Trois coup à la porte. (Ariana)

Malgrés le fait qu'Ariana travaillait pour lui, le haut inquisiteur ne s'était jamais permis de savoir où elle habitait. Cela aurrait été facile pour lui, tout ce qu'il avait à faire était d'ouvrir un dossier et regarder. Mais il préferrait laisser cette intimité à ses agents.

Non, c'était plutôt avec qui ell vivait qui forca Matiel à briser cette limite d'intimiter. Un monstre ambulant qu'on avait appellé Alexandre. Un charmant type de l'extérieur, une pourriture de l'intérieur. C'est pour cela qu'il avait mis l'apartement sous surveillance.

Ses agents ne lui rapportaient rien d'anormal, mais Matiel n'en était jamais convaincu. C'est qu'en il entandu la rumeur qu'ils étaient séparés que l'inquisiteur n'en pouvait plus d'atendre. Il décida d'en avoir le coeur net.

C'est ainsi qu'il se rendit à la porte de l'appartement de la jeune fille et se présenta au son de trois coup à la porte.

Quand la porte s'ouvrit, Matiel salua sa réceptrice d'un hochement de tête. Mais dès son premier pas dans l'appartement, il fut surprit de l'apparence de celui-ci. Balayant septiquement la pièce du regard, il le paysage de boîte qui se trouvait devant lui.

- Tu déménages?

Demanda-t-il en continuant de compter les boîtes. Leurs nombres indiquaient qu'une seule personne s'apprêtait à déménager, et non deux. Deplus, Matiel ne perçu point la présence du mort-vivant, ou quoi que ce soit qui prouvait qu'il vivait encore là. Cela rassura l'inquisiteur. C'est alors qu'Arianna lui posa LA question qu'il voulait éviter. Voyant qu'il ne pouvait plus cacher son jeux, Matiel lui répondit.

- Bon d'accord. J'ai été mis au courant que tu vivais avec le sujet numéro 17, Alexandre. Et j'ai aussi appris qu'il était parti à présent. Je voulais en avoir le coeur net, c'est tout... Donc il est bien parti?

Démanda-t-il sans gêne

Ariana fut choquée. Son visage l'indiquait clairement. Les paroles de l'inquisiteur lui firent l'effet d'une gifle monumentale. Elle dût secouer la tête pour se reprendre en main. Le numéro 17? De quoi parlait-il? L'infirmière pinça les lèvres et avala difficilement sa salive. Ses yeux se baissèrent brièvement avant qu'ils ne replongent dans ceux de son supérieur.

« Alexander Lass? Oui, il est parti. Ou plutôt, je l'ai mis à la porte. »


Encore une fois, son regard se baissa, mais cette fois il resta rivé sur le bout de ses chaussures. Elle sanglota une première fois. Elle voulait se retenir autant que possible, mais il venait d'enfoncer son doigt directement dans la blessure. Avec la voix un peu moins assurée, elle poursuivit ;

« Quelqu'un n'arrêtait pas de m'envoyer des photos de lui avec d'autres femmes. Je pensais qu'il le nierait, qu'il dirait que c'était de vieux clichés, mais... Il a tout avoué avec l'audace de me dire qu'il m'aimait. Qu'il m'aimait et qu'il était désolé, qu'il... »

Trop tard. Ariana éclata en sanglots et cacha son visage dans ses mains. Un peu moins d'une minute plus tard, elle dégagea son visage et essuya ses larmes. Elle se racla la gorge et renifla doucement.

« Désolée. Je suis encore sous le choc. Je l'aimais. Je ne pensais pas qu'il me ferait quelque chose comme ça. J'aurais dû savoir que c'était la pire idée au monde que de vouloir avoir un semblant de vie normale. »

Soudainement Matiel se sentait mal d'avoir d'avoir demander. Cette sensation était aussi désagréable qu'inconnu pour lui. Il avait déjà fait des dizaines d'interrogatoirs où il avait pleurer jusqu'à épuisement ses prisonniers, alors pourquoi cette-fois était-elle différente? Pourquoi soudainement, il avait envis d'étripper à main nue ce Lass?

Hésitant un peu, il se rapprocha de la jeune fille pour la serrer dans ses bras. Il y avait un mois de cela, l'inquisiteur pensait qu'il était impossible pour lui d'avoir un contact physique aussi rapproché, mais une mutante lui avait prouver le contraire et cela l'avait profondément troublé.

Il resta ainsi pendant quelques secondes en lui murmurant que tous allaient bien allez. Puis il la relâcha pour voir si elle allait mieux. Quand ceci fut fait, il enchaîna.

- Je savais qu'il n'était qu'une pourriture, mais pas à ce point là... Va peut-être falloir que je m'en occuppe.

Matiel leva un sourcis interrogateur quand la jeue fille sortie la boutelle de la boîte. Mais il se disait que c'était une réaction normal fasse à l'épreuve qu'elle devait endurer. L'inquisiteur aurrait voulu lui dire qu'il comprenait ce qu'elle ressentait, mais ce n'était point le cas. Il n'avait jamais été en relation avec une femme, par conséquent, il n'vait jamais eu à vivre une rupture. Le simple concept même de l'amour était une entité totalement étrangère pour lui. Et en regardant dans quel état se trouvait l'infirmière, cela n'encouragait point Matiel à voulir donner son coeur à qui que se soit.


- Pour être honnête avec toi, je suis content que cette relation soit terminé, ça compliquait un pe les choses. Reste que cet homme est cinglé et cherchera par tous les moyens de te trouver, ça j'en suis sûre. As-tu un endroit sûre où déménager?

Malgrés le certain rapprochement qu'il avait amélioré avec la société en général, Matiel se rendait de nouveau compte de son manque de tac lors de situation délicate. Mirabelle, son assistante l'avait pourtant prévenu à de mainte reprise. Et pourtant, l'inquisiteur s'était quand même rendu sur place. Maintenant, il devait assumer ce qu'il venait de dire.

Mais le simple fait que la jeune fille était encore prête à venir s'assoir à côté de lui donnait encore un peu d'espoir à la situation qui devenait tendue.

- Dans ce cas, je peux bien vous donner la prochaine semaine en congé pour ton déménagement et pour te changer les esprits. Est-ce sufisant?

Demanda-t-il en rendant volontier le regard.

Quand Ariana sortie son arme à feu, Matiel n'ésita pour faire de même. La situation le dépassait un peu, mais il avait une très bonne idée de ce qui allait se passer.

Commepour confirmer ses soupsons, l'homme de l'autre côté commenca déjà par parler d'Alexander, juste la mention de ce nom faisait monter haine au coeur de l'inquisiteur. L'envis lui vint de tirer à maintes reprises à travers la porte pour ainsi voir cet idiot mourir dans son sang. Mais Matiel dû se retenir et se contenta d'écouter la scène.

Le discourt de cet inconnu lui coupa l'aire sous la gorge. Ainsi, cet ordure d'Alexander avait volé la virginité de son agente?  Au début, Matiel ne voulait même pas pensé à cette possibilité, mais maintenant, il devait se faire à l'idée, Ariana avait eu des relations sexuelles avec lui.

Cet alors que l'homme s'apprêtait à partir. L'inquisiteur agripa la radio qu'il avait dans sa poche. Il n'avait qu'à donner un simple ordre et cet homme serait capturé assez tôt. Par la suite, avec un peu de torture, Matiel pourrait savoir la location exact d'Alexandre. Mais après mûre réflexion, il laissa tomber et rangea la radio dans sa poche.

- « Pas aussi malade que je le pensait.»

Cita Matiel avant de s'avancer vers la jeune fille.

- Ce qui vient de se passer là prouve tout le contraire, en plus que tu as maintenant besoins d'être armé. Non, moi je crois qu'il ne s'arrêtera devant rien pour te ravoir, et ça, ça rend les choses... très compliqués. Ainsi, il a réussi à te prendre ta virginité avant de partir. C'est malin. J'espère au moin que tu n'es pas tomber en ceinte?

Matiel ne pu retenir un « ho » sortant de sa bouche quand la jeune fille mentionna son infertilité. Cette information lui revint soudainement, elle était enfouis à travers les tonnes d'autres informations que l'inquisiteur avait à assimiler en une journée. Inévitablement, il finissait par en oublier la grande majorité, jusqu'à ce que ceci le refrappe.

Étragement, il avait vue la réaction d'Ariana venir, pourtant, il ne se gêna point pour discuter de ce sujet. Les émotions humaines étaient encore nouvelles pour lui et la vie privée état encore un mythe pour l'inquisiteur.

Matiel obéis d'un hochement de tête à la requête de l'infirmière et se dirigea vers la porte de sortie. Mais avant de la traversé, il se permis d'en rajouter su le point.

- Malheureusement tu te trompes, il fait parti de mon devoir de régulariser la population... Ainsi que de m'assurer qu'aucun métisse ne voit le jour dans cette station. Ça implique les humains comme les non-humains. Ça va maintenant faire 8 ans que je m'incruste dans la vie sexuelle des gens, et je vais continuer à en faire ainsi. Mais bon, le choix t'appartient toujours.

Sur ces mots, il quitta l'appartement pour retourner à sa voiture.