Expédition dans les bas fonds.

Le choc fut si dûre pour Matiel qu'il dû se trouver un point d'apuis pour garder l'équilibre. Son regard était fixé sur le mur mais son esprit était dans les limbes, essayant de comprendre la nouvelle qu'il venait de recevoir.

- Il y a donc de l'espoir.

murmura t-il avant de reprendre ses sens. Il retira alors sa main du mure pour reprendre son équilibre.

- Merci beaucoup Ariana. Maintenant je te conseillerais de retourner dans ta chambre et de te reposer. Quand William sera réveiller, je vais m'arranger pour que tu puisses allez le voir. Cela dit, je vais devoir avoir une discution avec lui. Vos ordres étaient simplement de localiser l'emplacement des meurtriers, non pas de les engager en combat armé. Son initiative aurrait pu tous vous coûter la vie.

Ariana soupira longuement puis concéda de retourner dans son lit. Les anti-douleurs commençaient à faire effet et ses jambes flagellaient un peu sous son poids. D'un pas lourd et lent, elle entra de nouveau dans la chambre et monta sur le lit. Elle se glissa sous le drap qui ne servait pratiquement à rien vu sa minceur. L'infirmière souleva un peu son bandage.

« Je vais avoir besoin de point. Et vous devriez voir Gab. Je pense que le coup du trafique de viande humaine, c'était dur pour son jeune esprit. Surtout de voir les cadavres accrochés partout. Il est pas bien constitué pour l'Inquisition. Il a un coeur trop tendre. »

La jeune femme ferma les yeux et passa une main sur son visage. Au moins, son mal commençait à devenir un peu plus supportable. Elle savait que le sommeil viendrait bientôt.

« Réveille-moi si je peux voir William... »

Ariana fronça les sourcils à une vague de picotement sur son ventre.

« Et faudra me donner des antibiotiques... je sens que mon corps combat contre quelque chose. »

Elle sombra rapidement dans le sommeil et, moins de quelques minutes plus tard, son front était couvert de sueur. Son être luttait vaillamment contre les cellules mutantes qui cherchaient à l'infecter. Ariana gémissait dans son délire alors que des cauchemars sans queue ni tête venaient à l'assaut de son esprit embrumé. La fièvre monta encore et encore puis s'apaisa finalement jusqu'à ce que la blonde renoue avec la réalité. Elle se sentait faible, mais en vie. Elle n'ouvrit pas tout de suite les yeux, se contentant de geindre en tournant et retournant la tête sur l'oreiller.

- J'en parlerais aux infirmière en service. Par contre, pu d'anti douleur, à moin que ce soit prescrit. C'est tout.

Déclara l'inquisiteur en quitant la pièce avant de refermer la porte derrière lui. Il suivit le conseil d'Ariana et alla voir Gab pour voir comment il allait, suivit d'Adran. Mais la jeune femme était déjà tombé endormie à ce moment.

Le lendemain, après une horrible nuit de someil, on lui apporta son petit déjeuné au lit. Pendant cerepas, le docteur vint pour lui expliquer qu'il devait maintenant procédé aux points sur son ventre. On lui fourni une dose d'anti douleur avant le procéssuce. La jeune infirmière pouvait sentir la tention sur sa peau, mais sans plus. Une fois tout cela terminé, on lui changea son pansement et tous quitèrent la pièce pour la laisser se reposer de nouveau. Ariana resta encore deux heures toute seul quand soudain, une des infirmière rentra dans la pièce.

- Madame Dubé, c'est pour vous dire que le patient Willam s'est réveillé. Le haut-inquisiteur vous a donné l'autorisation d'allez le voir.

Elle s'aprocha alors d'elle pour l'aider à se relever de son lit.

À son entrée, l'infirmière vit l'agent couché sur son lit d'hopital recouvert d'un drap blanc. Non loin de lui se trouvait un plateau de métal où on avait laissé les outils médicales utilisés durant son opération, encore sanglant. Et juste à côté, elle pouvait distinguer la balle qui l'avait touché pas top loin du coeur.

L'assassin de l'inquisition tremblait légèreent et son frond était aussi recouvert de sueur. Il se revira tanquilement pour voir qui venait de rentrer, juste cet effort lui faisait.

- Qu'est ce que tu fais ici?

Eu-t-il apeine le temps de dire avant qu'Ariana lui posa ses questions. Il lui rendit son regard, froid et perçant, comme à son habitude.

- C'est quoi le problème, t'es pas cotente d'être en vie? T'aurrais préféré que je te laisse creuver? Parfait, je vais m'en rappeller le prochain coup.

Répondit-il sèchement, mais l'infirmière pouvait sentir qu'il essayait d'éviter le sujet.

Au contact des doigts de la jeune femme sur son frond, William secoua de la tête.

- Laisse moi seul!

Protesta-t-il. Mais dans son état, il ne pouvait rien faire de plus. Même qu'après quelques secondes, il començait déjà à se détendre sur les doigts d'Ariana. Il n'était visiblement pas habitué aux contacts physiques, voir même aux contacts humains.

En enlevant le drap, Ariana pouvait voir son torce nue recouvert d'un bandage aux torces, taché de sang à l'endroit où il fut touché par la balle. Son corps et sa musculature était celui d'un athlète acomplis, dont les formes se démarquaient bien. Le tout était recouvert de cicatrices racontant sa carrière au saint de l'inquisition.

- Pourquoi faut-il que tu me poses cet question.

Répondit-il avec un ton irrité.

- Je voulais pas que tu meurs...

À cet aveux, quelque chose dans son regard venait de changé, et sa voie n'était plus celle d'un homme agressif et insensible.

William ne répondit point à la question de l'infirmière. En fait, il fixa le plafond à ce moment, comme s'il était en train e s'évader mentaement de cette réalité. Par la suite, il utilisa l'aide de l'infirmière pour se redresser, contractant en même temps son torce.

Il la regarda changer son bandage sans dire de mot. Il la fixa tout le long, sans même cligner des yeux une seul fois. Il l'écouta parler, mais ne répondit à rien de ce qu'elle lui disait. Il ne montrat même aucune exprétion de douleur suite à la désinfectation.

- Non, c'est de ma faute.

Le coupa imédiatement l'éxécuteur suite à la dernière phrase de l'infirmière.

- Maitre Matiel avait raison. J'aurrais jamais dû lancer une attaque contre leur clan. J'ai été stupide, j'ai faillit à mon inquisiteur.

La tention commençait à monter dans sa voie et ses mains se serrèrent en poing pour exprimer sa colère.

Ariana secoua la tête et se mis à découper le bandage pour le coller sur son torse. Elle répondit tout simplement :

« Matiel, Matiel! Je crois que tu le surestimes. Tu n'as failli à personne. Tu as fait ce que tu pensais être juste. Tu as juste démontrer que tu avais autre chose dans la tête que les ordres de ton marionnettiste. Si tu avais réussi, il t'aurait certainement encensé. Mais bon... on s'est fait canardée. L'important, c'est qu'aucun d'entre nous ne soit mort. »

Elle soupira en pensant au pauvre Gab qui devait être sous le choc. Elle se demandait comment il encaissait le coup. Ariana appliqua une légère pression sur le scotch pour faire adhérer le pansement à sa peau, mais ses doigts s'attardèrent quelques secondes de trop. Ils repassèrent inutilement sur les bords du pansement, caressant les muscles sous le gaze. Son regard plongea pour la centième fois dans le sien, puis descendit à ses lèvres. La jeune femme se souvint du sang qui les avait recouverte. Elle avait eu peur.

« L'important, c'est que tu sois mieux déjà. En tout cas, ce l'est pour moi... »

Ariana s'empressa de rajouter, l'air un peu embarrassée :

« Parce que... parce que sinon, j'aurais eu ta mort sur la conscience. »

Elle n'y songea même pas et se pencha vers l'avant pour poser un baiser à la commissure de sa bouche, juste assez près pour que leurs lèvres s'effleurent. Elle se redressa rapidement, retirant ses mains de lui :

« Tu veux de l'antidouleur, hm? Tu peux mentir à tout le monde, mais moi je connais la souffrance... Je la reconnais. »

L'expression de Wiliam change imédiatement. Lorsque ses lèvres rentrèrent en contact avec celles de l'infirmière. Il resta fixe, à la regarder avec les yeux vide de tout. Au début, il avait son regard dure et froid habituel. Mais maintenant, il semblait sans conscience, sans vie, tel un homme qui venait de recevoir le baisé de la mort. Soudainement, il propulsa sa main à la vitesse du son pour agriper l'arrière de la tête de la jeune infirmière.

- Sais-tu vraiment ce que c'est que la soufrance?

Murmura l'exécuteur avant de forcer sa tête vers elle pour reprendre le contact des lèvres. Mais cette fois-ci, ce fut un long baisé langoureux, remplis de passion. Ariana pouvait entandre la forte respiration de l'agent alors qu'il mélangeait sa salive à la sienne.

Cette scène dura 6 longues secondes avant qu'il ne rompis la connection et retira sa main de derrière la tête de la jeune fille.

- J'ai pas besoin d'antiouleur, ça devrait allez...

Déclara t-il comme si rien ne s'était passé.

Sans même la regarder, William se tassa sur le côté pour lui faire une place dans son lit. Étrangement, la blessure qu'il avait ne semblait plus tant l'affecter que cela. Quand l'infirmière était finalement instalé à côté de lui, il écouta tout ce qu'elle avait à lui dire. Par la suite, il se tourna le visage pour la regarder avec des yeux remplis d'une tendresse étrange. Elle ne déformait pas les traits de son visage indifférent , mais se communiquait très bien par l'iris de ses yeux. L'exécuteur pris alors la main de la jeune infirmière et la plaça sur ses pectoraux, au niveau du coeur.

- Tu sens ça? Moi je ne ressens rien là. J'ai jamais rien ressentis de toute ma vie. J'ai tuer énormément d'homme et de femme dans ma vie, j'ai jamais éprouvé du plaisir à le faire, tout comme je n'ai jamais ressentis le remord. Je l'ai fat parce que c'était ma mission... ma raison d'être. Puis un jour, maître Matiel m'a chargé de guarderun oeuil sur ce Alexander. Encore une fois, je l'ai fait sans me poser de question. Mais quand j'ai compris que tu l'aimais, j'ai commencé à le détester. Le simple fait de le voir heureux me rendait malade. Et pour la première fois, j'avais le désir intense de tué. Mais étant donné que ce n'était pas mes ordres, j'ai juste cherché un autre moyen de mettre un therme à tout cela. Le jour que vous n'étiez plus ensemble, j'ai arrêté de m'intéresser à lui, l'envis de le tué était parti. Et ça m'a profondément troublé. Ariana, tu m'as demandé ce que je veux. Je ne le sais pas. J'ai jamais su ce qe je voulais. C'est pour cela que je voulais être à côté de toi. Parce que j'ai l'impression que je vais trouver mon vrai désir. Et tant que je ne l'aurrais pas trouvé, ça sera ça ma distraction.

Au nouveau contact des lèvres, William resta ecore 6 secondes sans donner de signes de vie. Il semblait que chacun des baisers de l'infirmière pétrifiait instantanément l'exécuteur à chaque fois, comme si une tornade surgissait au fond de sa tête. Sa main vint alors se poser sur celle de l'infirmière et se referma d'une douce pression, comme la fois qu'il fut transporté sur la civière.

- Qui tu es vraiment n'a pas d'importance pour moi. Tes démons ne m'inquiète point, je les ai surement déjà à l'interieur de moi. Je ne suis qu'un outil Ariana. Un outil ne pose pas de questions, il ne fait qu'acomplir la tâche qu'on lui a donné. Dans le cas contraire, son but et sa raison de vivre disparaît en même temps. Mais quand je suis à côté de toi, je réalise que je veux plus qu'une mission. Je te désir, mais sans savoir pourquoi. Je ne te demande rien Ariana, mais je prendrais tout ce que tu veux me donner. Si tu veux m'embrasser de nouveau, je le prendrais avec joie. Si tu veux me donner ton corps, je te donnerais le mien. Et si tu veux me donner la mort...

William marqua une courte pose.

- Alors mort je serais. Il y a juste l'amour que je ne sais pas comment donner. Elle reste un mystère pour moi.

Aussitôt la question posé, William relâcha un court soupir. Il était dûre de savoir si c'était un soupir d'amusement ou de découragement.

- Ta question ne fait pas vraiment de sens. Maître Matiel ne pourrait m'ordonner de faire une tel chose. C'est pour cela que je lui est donné ma fidélité durant toutes ces années. Il est... différent des autres.

William s'arrêta là. Par son contact sur son corps, la jeune femme pouvait sentir des pulsations passer dans son torce. Sa respiration s'accelerait et s'intensifiait à chaque cercle qu'elle traçait sur son torce à l'aide de ses doigts. Ariana pouvait sentir l'exitation monter en lui. Il étira alors son bras et le passa derrière la tête de la fille couché au-près de lui.

- N'as-tu si peu de confiance en lui?

Ariana réprima de son mieux son sourire en sentant la tension montée en lui, mais elle ne cessa pas. Ah! Comme elle se sentait sadique de le torturer ainsi! Sans doute ne l'aurait-elle pas fait s'ils avaient été dans un cadre plus... intime. Ici, dans un lieu public, elle craignait moins de devenir sa "victime". À sa question, elle éclata d'un rire franc, mais presque enfantin avant de lui répondre :

« Honnêtement, je pense que Matiel pourrait l'ordonner. Après tout, je suis une "mutante" selon sa définition. Juste que ma mutation est davantage un "don de Dieu" comme il aime le dire. Dieu... tsss... S'il y en a un, il ne sait pas voir au-delà des nuages toxiques qui planent au-dessus du district. Matiel est un homme pathétique. Il a usé de mes faiblesses pour me tordre le bras et me forcer à rejoindre l'Inquisition alors que je n'ai rien de ce qu'il faut pour en faire partie... Ou enfin, j'ai un coeur, des regrets, des remords, de l'empathie, ce qui me rend non éligible. Bref. Juste pour cela, je n'arrive pas à lui pardonner. Il a menacé la mauvaise personne. »

Ariana écarta le draps et posa un léger baiser sur son torse avant de reprendre ses arabesques hasardeuses.

« Tu ne m'as pas répondu, William. »

William resta sans rien dire, les yeux fixés au plafond. Il ne semblait pas trop quoi répondre aux insultes que venaient de lancer l'infirmière à son maître inquisiteur, ainsi que celle porté à la religion qu'il avait porté serment.

Mais quand elle vint porter un baiser sur son ventre, il n'en pouvait plus. Il relâcha un soupir d'abandon à sa résistance mental et se releva le torce. Par la suite, il finit par dessus la jeune blonde, les bras en extention de chaque côté de sa tête. Il resta ainsi, en respirant de plus en plus fort et en la fixant avec un regard remplis d'envis et de désir.

- Si le jour venait que Matiel me demandait une tel chose, je me mettrait une balle dans la tête pour éviter à avoir à faire un tel choix.

Soudainement, son regard se baissa pour admirer le corps de l'infirmière. Ses bras tremblait, il se demandait jusqu'où allez.

Ariana se retrouva sous lui sans même comprendre comment s'était arrivé. Elle plongea son regard d'azur dans le sien, troublée par sa réponse autant que par la posture qu'ils adoptaient. Elle effleura sa joue du revers des doigts en sentant son regard brûler sur elle, comme s'il pouvait lui arracher ses vêtements d'une seule oeillade. Il n'allait quand même pas...? Elle voyait le désir qui le dévorait, et elle eût un doute.

« Ne fait pas cela, William. S'il te demande de choisir, tue-moi. Je ne pourrais pas admettre qu'il te pousse à cela. Dit que tu me tueras, s'il-te-plaît. »

La blonde avait l'impression d'être déjà nue quand il la regardait ainsi. Sans doute arrivait-il à deviner un peu ce qui se trouvait au-delà de cette robe d'hôpital informe. Elle glissa les doigts sur ses bras, s'élevant légèrement pour cueillir encore un baiser à ses lèvres. Elle émit un petit gémissement. De plaisir? Sans doute pouvait-il le méprendre ainsi... mais en vérité, c'était ses sutures qui tiraient un peu trop.

« Ici, vraiment? » répondit-elle aux questionnements silencieux de l'exécuteur.

C'était difficile de cerner si elle était plutôt d'accord, ou plutôt en désaccord. Une chose était sûre, elle lui renvoyait un regard plein de fièvre aussi.

William eu une dernière hésitation. Il la regarda avec passion dans les yeux, retenant son souffle. Puis son regard se détourna sur son bandage entourant son torce.

- Cette balle que je me suis pris m'a fait rendre compte que la vie ne tient pas à grand chose. Et ta réponse ne fait que me donner mauvais présage. Vaux mieu le faire quand on a encore le temps.

Il abaissa alors sa tête contre celle de l'infirmière pour l'embrasser une nouvelle fois, puis déscendi sa bouche pour lui embrasser le cou, les épaules. Et il continua ainsi son parcours, recouvrant son corps de baisé alors que ses mains relevait tranquilement sa robe d'hôpital.

Ariana fronça les sourcils, mais ne s'opposa pas. Elle lui offrit même son cou quand il le couvrit de baiser. Elle savait que ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça au moins. L'infirmière échappa un soupir de complaisance et ferma les yeux. Elle les rouvrit en sentant qu'il remontait sa robe d'hôpital. Merde! Il était vraiment sérieux. Il allait pas juste la baiser comme ça sans prendre vraiment la peine de la dénuder... Qu'est-ce que ça faisait bizarre dans cet environnement stérile, blanc et froid! Elle se mordit la lèvre inférieure et se cabra pour faciliter le passage du ridicule vêtement. Elle baissa les yeux sur les quatre marques suturées sur son ventre, mais les détourna rapidement.

« Je sais que ce n'est pas charmant... désolée. »

La jeune femme chassa une mèche de cheveux de son visage, posant les mains sur les épaules de celui qui serait son amant dans quelque secondes. Elle prit la robe et la laissa chuter par terre à côté du lit. Un frisson parchemina sa peau. Il faisait froid dans cette chambre. Elle l'attira un peu plus contre elle.

« Réchauffe-moi. »

Son regard plongea dans le sien, rempli de trouble mais aussi d'envie.

William resta fixe, scannant du regard le corps nue de l'infirmière avec pation, comme s'il s'agissait de la plus belle oeuvre d'art qu'il n'avait jamais vue. Sa main vint flater sa joue et son regard se porta alors aux marques suturées. Il l'interompis aussitôt dans sa phrase.

- Ne t'inquiète pas pour ça, ce n'est qu'un simple détail pour moi.

Trois secondes plus tard, il se retrouva nu à son tour, il regarda hypnotisé la robe tomber au sol et se laissa raprocher vers le corps Ariana, hochant de la tête à sa requête.

- Je te donnerais tout ce que tu veux.

La suite s'enchaîna rapidement. William répondit à ses envis charnel et rentra en trance durant cet act. À plusireurs reprises, il la prit dans ses bras, la serrant contre lui, lui disant à quel point elle était belle. Et ainsi, il fusiona son être à elle.

William était encore en train de reprendre son souffle, son corps fumait encore de l'intensité de l'act tendis que sa blessure semblait miraculeusement avoir perdue ses effets.

- Ça fait au moin une heure que je te fais gémir, et pourtant, y'a personne qui s'est pointé. Mais quel personnel merdique, j'aurrais le temps de mourir cinq fois ici avant que quelqu'un s'en rende compte.

Il relâcha alors un rire amusé. Très bref, très subtile, mais bien présent. Et pour la première fois de sa vie, il se mit à sourir, un vrai sourir de bonheur, qui s'éffaça aussi vite que le rire.

- Merci Ariana, merci pour ce moment formidable. Ça compte beaucoup pour moi. J'espère au moin que j'ai pu te donner autant de plaisir que j'en ai eu.