Cfft le dernier commencement
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Cfft le dernier commencement

dans un monde post-apocalyptique l'ordre ne règne que dans le district 6 !
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

 

 Une nouvelle ère?

Aller en bas 
AuteurMessage
Dm Narrateur
Admin
Dm Narrateur


Messages : 52
Date d'inscription : 06/06/2013

Une nouvelle ère? Empty
MessageSujet: Une nouvelle ère?   Une nouvelle ère? Icon_minitimeDim 9 Juin - 16:33:10

Un rassemblement général avait été déclaré ce matin à la caserne sanctum. Un évènement peu commun qui n'arrivait seulement qu'en cas de sujets très importants et d'intéret général. Cette fois-ci, ce fut L'inquisiteur Matiel qui la déclara, sans ajouté quoi que ce soit par rapport au but de la convocation. La dernière fois qu'il avait fait un tel évènement, c'était pour faire par de ses plans de génocides à venir.

Matiel avait aussi envoyé une lettre à Ariana, lui demanda d'être présentre à ce rassemblement. Il ne l'avait point obligé, mais avait assisté, voir même supplié pour sa présence, disant que ça allait être très important pour le futur de ce district. Il voulait aussi la voir au plus vite à son bureau après sa déclaration, avec les résultats médicals.

La salle général était pacté. On y trouvait des agents de tous les départements possible. Les commissaires de loies se tenaient avec les policier dans un coin, arsenal en main comme s'ils étaient prêt à partir en mission. Les bureaucrates et les grates papier avait déjà pris leurs carnets en main pour se préparer à prendre des notes. L'escouade tactique de l'inquisition était tous dans leurs combinaison de kevlar noir avec leurs têtes dénudé pour mieux voir. Il y'avait aussi les nombreux agent sous couverture, chargé de collecte d'information, vêtu de simple habit civil. Ça et bien d'autre.

L'estrade était surélevé pour permettre à tous de bien voir. Certains inquisiteurs important avaient décidé de se joindre et était confortablement assis dans le font de l'estrade. Et au centre, il y'avait le fameux podium, lequel attendait la présence de Félias Matiel.

_________________

Ariana avait décidé de s'y rendre, à contre coeur. Il fallait que ce soit foutrement important pour que l'inquisiteur se résoude à la supplier d'y venir. La dernière fois qu'elle avait eu vent d'un tel rassemblement, il s'en était suivi un massacre sans nom. Aussi bien se présenter, ainsi elle pourrait aviser par la suite ce qu'elle ferait. La jeune femme s'était vêtue d'un jeans et d'un chemisier fleuri. Ses longs cheveux blonds étaient libre. Son seul accessoire, était son sac dans lequel elle avait son nécessaire médical habituel, un peu de monnaie, son calepin et l'enveloppe fatidique renfermant les résultats sanguins de l'inquisiteur. On ne savait jamais, peut-être que cela pourrait lui servir d'arme.

L'infirmière entra dans l'enceinte et n'eût aucun mal à se repérer. Il suffisait de suivre l'agglutinement important de gens qui se tenait dans la salle commun rendue presque exigu. Ariana, avec son physique plutôt frêle, parvint à se faufiler. Mentalement, elle identifia chaque groupe de personnes. La jeune femme se sentait comme un chien dans une meute de loups. Elle était une intruse. Elle n'appartenait pas à ce monde. Son regard croisa celui, implacable de William. Il fit mine de vouloir l'approcher, mais le dégoût qu'il lu sur les traits d'Ariana lui conseilla de se tenir loin d'elle.

La jeune femme s'avança autant que la foule le lui permit et se retrouva presqu'au premier rang. Il ne restait qu'à attendre. Ariana n'était pas impressionnée par ce rassemblement. Au contraire, il semblait doucher toute sa joie naturelle.


---------

Après 3 minutes d'attente, la foule au grand complet était enfin rassemblé. La porte d'avant s'ouvrit et laissa entré L'inquisiteur Matiel, habillé de ses plus beaux habits de cérémonie. Alors qu'il s'avanca vers le podium, les gens acclamaient sa présence par des tonnes d'applaudissements. L'inquisiteur hocha de la tête en signe de salutation et agita tranquilement les mains afin d'avoir le silence. Une fois la foule calmé, Matiel commença son discourt avec l'aire d'un général qui venait de gagner une guerre.

- Mes chers frères et soeurs, il est bon de tous vous revoir rassemblé ici. En vous regardant unis comme cela, je vois la seul barrière qui empêche ce district de tombé dans l'anarchie et la déchéance.

Ses flaterries levèrent encore plus fort les aclamations de la foule. Il avait maintenant la certitude d'avoir leur atention.

- Cela va faire un an que je n'ai pas fait ce genre de rassemblement, et tout le monde se rappelle pourquoi. Nous nous étions fait attaqué directement dans notre base. Ces imbéciles avaient tué 5 de nos valeureux frères avant de fuirent comme des lâche. Oui, c'était un triste jour, mais bien plus encore, une déclaration de guerre. Ce fut le premier groupe rebelle qui a ausé nous affronter directement, notre crédibilité était en jeux, il semblait que les habitants avaient oublié notre importance et notre détermination. Et je dois dire que vous n'avez pas faillit à leurs rappeller!

Les aplaudissement se changèrent alors en crie d'encouragement afin de manifester leur fièrté.

- En effet, ce fut une guerre sanglante, beaucoup son mort sur le bûché et tant d'autres sont morts par nos balles. Mais à la fin, nous avons écrasé toutes les têtes dirigeantes des rebelles... Et c'est que je me suis rendu compte de la triste vérité. Cette guerre fut gagné il y'a des mois, et pourtant nous sommes toujours sur le pied de guerre. Nos ennemis ont longtemps disparue, et pourtant nous n'avons pas réduit nos attaques. L'inquisition en entière est resté aveuglément dans un combat où nous n'avons même plus d'ennemi. Je ne suis pas dûpe, je sais que beaucoup d'entre vous ont tué des nons-humains sans même prêter atention s'ils s'étaient marqué ou non. Je vous le demande, à quoi ça sert de construire une structure si nous la détruisons volontairement à mainte reprise? Je n'arrive même plus à lire mes rapports tellement qu'ils sont recouvert de sang. Je crois que linquisition toute entière à oublié la tâche principale de sa fondation. Les choses doivent changer.

La foule ne prononça point de mots, plusieur commencèrent à murmurer entre eux échangeant leurs doutes.

- Premièrement, je vais passé la moitier de mon budjet militaire afin d'enrichir les services secrets et de renseigenement. Ce qui va coupé de moitié les patrouilles et les exécutions publiques. À défaut d'être tyranique, nous serons omniprésent.

Des exclamations sortirent alors de la foule qui venait en grande partie d'être frappé de plein fouait.

- Deuxièmement, j'aboli la loie sur le marquage au fer blanc. Désormait, les nos humains porteront leurs résultats au test sous forme de tatouage ou de carte, le moyen n'est pas encore déterminé. De plus, un nom-humain sans indentification inquisitorial se ferra dorénavant arrêté et non plus exécuté sur le champs. Finalement, J'abolie la loie qui empêche les mutants et les zoomorphes d'avoir des enfants, tant qu'il n'y ai pas d'inter race. D'autre changement risques d'arrivés sous peu. Bonne journée à tous.

Les exclamations ses changèrent bien vite en protestations. Les vétérans crièrent leurs désacort à laissé ces « rats» se reproduire entre eux. Les plus jeunes par contre se sentirent soulagé, se disant qu'ils n'aurraient plus à faire des cauchemards durant la nuit.

Le regard de Matiel tomba sur celui de la gamine, il lui fit signe de venir à son bureau avant qu'il déguerpissa de l'estrade au plus vite.

_________________

-Un instant Matiel

Tonna une voix forte et autoritaire. La foule entière qui s'agitait se tu sur le champ. L'immense silhouette de Rapahel Duval se fit voir dans les marches s'opposant au podium. L'homme portait lui aussi c'est plus beau habit blanc brodé de croix rouge au rebord doré. À ces côtés se trouvais un autre homme plus jeunes et d'une beauté sans nom portant une grande tunique bleu ciel. L'inquisiteur le reconnu également c'était Samuel Wagner.

-Ton travail à été plus que remarquable durant cette dernière années inquisiteur. Je t'ai donné plus de droit et sans que ce ne soit une surprise pour personne ton grade de grand inquisiteur est en chemin...cependant...

Doucement l'homme approcha du podium et monta les quelques marche pour venir surplomber Matiel. C'était un homme peu charismatique, mais terrifiant éborgné et la barbe mal rasé. les cheveux en batailles noir lui tombait sur son seul oeil valide. Il posa son regard brun et unique dans celui de Matiel et un rictus de colère s'afficha sur son visage avant qu'il ne lève la main et ne l'abatte en une magistral claque au visage de Félias.

- De quel droit remets-tu en cause les propres décret que tu as mise sur pieds?

Dans la salle plus personne ne parlait et les souffles étaient couper... l'archange venait de frapper un de ces inquisiteur... ce ne c'était jamais vu. La stupeur ébranlait d'un silence pesant l'assembler inquisitaurial. Puis le murmres commencèrent à fusée.

- TAISEZ-VOUS

ordonna l'homme pour que le silence redevienne maître

--------------

Ariana n'eût pas à attendre très longtemps avant que l'inquisiteur fasse son entrée de façon aussi magistral que possible. De la vraie poudre aux yeux. Ses subalternes étaient tous éblouis et admiratif devant ce grand être vénérable. L'infirmière eût vraiment l'impression d'être le mouton noir de la foule avec son sourcil relevé, l'air de se dire "Vraiment? C'était nécessaire de nous faire une pièce de théâtre?" Toujours est-il qu'elle prêta une oreille bien attentive au discours qui allait s'en suivre. Il va sans dire que l'inquisiteur débuta son beau monologue en flattant ses ouailles dans le sens du poil avec de jolies paroles creuses. Dernière barrière contre le chaos? N'importe quoi! Ils avaient semé la mort et la terreur partout. Et qui dit terreur, dit chaos. Ça commençait bien mal. Les gens l'acclamaient, Ariana, elle, restait les bras croisés à le fixer d'un air dubitatif.

Sa tirade suivante sur de prétendus rebelles lâches ne parvint pas non plus à l'impression. Elle avait l'impression que tout ce qui sortait des lèvres de l'inquisiteur était synonyme de destruction, d'exécutions et de souffrances innommables. Peut-être que son humeur maussade venait accentuer son agacement naturel pour tout ce qui concernait l'inquisition. Clap, clap, clap. Ça applaudissaient à outrance avec grands renforts de cris de satisfaction. Ces hommes et ces femmes n'avaient vraiment rien de plus dans la cervelle que ce qui l'inquisition y avait déposé ; les graines de la haine et de l'intolérance. Ariana passa de l'ennui au dégoût puis les mots de l'inquisiteur lui fit plisser les yeux. Entendait-elle un brin de modération dans sa voix? Ce n'était pas naturel. L'infirmière redoubla de méfiance. Mais enfin, il ne pouvait pas faire tout ça que pour endormir ses doutes, n'est-ce pas? Non. Elle n'était pas assez importante pour cela.

La suite attira l’opprobre du "peuple" sur Matiel alors que ces mêmes déclarations avaient l'effet contraire sur elle-même. Ariana pencha la tête un peu sur le côté, tentant de comprendre son petit jeu. Il était devenu vieux et gâteux, ou quoi? La jeune femme était d'accord que la modération a bien meilleur goût, mais quand même. Il fallait être suicidaire pour montrer autant de... souplesse d'esprits face à une assemblée aussi endoctrinée. Bah... peut-être qu'il se pensait condamné -sans néanmoins en avoir la certitude puisqu'elle venait d'obtenir les résultats.

Un vieux de la vieille tout près d'elle se mit à exprimer son désaccord avec des mots peu délicats. L'infirmière planta son regard dans le sien et elle lui déclara aussi crûment que possible :

« Mon cher monsieur, c'est vous le monstre. »

Il fut si surpris qu'avant qu'il ne trouve sa réponse, Ariana s'était déjà faufilé plus loin dans la foule. L'inquisiteur lui avait fait un subtil geste pour qu'elle le rejoigne dans son bureau, ce qu'elle s'apprêtait à faire quand une voix tonitruante résonna dans toute la pièce. Les yeux gris-bleus de l'infirmière se dirigèrent vers l'individu. Elle fronça les sourcils. Tien... Il lui disait quelque chose lui. La jeune femme n'eût pas le temps de penser plus avant que ses yeux furent attirés par l'autre. Un frisson parcourut son corps en entier. Il était si beau. C'était presque douloureux de le regarder. Si beau... La peur la prit au ventre. Souvent, c'était les plus magnifiques qui étaient les plus cruels. Et si c'était proportionnelle... il aurait pu jeter des enfants dans la rivière pour qu'ils s'y noient sans remord. Ariana se secoua intérieurement. "Bouge! Tu es en plein dans leur champ de vision!" La jeune femme tenta de se faufiler, mais une main agrippa fermement son bras. Elle émit un hoquet de stupeur un peu trop audible dans ce lourd silence à son goût. William raffermit sa poigne au point où elle se tendit de douleur.

« Cesse... de... bouger. »

Il avait grogné ses mots entre ses dents. Ariana le fixait avec autant de haine que faire se peut. Elle se serait débarrasser de sa poigne si elle n'avait pas eu la certitude qu'elle se retrouverait seule pour se défendre si cela venait à dégénérer. L'infirmière ne savait plus où regarder. Matiel ou ces deux nouveaux perturbateurs? La gifle fit échapper un autre hoquet, mais cette fois outrée de ses lèvres. William resserra sa poigne et sans y penser, elle le repoussa brutalement. Ariana fit un pas dans la direction de l'inquisiteur, la main devant sa bouche tant elle était conquise par l'horreur. Frappé un homme de cet âge! Quel manque de savoir vivre!


------------

Dès les premiers mots prononcé par l'archange, tous les muscles du corps de Matiel se raidirent, ses yeux étaient presque écarquillés, sont corps ne bougeait plus, ne répondait plus, tel une statue. Comment l'inquisiteur avait pu pensé s'en tirer sans s'attirer les foudres de Duval, se disait-il mentalement.

L'inquisiteur se revira pour voir l'archange se diriger vers lui. Il fut éblouie par ses blancs, une couleure si rare dans ce district, une autre prieve de sa grandeur. Matiel avait toujours eu la plus grande des admirations pour cet être possédant une force de personnalité presque divine. Et pourtant, s'il y'avait bien une personne qu'il ne voulait pas voir aujourd'hui, c'était bien lui. Il aurrait préféré affronté un tigre à main nue plustôt que d'avoir à lui faire face, même en parole.

Duval n'était plus qu'à deux pouces de lui. Au moment où Matiel s'apprêtait à dire un mot, il reçu cette claque qui le sonna litéralement au sol. Il prononçant un gémissement de douleur quand il constata que son nez se mit à saigner. L'inquisiteur se maudissait de ne pas avoir apporté sa câne. Il utilisa ses avant bras pour se relever, montrant à tout le monde la difficulté physique qu'il dû affronter.

Même après tout ce qu'il venait de se passer, Matiel ne s'autorisa pas à regarder Duval dans les yeux. Il répondit toute fois d'une voie assez prononcé pour être sûre que tous puissent entandre.

- Mon archange, j'avais mis ces loies en place car notre institution était en dangé grâve. La population mutante était incontrolable et un groupe de rebelle avait osé nous attaquer. Les mesures que j'avais mis en place nous ont permis de frêner la population non-humain, de nous relever et d'écrasé l'idée d'une guerre contre l'inquisition. Mais maintenant, nous sommes fort, nous sommes plus fort que jamais et vous le savez. Nous avons enfin réussi à avoir le contrôle désiré de la population. Et pourtant, nous dépensons toutes nos ressources sur l'écrasement de la population, ce qui va finir par entraîné uen guerre civile. Car nos ennemis se cachent, et ils se cachent très bien. Ils planifient avec précision leur prochain coup alors que nous gaspions nos énergies à marteller les inonçants. À défaut de ne pas trouvé les démagogues, je vous proposes de leur retirer le trois quart de leurs arguments, leur donner une perte d'influence. Et avec un système d'espionnage plus dévelloppé, nous arriverons à les trouver. Qu'en dites vous, mon archange?

_________________


-Tu sais très bien Félias quel point de ton discourt me fond monté sur se podium ne me fait pas perdre mon temps tu en a déjà assez pris quand tu était dévot.

Répliqua froidement et durement la langue de vipère du très haut Archange. S'il n'était pas aussi Charismatique que sont collègue haut prêtre Duval était tout de même un habille orateur qui savait ou placer un ton singlant et quand usé d'un ton doux...mais aujourd'hui il n'y avait rien de doux dans sa voix autoritaire et tranchante comme le fil d'une épée. Il regarda l'inquisiteur Matiel se relever de peine et de misère.

-est-ce la faiblesse qui te rend aussi stupide Félias?

Cette fois le ton était ironiquement doux avant que Duval ne vienne donner un vicieux coup de pieds au crux des côte de Matiel. Était-ce un sadique? très surement...mais qui s'opposerait à lui de toute manière? Qui se lèverait contre Raphael Duval Archange de sa sainte pontife Samiel Janini? personne... du moins personne d'assez fou.

- Le non humains ne mérite aucune clémence quelle qu'elle soit. Ton idée d'espionnage est bonne Matiel trés bonne tu as toujours été doué pour ce genre de jeux pervers tu est notre meilleurs vipère... mais tu te ramolis! COMMENT OSE TU ! avoir l'idée de lever l'interdiction de reproduction de ses monstres! Et qu’attends-tu que notre pathétique prison et les gêoles inquisitorial soit pleine pour recommencer à exécuté tout le limon que sont c'est être?

Il aggripa l'inquisiteur par le collet et d'une force qui n'était pas humaine le souleva de terre.

- de quel côté es-tu donc Félias Matiel aujoud'hui?

Dit-il en plantant une nouvelle fois son unique regard brun noisette dans celui refoidit par les années du simple inquisiteur. Et pourtant des deux Duval était le plus âgée... et peut-être sans que la force y joue le plus dévasté.


----------

Ariana sentit tout son corps se contracter au nouveau coup. Comment pouvait cette foule laisser faire ce sadique sans rien dire ou agir? À eux tous, ils auraient pu le renverser! Protéger l'inquisiteur affaibli par la maladie. L'infirmière était partagée entre son envie de s'insurger contre ce mauvais traitement en espérant que quelques-uns l'appuieraient ou se taire et ravaler le tout. La jeune femme commença par se déplacer vers le podium, s'attirant quelques grommellements de mécontentement. Mais il fallait qu'elle se tienne prête. Toutes ses pensées s'entre-choquaient. Son goût pour la justice était si profond, elle ne pourrait plus résister à bondir sur cette scène et s'interposer.

Ariana s'arrêta juste devant le podium. Elle regarda l'inquisiteur être soulevé de terre. Quelques secondes de pure panique défilèrent devant ses yeux avant qu'elle ne puisse s'empêcher de crier :

« NON! »

Soudainement, tous les regards étaient sur elle et un frisson de murmures de désapprobation parcourut la foule. Son coeur battait à tout rompre. Elle avait échappé ce cri suppliant sans vraiment le réaliser et maintenant il n'y avait plus rien à faire. Elle ne pouvait pas reprendre ce seul et unique mot qui pourrait très bien sonner le glas de son existence. Elle monta sur le podium, réprimant les tremblements de son corps.

« Faites mieux que les mutants, faites preuve d'un peu plus d'humanité. Ce n'est pas digne du genre humain, laissons cela aux animaux. »

La petite blonde arrivait à peine à maîtriser le tremblement de sa voix, mais elle était bien campée sur ses pieds. Son attitude faisait montre d'humilité, mais aussi d'une force d'esprit hors du commun. Ses yeux gris n'osèrent pas rencontrer les leurs. Elle s'assura d'une oeillade que l'inquisiteur se portait bien.

« Je vous en supplie, ne vous en prenez pas plus à lui. Son esprit est vif, mais son corps est vieillissant. »

Son ton était cruellement humain et suppliant. Il fallait avoir un coeur d'acier pour ne pas y être ne serait-ce qu'un tantinet sensible, mais Ariana ne se dupait pas sur cela... Ces hommes n'avaient pas un coeur d'acier, ils n'en avaient tout simplement pas. L'infirmière sentait l'approbation silencieuse des nouvelles recrues sans qu'aucun d'eux ne l'appuie autrement que par la pensée. Maintenant, elle se tenait mentalement prête à recevoir des coups, à être secouée comme une poupée de chiffon, à être humiliée... Mais il le fallait, au nom de Dieu! Elle savait dans quelle faiblesse se trouvait Matiel et elle savait qu'il ne pourrait plus supporter davantage. Il mettrait des semaines à s'en remettre. Déjà qu'il devait se promener avec une canne.

----------

Le coup de pied qu'il veanit de recevoir rappella à Matiel les cottes brisées qu'il avait depuis son dernier combat. Il sera les et fut plié en deux par la douleur, grognant comme un animal en cage. Il était dure pour lui de concevoir de nouveau argument dans cet état. Combattre physiquement était très simple, n'importe quel sauvage pouvait le faire, mais une bataille mental contre un être aussi carismatic était tout un autre défis. Néamoin, Matiel de vais continuer, il l'avait promsi.

Mais c'est alors qu'il entandit la voie d'Ariana émaner de la foule. Son intervention fut comme un coup de couteau dans son coeur.

- Ho non...

Murmura t-il avec le peu de souffle qu'il lui restait. C'était probablement le pire scénario qu'il pouvait imaginer. À présent, l'adolescante avait l'atention de l'archange, pire que cela, elle venait d'embarquer dans l'argumentation. Si l'archange était capable de frapper un inquisiteur, qui sait ce qu'il pouvait faire à une simple civile. Matiel eu un frisson juste à cette idée. Il devait à tout pris réorienté l'atention de Duval sur lui même.

- Mon archange, ce que cette agente essaie de dire c'est que nous vallons mieux que ces monstres sans cervelle, alors peut-être que nous devrions changer notre façon de faire pour éviter de les ressembler.

Dit-il en se redraissant le dos.


_________________

Comme à son habitude, Riki était en retard à ce genre de rassemblement. Elle détestait ce genre d'assemblement.On rappelait toujours le meurtre de 5 agents faites par des mutants. Ce qui était mensonge...À chaque fois, elle se revoyait se battre, les blessés et les tués...Si les choses se soir la avait été différente, il n'y aura pas eu 80 personnes mis au bûché, elle aurait probablement encore sa jambe...cela lui demandait tout son courage pour se rendre à ses rassemblement. Et pour une raison obscure, personne ne savait pour se soir la...

Bref, Riki arriva en retard et se faufila le plus subtilement possible en restant au fond. Cela pouvait être compliqué d'être subtile à cause de sa jambe mécanique. Elle portait désormais toujours un grand trench de cuir brun foncé mais légèrement délavé qu'elle avait trouvé au Souk. Elle gardait désormais ses cheveux couleurs de feu long avec un foulard pour dégagé son front...

Elle arriva par-contre au mauvais moment. Duval et Wagner était sur le podium, Matiel par-terre, une infirmière blonde dont tous les regards étaient fixer sur elle. Légèrement surprise, elle se faufila vers une de ses connaissances, monta ses goggles sur le dessus de son foulard et abaissa son masque à gaz.

''Il se passe quoi la...''

''eh bien Matiel veux faire lever les décrets d'exécution automatique et autorisé la reproduction des nons-humains...Il est clair que Monsieur Duval ne veut pas laisser faire ça...''


''...fuck...''

La gamine s'accota sur le mur...Elle était désormais tellement divisé sur quoi penser, pour ou contre les mutants. Tout était flou, elle était désormais dévot, son statut lui demandait d'haïr les nons-humains...mais une partie d'elle n'aimait pas toute ses violences...mais d'un autre côté, elle était rendue avec un côté tellement noir...


_________________

L'oeil unique et noisette de l'archange se posa sur Ariana avec toute la froideur de se coeur de marbre. Son regard pénétrant et lourd était celui d'un fanatique à non pas douté. Le regard d'un homme déterminé dont la foi n'est plus à faire et dont les preuve furent faites depuis des années déjà. Ce genre de regard qui à l'exacte différence de la jeune infirmière n'exprimait pas plus d'empathique qu'une pierre givré lors d'un long moi d'hiver. Puis l'Archange eut un rire, un rire cynique et mauvais à faire frémir le plus dur des Silvers Scales.

Duval défit doucement 3 boutons de sa tunique d'apparat laissant tomber le long de son corps un membre ressemblant à une tentacule rougeâtre et barbelé d'ossement venant frôler le sol. L'Archange n'était plus humain depuis bientôt 5 ans après tout.

- C'est monstre sans cervelle comme tu le dis Matiel.

La tentacule vient saisir l'inquisiteur à la gorge.

- Ne mérite pas de frôler le sol qui est celui de l'humanité et quand j'en aurais finit de cette race bâtarde je serai plus qu'heureux qu'on m'arrache ne matyre à ma condition et que l'on me jeté ne pâture à la mort même. Il n'est pas demander à l'inquisition d'être humaine il lui est incombé de détruire se qui ne l'es plus et qui ne cherche pas à se repentir.

L'archange raffermit puis resserra sa ''poigne'' sur la gorge de Matiel

- Et quand une petite gueuse vient affronté mon autorité quand elle n'a même pas un statut de Dévot, je doutes de tes choix inquisiteur et de ton utilité, car ton corps change cela se vois maladie? ou mutation?

ajouta l'homme sur un ton cruelle puis un bruit de porte se fit entendre. Et une femme flottant à 30 centimètre du sol fit son entré... une entré plus que remarqué. Enmitoufflé dans une robe de satin blanc immaculée Samiel Janini dans la corpulence et le visage était maladif s'exclama.

- SA SUFFIT !

Duval ne lâcha pas de suite Matiel.

- DUVAL J'AI DIS sa.... la femme eut une forte quinte de toux avant de terminer son ordre d'une voix sifflante. SUFFIT!

À se moment l'archange n'eut de choix que de laisser respiré et tomber Matiel ramenant son membre muté à lui pour le remettre en place et le cacher sous sa tunique d’apparat. Samiel franchie toujours en lévitant les quelques mètres qui la séparait des instigateurs de tout cette émoi. Wagner sembla vouloir lancer une protestation, mais la femme lui coupa la parole d'un signe de main impérieux. Elle n'aurait pas du se trouver la... et pourtant elle y était. Ses long cheveux gris flottait autour d'elle comme porté par une brise fantomatique et invisible. Ses grand yeux en amande dont l'iris était d'un brun acajous clair se posèrent sur Duval.

- Laisse le

Elle se tourna vers l'assemblé.

- L'assemblé est levée et rien pour l'heure ne restera changer! Ceci est un décret émit par moi-même Samiel Janini Sainte pontife.

Duval n'eut de choix que de quitter Wagner cependant resta, mais Samiel le congédia.

-Vous en avez déjà bien assez fait.

À la mine de haut-prêtre les mot de Janini n,avait rien d'une mélodieuse symphonie à ses oreilles. Janini approcha de l'inquisiteur Matiel pendant que la foule quittait.

- Vous et la jeune infirmière êtes sommés dans mes quartiers.

Ajouta-t-elle avant de tourner le dos et de quitter.

----------
Ariana était complètement pétrifiée. Dans son esprit, tout semblait se passer au ralentie. Et pourtant elle ne s'élança pas comme elle l'aurait voulu pour faire un bouclier de son corps. Elle se contenta d'ouvrir grand les yeux. Une horreur sans nom flottait au creux de ses prunelles, dans la même veine que ces peurs d'enfants irraisonnées. L'infirmière ne détachait plus son regard du tentacule monstrueux qui avait agrippé l'inquisiteur. Son cerveau criait à son corps de s'évanouir, de s'affaler là pour ne plus avoir à regarder ce sordide spectacle, mais quelque chose l'en empêchait. L'adrénaline sans doute. Des sueurs froides parcouraient sa peau et ses mains étaient moites.

La jeune femme atteignit à nouveau le seuil de ce qu'elle pouvait regarder sans réagir. Elle fit un pas vers le mutant, et ouvrit la bouche, mais fut interrompu par une entrée fracassante. Comme tout le monde, Ariana tourna les yeux vers la nouvelle venue. Elle était majestueuse dans sa robe de satin blanc, mais l'infirmière devinait que cela exigeait d'elle sans doute un grand effort. Elle le voyait au teint... et la quinte de toux ne démentait pas que quelque chose ne tournait pas rond chez elle.

Enfin l'archange lâcha l'inquisiteur qui s'effondra à demi sur le podium. Ariana hésita longuement avant de se déplacer avec la plus grande prudence vers Matiel. Quand elle parvint à sa hauteur, elle lui tendit une main bienveillante. De toute façon la foule quittait, il n'avait pas besoin de faire le fier.

« Inquisiteur, je vous en prie... Laissez-moi vous aidez. »

Elle rajouta plus bas :

« J'ai vos résultats... »

La dame congédia les deux autres et se tourna vers eux. Ariana leva doucement les yeux vers elle, soufflée par sa prestance. Seigneur! Elle s'en était mieux tirée qu'elle le pensait avec l'archange... mais peut-être que sa chance s'arrêtait là. La jeune femme prit soin de s'assurer que l'inquisiteur pouvait se tenir sur ses pieds. Elle sentait la culpabilité remonter dans sa gorge et elle ne put s'empêcher de déclarer d'une voix douce :

« Je suis vraiment désolée... Je ne pouvais pas rester là sans rien dire. J'espère que cela ne vous attira pas trop d'ennuis. Comment vous sentez-vous? Avez-vous besoin de moi pour marcher? »

-------------

Riki resta sans mot vis a vis ce qui se passait...ses êtres étaient d'une puissance inégalable ou presque. Ils se disaient contre touts ce qui étaient inhumain et ils étaient les êtres les plus inhumains qu'elle connaissait. Il était la aussi le paradoxe...Mais il l'avait aidé payer ses frais médical, donner une nouvelle jambe, un nouveau , métié....

elle caressa sa nuque...cette cicatrice. Elle n'aimait mieux ne pas y penser...Après l'annonce de la grande dirigeante. Les gens se bousculèrent pour sortir. Elle resta allongée sur le mur. Elle n'était plus très habile. Elle avait de la difficulté à s'habituer... Elle pu voir au loin l'infirmière sur le stand, prendre soin de Matiel...Matiel qui avait été si bon avec elle. Il ne méritait pas de se faire traiter ainsi...cela lui faisait mal au coeur de le voir si faible... D'Ailleurs elle avait commencer a prendre ses distances. Elle ne voulait plus s'attacher a qui que se soi.

Lorsque tout le monde ou presque fut sortie, Riki se retourna vers le podium et fixa l'infirmière.

''T'sais...ta bonté et ta générosité vont te mener a ta perte...''

Ce n'était pas une menace...son ton était lasse. Quoique probablement une petite pointe de jalousie...Riki avait perdu ce côté naif et bon enfant. Chose que la jolie blonde semblait avoir.

Elle fit un salut de la tête à l'inquisiteur et quitta la pièce ah moins qu'on la retienne.

_________________

Matiel resta hypnotisé par la tentacule qui venait de sortir de l'archange, à un point tel qui ne pus l'esquiver alors qu'elle envelloppa son coup. Il sentait son coup le lâcher, il sentait l'incroyable pression lui boucher la gorge. Le sang lui remonta à la tête, l'aire commença à lui manquer. L'inquisiteur poussa des grognements de contrainte et utilisa ses mains pour tirer de toutes ses forces sur la tentacule, mais sans succès. Il étaira alors une main, cherchant désespérément de trouver de l'aire. Il allait mourir, il le savait, plus rien ne pouvait changer ce fait. Un inquisiteur allait se faire exécuté publiquement, par un mutant en plus. Matiel avait presque envis de rire à cette ironie.

Puis l'archange le relâcha. Le corps de l'inquisiteur s'écroula au sol. Il toussa frénétiquement avant de prendre goulument des bouffers d'aires. C'est en relevant les yeux qu'il tomba sur la présence imposante de Samiel Janini. Matiel utilisa le peu d'énetgie qu'il avait pour se redresser et se prosterner devant elle. Qui pouvait autrement devant un être aussi divin qu'elle. À la demande de la dirigeante, Matiel aquiessa de la tête en lui répondant:

- Oui madame.

Puis ses énergies le lâchèrent de nouveau et il retomba au sol. Il vit alors la silouhaite familière d'Ariana se poser devant lui. Elle lui offrait son aide, l'inquisiteur ne posa aucune opposition et lui agrippa la main afin de pouvoir se relever. Puis, il lui passa une main autour des épaules afin de gader l'équilibre. « Merci » chuchota t-il faiblement.

Matiel entandit ensuite la voie familiaire de Riki, nouveau dévot parmis ses rangs. La phrase qu'elle lança à l'infirmière sonna faux à ses oreilles, il ne reconnaissait plus la petite Riki qu'il avait découvert au paravant, cela le perturba moindrement.

- ATTEND!

Lança t-il alarmé à la jeune Bago avant qu'elle ne parte.

- Quand tout cela sera terminé, rejoin moi dans mon bureau, tu mérites de savoir toute la vérité sur son passé. Je te donnerais le fruit de tes labeurs.

Dit-il avec un ton d'honnêteté. Il fit signe ensuite à la jeune infirmière de prendre le couloir afin de rendre visite à la dirigeante elle-même de l'inquisition. Toujours en s'appuiant contre elle, Matiel lui donna ses directions pendant qu'ils marchèrent.

- Peu importe ce qui arrive, ne la regarde pas dans les yeux, ne parle pas si elle ne t'as pas posé de question et ne remet rien de ce qu'elle va dire en question... Désolé de t'avoir entraîné dans tout ça.

_________________

Ariana en était à aider Matiel à se maintenir sur ses pieds quand une voix fusa d'où se trouvait la foule désormais partie. Elle tourna la tête vers l'endroit en question et vit une femme se tenir là, l'air décontracté... presque masculine. L'infirmière se contenta d'hausser une épaule, ne sachant pas quel genre de réponse elle pouvait donné à ce genre de remarque. Elle était infirmière et avait fait le voeu de venir en aide à ceux qui en avaient besoin. Elle n'avait pas le droit de tourner le dos à cette promesse simplement parce que cela lui mettrait les deux pieds dans les plats. Et puis, elle avait vécu pire. Le bandage à son poignet le lui rappelait bien assez. Les sutures ne la tiraillaient plus vraiment, mais elle devait chaque jour surveiller que la plaie ne s'infectait pas. Après tout, qui pouvait savoir quel genre de bactérie il y avait dans la bouche du défunt mutant?

Non, Ariana n'allait pas lui répondre. D'autant plus que l'inquisiteur la retenait d'un trait de voix. Ils se connaissaient. Rien de surprenant... Ils faisaient partis de la même organisation malfaisante et débauchée. Apparemment, c'était une habitude pour l'inquisiteur d'inviter des jeunes femmes dans son bureau pour discuter d'affaires importantes. Heureusement qu'il s'agissait vraiment de discussion et pas d'une façade pour assouvir de bas instincts.

Matiel lui fit un signe de prendre le couloir. Elle devait mener la marche parce que lui tenait à peine debout. Sans en avoir vraiment conscience, Ariana souleva un sourcil. Même encore il se sentait à l'aise de lui imposer les choses. La politesse? Ça n'existait pas ici. Ce n'était qu'autorité et soumission. Bref. La jeune femme s'engagea dans le corridor, suivant les indications de l'inquisiteur pour se rendre dans le bureau de la grande dame. Il la gratifia de quelques conseils avisés et s'excusa de l'avoir entraîné dans tout cela. Un peu tard... Il la faisait quand même chanter pour qu'elle reste parmi eux, sinon elle aurait prit ses jambes à son cou et aurait refusé sèchement de l'aider de quelque façon que ce soit.

« Elle va mourir bientôt, n'est-ce pas? Elle émane l'énergie d'un mourant. J'ai raison? » murmura-t-elle pour éviter que qui que ce soit l'entende.

Ils arrivèrent devant la porte du fameux bureau. Ariana toqua deux petits coups légers puis entra, supportant toujours l'inquisiteur de son mieux. Elle était loin d'être assez forte pour continuer à servir de béquille encore bien longtemps. Intérieurement, elle priait pour que la dame permette au moins à Matiel de s'asseoir. Ça ne serait qu'un minimum de bon sens vis-à-vis un homme de sa qualité et surtout dans son état. Il venait quand même d'être assez secoué. Ariana suivit les conseils de son supérieur, fixant son regard sur le bureau devant la dame. Elle ne souffla mot, laissant Matiel le faire. Elle avait commis assez de fautes diplomatiques pour aujourd'hui.

--------------

Matiel marcha avec beaucoup d'inquiétude, comme s'ils étaient dans le couloir de la mort. À chaque pas, il s'imaginait un scénario différent de ce qui pourrait ce passer, la pluspart avaient une fin sombre.

La question de l'infirmière le fit sortir de son analyse. Une question dangereuse, mais une analyse honnête, se disait-il. L'inquisiteur lui répondit avec autant de prudence.

- Vous allez rencontrer la créatrice de l'inquisition. Je ne sais si ses énergies sont faible, mais je sais ce qu'elle peut faire. J'ai entandu dire qu'elle est capable de tuer 8 hommes seulement avec une pensée. Certaines rumeures disent que tout ce pouvoir est en train d'aspirer son énergie vitale, peut-être est-ce la raison.

Matiel n'ajouta rien, les deux étaient arrivés devant la lourde porte d'entrée. Il laissa l'infirmière cogner et atendit avec patience.

_________________

Les deux personne durent passer plusieurs portes habituellement close avant de déboucher sur un ascenseur qui les fit monté de plusieurs étage avant qu'il ne débouche sur un corridor totalement vide et d'un blanc immaculé. Le corridor éclairé au néon s'étirait sur 10 bon mètres avant de déboucher sur un autre corridor perpendiculaire ils n'eurent pas le choix de prendre a gauche car à leur droite se dressait une vitre donnant sur l'extérieur. Ce corridor plus petit laissait voir une lourde porte de fer noir et deux haut inquisiteur posté devant celle-ci dans une petit pièces pas plus grande qu'un salon.

l'un des haut inquisiteur au cheveux blond et au yeux d,un bleu pur salua Matiel.

-Inquisiteur Matiel sa sainte pontife m'a prévenu de votre arriver.

Malgré le ton très doux et avenant de cette homme il se lissait en lui une certaine crainte, voir de l'inquiétude. Malgré tout il se tourna pris son badge au armoirie de l'inquisition et le passa pour faire ouvrir la lourde porte tel une clé.

-Veuillez me suivre.

Tout trois passèrent la porte pour se retrouver dans un court corridor ou au bout était visible des rideau de plastique étanche ainsi que du matériel de décontamination et d’aseptisation.

-Il y a 2 cabines pour vous changer enfiler les tunique dans celle-ci je vous pris puis prenez le désinfectant sec et en aérosols pour vos cheveux et vos main.

Il laissa Ariana et Matiel s'exécuter puis il leurs fit signe de le suivre et ils s’engouffrèrent dans les rideau de plastique pour déboucher sur un appartement immaculée et bien entretenu ou poussait nombre d'orchidée et de rose dans de magnifique vase. le haut inquisiteur les menas à deux grand e portes vitré mais givré et il en ouvrit une doucement puis leur fi signe d'entré.

Dans un grand lit à baldaquin coucher telle une mourante Samiel Janini repossait le dos légèrement redressé par un cousin habillement placer derrière elle. La pontife fixait les deux personne d'un regard intense à la fois noble,intrensigeant, doux et fatigué. Elle ne leva qu'une main aminci au doigt noueux et squelettique.

-assez-vous

dit-elle en pointant deux fauteuils de cuir noir placer du côté gauche de son lit près d'elle.

--------------


L'infirmière suivit les instructions à la lettre. Ce genre de protocole lui était bien familier. La dame devait être d'une grande vulnérabilité s'il fallait suivre toutes ces étapes. Par sa simple sortie de tout à l'heure, elle avait certainement compris sa santé et sa sécurité. Pas surprenant alors que toute la petite assemblée ait été étonnée de voir la grande pontife se joindre à leur réunion. Ariana aida l'inquisiteur à opérer toutes les opérations de désinfection. Les appartements étaient immaculés, ç'en était presque douloureux pour les yeux. Heureusement que les orchidées et les roses venaient rajouter une touche de couleur sinon la pontife aurait eu toute les raisons de devenir folle dans cet environnement stérile.

Lorsqu'ils s'approchèrent du lit à baldaquin, Ariana réalisa qu'elle avait vu juste sur la faiblesse physique de la pontife. Elle était étendue, squelettique, mourante. Et pourtant son regard était encore plein de vivacité. Quel âge pouvait-elle avoir? C'était difficile à dire tant les indices venaient se contredirent les un les autres. L'infirmière attendit qu'on lui donne la permission de faire quoique ce soit. Quand la dame leur intima de s'asseoir sur les fauteuils, la jeune femme raffermit un peu sa prise sur l'inquisiteur et l'aida d'abord à s'installer avant d'elle-même prendre place. Ariana prit soin de s'asseoir bien droite, sans s'adosser au dossier du fauteuil, sans pour autant avoir l'air coincé ou faussement appliqué dans sa posture.

L'infirmière s'interrogeait sérieusement sur la suite des choses. Allait-elle les tancer comme deux enfants ou allait-elle leur prodiguer de précieux conseils sur la façon de changer les choses en douceur? Allait-elle révéler un secret? Ou les interroger? Les rumeurs disaient qu'elle pouvait tué huit hommes avec son esprit... mais les rumeurs exagéraient souvent les faits, voire les inventait de toute pièce. Peut-être avait-elle même elle-même lancer ces rumeurs afin d'être crainte par ses sous-fifres. C'était logique, et intelligent. Ariana ne trouvait cependant aucune réponse satisfaisante à toutes ses questions. Elle devait simplement attendre et voir ce qui se passerait.

------------

Matiel acquiessa aux commandes de son suppérieur d'un hochement de tête et se dirigea vers l'une des cabines. L'inquisiteur se entait perdu dans cet endroit qui pourtant faisait parti de son lieu de travail. Si peut de gens avait la chance de rentré dans ce lieu interdit et Matiel avait toujours espérant avoir eu la chance d'y prénétrer, mais pas dans ces circontances, loin de là.

Le désinfectant sec était une sensation étrange pour lui, il pouvait presque sentir la salet. et la radiation quitter son corps. Puis, il passa aérosol sur son crâne imberbe et ses mains avant d'enfilé. Une fois terminé, il enfila la tenu en laissant derrière ses sceaux de pureté et son habituel chapeau.

Matiel atendi ensuite que la jeune infirmière sorte de la cabine avant de franchir en sa compagnie avant de franchir les rideaux de plastic. Une fois de l'autre côté, l'inquisiteur eu le souffle coupé. Si le paradis existe, il devait ressemblé à cela, se disait-il. C'était la première fois qu'il avait vu des fleures, des vraies! Et les vases ne faisait qu'embélir leurs beautés, Matiel avait presque envis d'en prendre un avec lui.

Passé la porte qui menait à la chambre de Samiel Janini, celui-ci ne pris qu'une seconde avant de s'agenouiller de nouveau, atendant que celle-ci prononce son ordre avant de se relever. Et il fut de nouveau surpris par les lieux quand il arriva aux fauteuils de cuires, si rare et si confortable. Mais malgrés tout ce luxe, Matiel resta raide sous la tention, car il savait que lui et Ariana étaient dans un lieu dangereux et dans une mauvaise situation.

_________________

Janini eut un toussotement avant de prendre une profonde inspiration sifflante et de commencer à parler d'une voix claire.

- Inquisiteur Félias Matiel je ne vous aurais pas sauvé la vie face à l'archange Raphael Duval si c'était pour vous condamné quelque temps plus tard dans mes appartements. Calmez-vous tout deux, inquisiteur vous avez eut un cran ,que j'ai rarement eut la chance de voir ,aujourd'hui.

Elle fit une pose pour tousser puis elle fit venir a elle une petite pompe bleu et en prit une inhalation profonde avant d'arrêter de respiré durant 30 seconde puis d'expiré longuement. D'un autre mouvement de main un fit s'allumé une télévision ou l'on pouvait voir le lieu de rencontre de tout l'inquisition. L'endroit même ou Matiel avait fait son discourt quelque minute plutôt.

- Vous m'avez surprise aujourd'hui inquisiteur Matiel et j'aimerais savoir se qui vous motives à changer autant les règle mises en place par vos prédécesseur Inquisiteur.

La femme porta son regard perçant uniquement sur Matiel avec un regard si humain et doux... qu'une femme comme elle ne pouvait pas être l'instigatrice d'autant de mal...c'était impassible. Puis il se posa sur la jeune infirmière.

- et toi jeune fille tu ne dois même pas avoir 20 ans je me trompes? Qu'est-ce qui ta pousser à parlé? Au sein d'un endroit ou tu n'es pas la bienvenue et ou t'as vie ne tien qu'au bon vouloir des gens qui s'y trouve?


---------

Ariana se tortilla légèrement sur son fauteuil, ne sachant trop comment se tenir en attendant que Janini porte son attention sur elle. Évidemment, comme elle s'y attendait, la dame ne les condamna pas vraiment ni l'un ni l'autre, Elle les avait fait venir davantage pour assouvir sa curiosité. La jeune femme contempla d'un regard absent l'écran qui montrait la salle, désormais vide, du rassemblement. L'infirmière reporta son attention sur la pontife avec un petit sursaut quand elle entendit le «jeune fille». Sans la regarder dans les yeux, la blondinette répondit :

« Non, madame, vous avez raison. Croyez-moi si j'avais eu le choix, je ne me trouverais pas ici à coopérer avec l'inquisition. Ne vous en déplaise, mais je n'ai que très peu d'affection pour l'Organisation. Cependant, je me devais de parler. Certain dirait que c'est du suicide, mais pour moi ce n'était qu'une question de justice et d'équilibre. Je ne crois pas qu'une humiliation publique doublée de coup physique étaient justifiés. L'inquisiteur Matiel n'est plus un frais jeune homme, s'en prendre à lui était, à mon avis, une preuve de lâcheté. »

Ariana prit quelques secondes avant de rajouter.

« Je me mets sans doute les pieds dans les plats pour discuter ainsi les décisions de gens plus... hum... haut gradé que moi, mais c'est ce que je pense réellement et je ne crois pas qu'un mensonge vous aurait été satisfaisant comme réponse. D'autant plus que je mens très mal. »

La jeune femme haussa une épaule, un peu détaché. Advienne que pourra.

----------

Matiel atendit patiament que la dirigeante de l'inquisition eu finit de parler pour éviter ne serait-ce que de la coupé. Mais la jeune infirmière répondit avant lui, et pour être frand, Matiel aussi était très intrigué par les raisons qui avaient poussé Ariana à agir ddevant l'archange. Sa réponse donna cela dit un frisson dans le dos de l'inquisiteur. C'était une réponse directe, sanglante, mais honette devait admettre Matiel, chose qui devenait de plus en plus rare dans ce district malheureusement. Une fois la jeune femme eu terminé ses explications, Matiel répondit à son tour. Il allait maintenant laissez tombé le côté logique pour toucher le côté émotionnel.

- Votre sainteté, je me souvient de la création de l'inquisition, je venais à peine de sortir de l'orphelina à ce moment. Vous aviez fait un discourt des plus émouvants, lequel m'a fait prendre conscience de qui nous étions. Nous étions les soldats de la lumière, les agents de la mort et les gardiens de l'équilibre, tout cela en même temps. Notre devoir est divin et notre rôle est vital pour ce district. Et je m'en suis souvenue à chaque fois qu'il était nécessaire de retirer un non-humain. Mais maintenant, je ne ressent plus rien, je suis rendu à tuer sans remord, sans mêm à avoir à me questionné sur ce que je fais. Et je vois ce manque d'humanité se propager dans nos rangs. Je vous le demande, votre sainteté, que sommes-nous devenu? Une organisation de psychopate? Si le but était de faire un génocide, l'armée aurrait très bien pu le faire à la place. Nous vallons mieu que cela et je le comprend maintenant. J'essaie de sauver les non-humains inoçants, mais aussi notre humanité à tous.

À la fin de ce discourt, Matiel soupira, il se sentait soudainement plus légé après s'être vidé le coeur.

_________________

Janini soupira longuement. Le regard de Samiel sembla s'embrumé un peu et la dame reprit une profonde inspiration après la fin du discourt de Matiel. Elle avait écoutée patiemment et sans émette de mécontentement les deux personnes face à elle. C'est a Ariana qu'elle répondit en premier.

- en effet un mensonge m'aurait déplut et irrité, car je n'aime point le mensonge cependant une femme comme vous devrait apprendre à mâcher ses mots pour nuancé ses propos elle aurait tout à gagnée à faire cela. Et surtout éviter les idées préconçue avant de posé une opinion.

Elle fit une petite pose pour reprendre son souffle avant de continué.

- parler de justice et d'équité peu être quelque chose de fort dangereux ici au district, car la justice de l'un n'est pas toujours celle de l'autre et l'équité vas de même. Ne voyez pas cependant mes propos comme une menace ce n'est ici qu'un simple conseil. J'en convient que ma création n'es plus tout a fais se qu'elle... était.

Puis elle retourna son regard vers Matiel.

- Une sage lecture inquisiteur je n'en avais entendu de pareil depuis un moment. Je suis étonnée et agréablement étonnée de voir qu'un homme comme vous et aussi fanatique que vous ayez pu être semble changer de voie.

Janini eut un nouveau long soupire.

- L'inquisition est à présent ronger par la haine et la vengeance deux ange bien perfide qui vole tel des vautours au haut de se bâtiment. Nous ne pouvons laisser l'humanité se complaire de ses mutations, car inexorablement elle deviendrait monstrueuse et en oublierait se que fait d'elle se qu'elle est nous ne nous retrouverions pas mieux que ses bêtes qui courent au dehors des murs de se district. Mais la vie d,un inquisiteur est dur je ne vous apprend rien Matiel. La mort vous épouse le jour ou vous recevez vos premiers sceaux elle vous en lasses et ne vous abandonne plus vous êtes la main armé de l'Ordo Justicar.

Elle fit un mouvement de main et un tirroir s'ouvrit d'un bureau placer face au lit contre le mur ou les deux porte se trouvait un peu à droite. Il en sortit un petit pas et un crayon suivit à sa suite jusqu'à la femme.

-Tout vos nouveau décret seront accepté inquisiteur Matiel. Ils seront dès demain appliquer, à une seule petit exception. Je ne lèverai pas l'interdiction de reproduction des mutants. Je la lèverai uniquement pour les zoomorphes et avec pour obligation de ne pas avoir plus d'un rejeton s'il ont des jumeaux ils devront en faire adopté un.

Elle signe quelque papier de sa mains squelettique et faible.

-transmettez ces papier au à votre collègue à la sortit quand nous aurons terminez voulez-vous s'il vous plaît Haut inquisiteur Félias Matiel?

Lui dit-elle en lui tendant quelque papier avec le sceau de l'inquisition et le sceau personnel ainsi que l’armorie de Janini


----------

Matiel aquiessa à mainte reprise en hochant la tête. La façon que parlait Janini était toujours des plus remarcable et Matiel s'était toujours émerveillé à écouter ses discourts, ne s'étant jamais retrouvé à devoir se forcer pour prêter atention. C'était poésie et analyse mélangé ensemble, un lien entre la parabole religieuse et la réalité humaine. Magnique, tout simplement. Inquisitrice et prêtresse à la fois, Matiel n'avait aucun doute face à sa position pour gérer l'inquisition.

La réponse de la dirigeante fit sursauté l'inquisiteur. Matiel se réjouissait de cette afirmation, avoir la sainte de l'inquisition de son bord était la victoire la plus complète que Matiel ne pouvait espérer ateindre. Il avat donc réussi à faire changer les choses.

Mais ce fut la dernière phrase de Janini qui lui donna presque une crise cardiaque. L'inquisiteur se disait d'abord qu'il avait dû mal entendre, mais ne pu retenir d'avantage son entousiasme.

Il se retrouva en deux secondes agenouillé devant Janini, le bras droit autour du torse.

- Votre Sainteté, vous m'honorez de votre jugement, je le jure sur la porteuse de lumière, je ne vous décevrez point.

Par la suite, il pris délicatement les papiers et se releva.

_________________

- je m'en doutes Félias, je m'en doutes. Faites simplement attention haut inquisiteur de ne pas retomber dans de vieille habitude.

Elle eut une nouvelle quinte de toux et celle-ci dura un moment...peut-être unpeu trop long pour Ariana qui put comprendre à quel point le système respiratoire de la femme était atteint peut-être avait-elle en se moment de l'eau sur les poumons? une pleurésie ou une pneumonie lancinante? Elle n'aurait pas pu jurée, mais pour la jeune femme Janini ne semblait vivre que sur quelque infime espoir.

- Ce sont des lumières dont j'ai besoin aujourd'hui, trop longtemps le district à t'il marcher dans l'ombre. La guerre, puis la peur qu'elle a engendrée... elle est aujourd'hui loin et à présent nous avons peur de l'avenir, car il ne sera pas aisé Dieu/Hala/YWHW ils nous ont testé et nous teste toujours n'oublié jamais cela Félias... mais pardessus tout n'oublié pas qu'un actes mauvais demandera en retour un acte bon. Je vous vois à présent sur un chemin peu emprunté long et ardu haut inquisiteur attention au faut allié, au détour et au carrefour ne vous perdez pas.

Puis Janini se tut le visage se reposant joue contre l'oreiller. Elle prit un grand respire sifflant.

- Je n'ai plus la fougue que j'avais avant et je vois ou mon oeuvre se mène elle-même.

Elle eut la voix couper par une boule et ses yeux se voilèrent de brume translucide.

- Soyez ma repentance Haut inquisiteur, je n'ai plus la force qu'il faut pour mener un tel combat et n'y celle de devoir affronté mes propres gradé. Si je vous ai nommé haut inquisiteur c'est pour que vous puissiez progressé Matiel. Duval n'est plus qu'un mutant rongé par la haine. C'est une des âme les plus sombre à présent qu'il m'est été donner de voir.

Elle regarda vers la fenêtre.

-progressé et dépasser le ceci est un ordre.

----------

L'idée de dépasser l'archange sonnait amer dans les oreilles de l'inquisiteur. Du temps qu'il était un radical extrémiste, Matiel avait toujours ue le plus d'admiration pour Duval et son rêve impossible à ateindre était un jour d'être à son niveau. Mais voilà qu'il s'était détaché de la vision de l'archange, et maintenant il devait le surpasser. L'ironnie le frappa de nouveau, mais dans un scénario qui plaisait largement à l'inquisiteur. Il hocha de la tête et continua de mettre sa douleure de côté.

- Votre sainteté, vos ordres seront exécutés, j'y veillerais de tout mon âme. Puisse la Grande Impératrice de lumière veiller sur vous.

Il salut une dernière fois Janini d'un signe religieux de la main et se retourna, faisant face à porte d'entrée. Il demanda discrètement et poliment à Ariana à de l'aider à sortir du bureau.
Revenir en haut Aller en bas
https://cfftdc.forum-canada.com
 
Une nouvelle ère?
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Nouvelle arrivée

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Cfft le dernier commencement :: Le commencement :: Les archives-
Sauter vers: