblement elle ne voulait pas continuer cette conversation qui allait contre ses idéologies. Tout le monde avait le droit à l'espoir et à la liberté.

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- Je crois que la caserne ferra l'affaire. J'ai encore un peu de travail et après ma journeé sera finalement terminé.

Elle était choqué, ça s'entandait dans sa voie. Mais Matiel l'avait prévue, elle avait un esprit de pierre, trop fort pour les brisers avec de simples mots, il en avait fait l'expérience trop de fois, le résultat en était toujours le même. «Verra-t-elle la lumière un jour, qui sait?» Se demanda l'inquisiteur.

Le style de conduite de la gamine était une autre fois aprécié, cela permettait à l'inquisiteur de se stresser pour autre chose. Il regarda à travers la fenêtre, fuma son cigar et laissa de longues minutes passer.

Une fois que la caserne fut proche, que la tention semblait avoir baissé, Félias reprit la conversation.

- En passant, vous recevrez la prochaine partie de votre paiment la semaine prochaine.

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Aussitôt demander, aussitôt fait, la belle rouquine mit le gaz à fond pour retourner à la caserne. Riki ne disa presque rien, elle laissait passé sa rage dans la drift et la conduite dangereuse, empruntant même des chemins peu sûre. Bah quoi...s avait 4 roues donc ca passait partout...

Lorsqu'elle arriva proche de la caserne, Matiel parla en premier...

''J'imagine donc que la semaine prochaine vous allez avoir affaire à mes service ou je dois faire quelque chose d'autre d'ici la?''

Elle était à son service...elle attendait juste les ordres.

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- Je vais vous recontactez dans les prochains 24 heures. Mes agents ont deux opération qui demanderont un transport. Ne vous inquiétez pas, je vais m'arrangé pour que cela n'empiète pas sur votre horaire militaire.

Ils étaient maintenant au stationnement, c'était bientôt la fin du parcours.

- Et bien, ce fut une bonne première journée que vous avez fait là pour moi. Je vous en suis redevable.

Matiel avait beau être froid, parfois même sans coeur, il ne manquait jamais une occasion de complimenter ses agents. Leurs travailles et leurs compagnie lui était si chère. Car après tout, que serait un inquisiteur sans eux.

Une fis la voiture arrêté, il enleva sa ceinture de sécurité et ouvrit la porte pour resortir.

- Vous laisserez les clées à l'administration, l'uniforme vous appartient maintenant.

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La gamine ne disait rien. Il ne lui devait rien du tout, Il lui avait déjà donné sa paye. Les infos...il ne lui devait rien d'autre que ça. Elle en échange supportait ses conneries. Voilà le marché. Il ne l'entendait peut-être pas de cette manière, mais elle oui. Elle ce contenta d'acquiescer et de sourire. Elle remit son masque à gaz.

''Très bien, bonne fin de journée inquisiteur Matiel...''

Elle sortie de la voiture et alla remettre les clés à l'administration. Elle aurait aimer ce changer, mais elle N'avait plus vraiment le temps, ça allait bientôt être l'heure du tour de garde. Son tour de garde. Elle manquait les souper et les diner. N'étaient jamais avec les autres. On l'avait complètement isoler. Pour l'empêcher de faire des bétises. Et en travaillant maintenant pour Matiel...Elle était rendu complètement isoler du monde. Elle ne s'attachait pas aisément aux gens mais elle en était tout de même habituellement toujours entouré...

A bord de sa MotoJet elle retourna vers l'académie, une longue soirée de tour de guarde l,attendais. Peut-être qu'elle croiserait Anderstone et pourrait parler de tout ce qu'elle avait découvert dans al journée.
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