Savoir interdit ( Ophélia et Matiel)

Matiel était àa en se ronger les ongles, atendant devant l'entrée de la bibliothèque. C'était la première fois qu'il était victime d'autant de stresse, première fois qu'il allait à l'encontre des règlements de son bureau. Il commençait à avoir des hésitations, est ce que cette enquête vallait vraiment la peine de risquer la personne qu'il apréciait le plus? Et pour encore plus augmenter son engoisse, il commença à imaginer tous les scénarios catastrophes qui pourraient arriver. Mais son engoisse ne devait certainement pas égualiser celle d'Ophélia, l'inquisiteur n'arrivait toujours pas à croire qu'elle avait donné son accord dans quelque chose d'aussi risqué.

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On cogna à la porte de l'appartement de la mutante. C'était un homme colossal de grande taille dont ses cicatrices au visage parlait de son expérience au combat. Il était vêtu de la combinaison de combat des forces de l'inquisition.

- Je me nomme Élikor, maître Matiel m'a demander de vous escorter en toute sécurité à la caserne Sanctum. Il va cela dit falloir être discret.

Le guerrier lui passa une ample toge noir avec le signe de l'inquisition gravé dans le dos. Il lui fit signe ensuite de le suivre dehors là où une voiture noire les atendaient, prêt à se rendre à la caserne.

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Cela pris du temps à la mutante avant d'ouvrir la porte.... en fait elle s'était endormit la tête dans son carnet gribouillé des dernière pensé d'une personne se croyant condamné à mort. Combien de larme avait fait se gondolé le papier blanchit? Beaucoup trop très surement... la mutante n'avait dormit que quelque heure à peine dos contre la porte qu'elle devait à présent ouvrir à un inconnu qui entra et lui tendit une longue toge noir...

Elle eut un petit sourire fade et ironique... noir... comme le deuil... l'oublie... noir comme se que l'on veux cacher.... noir comme la honte.... comme la nuit... celle éternel dont on ne revient jamais... La mutante prit la toge qu'elle passa sur ses menus épaules puis elle rabatis avec misère la capuche pour que l'on ne distingue plus ses cornes... son visage... ses cheveux... elle était à présent un vrai fantôme... un être totalement anonyme... Et c'était peut-être ainsi qu'elle vivrait ses derniers instant.

Elle tendit son cahier vers le Dévot qui était venu la chercher pendant qu'ils descendait pour rejoindre la limousine noir elle aussi... funeste destrié... corbillard confortable...

- Si je vennais à mourir pourriez-vous exécuter ma dernière volonté? Remettez ceci au haut inquisiteur Matiel en main propre. SI je survie brulé le.

Puis les porte de la longue automobile se refermèrent sur la mutante à présent pièger dans une journée d'ou la fin lui était plus qu'incertaine....

La mutante ne dit pas un mot du trajet et se contenta de regarder dehors defiler les visages des gens à pieds... les batiment tous plus délabré les un que les autre et la poussière qui se faisait charier par les vent froid de janvier.

Elle grava dans sa tête chaque détail comme si cela avait une quelconque importance.... gouté au dernière parcelle de la vie... sentir que le sable de notre sablier en est à ses dernier grain.... Ophélia avait une boule dans la gorge et l'estomac... la mutante avait finalement mentit sur un point....

Elle avait elle aussi peur de la mort.

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Le combatant colossal hocha de la tête et étendit le bras afin d'agriper le cahier avec hésitation, ne savant vraiment quoi penser de cela. Une fois rendu à la limousine, Élikor lui ouvrit la porte et lui présenta son siège. Il s'assit par la suite à côté d'Ophélia et referma la porte. La mutante pu alors voir au volant une jeune femme aux cheveux blonds et courts qui la baleilla du regard. Elle se revira aussitôt vers le garde du corps.

- J'espère que c'est une plaisanterie. Ce déguisement ne cache même pas les formes de ses cornes. Si jamais un inquisiteur vois cela, il va falloir en inventer une bonne. J'espère que Matiel est au courant.
- Le seingeur inquisiteur nous a demandez de l'apporter à destination en toute sécurité, il compte sur nous, N'ai crainte, si on se met chacun du côté de la mutante, on devrait éviter le regard des curieux.

La conductrice se contenta de cette réponse et parti la limousine, destination la caserne Santum. En route, elle donna une panoplie de directive à Ophélia, comme de rester prêt d'elle, de garder la tête basse, de ne pas dire un mot et de la laissez parler en cas de problème. Au bout d'un moment, ils virent la caserne se raprocher d'eux. L'agente s'arrêta à le grille de sécurité et montra son badge anvant de continuer. Mais elle ne s'arrêta point de la grande entrée, elle fit le tour et se parqua directement devant une petite porte de fer semblant insignifiante.

- Okai, on commence l'infiltration. Préparez-vous.

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Ophélia n'écouta pas vraiment le dévot qui lui prodigua conseil et consigne elle n'avait pas la tête à cela très très loin de la. Quand ils arrivèrent à l'arrière la mutante eut un grand frisson qui lui parcourue l'echine et elle dit du mal à deglutir . Elle leva les yeux sur la porte devant elle... C'était donc à cela que ressemblait la bouche de l'enfer?

Puis elle fit un pas... Et un autre et finalement ils s'enchènairent les un derrière les autre et elle suivit doucement dans les corridors les dévots

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L'interieur ressemblait à une carcasse de cathédral reconstruite et entretenue. Le tout donnait une section incroyablement bien préservé comparé au résidut de maison épargné par les attaques atomiques.

Le guerrier colossal se mit en tête de la marche et dirigea les deux dames à travers les coridors. Plusieurs grandes banières étaient érigées arborant des symboles de pureté tout droit sorti de l'ancien monde. Des dévots en uniformes noirs circulaient d'un sens comme de l'autre. Certain jetèrent des regards curieux au trio, spécialement à la personne portant la toge de prêtre. Élikor leurs renvoya un regard intimidant leur rappellant de se mêler de leurs affaires.

Après une dizaine de changement de cap à travers les corridors, ils arrivèrent devant une porte de bois luisante où deux agents montaient la garde. À la vue de Mirabelle, ils ne tardèrent pas à ouvrir les portes et à leur laisser le chemin libre. La jeune fille au cheveux blond lui fit signe de rentrer vite à l'intérieur, les deux agents allaient rester à l'extérieur pour prêtter main forte aux deux autres dans la garde.

La route se poursuivait par un escalier descendant vers les ténèbres. Chacun des pas resonnaient aux alentours. Et quand enfin la mutante arriva au bas de l'escalier, elle vit un imense sous-sol remplis de livres cordé sur des étagères. Au centre se trouvait Matiel faisait les cents pas avec nervosité.

Puis, il se retourna et s'exclama de surprise. L'inquisiteur se dirigea en toute rapidité vers la mutante qui venait de rentré. Il s'apprêtait à la serré tendrement dans ses bras, mais retint son action à la dernière minute, se contentant de lui poser une main sur l'épaule.

- Merci à la lumière, te voilà. Comment vas-tu?

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Ophélia ne dit rien, de toute manière qu’aurait-elle eut à dire dans cette endroit? La mutante suivit jusque dans les esclaier sans faire réellement attention à la décoration…Habituellement elle s’y serait attardé pour son goût du beau…mais rien ici n’était beau pour elle… tout avait pour la mutante une touche de macabre…d’étouffant. Ophélia s’arrêta un peu avant les escaliers une once d’hésitation teinta les mouvements de la mutante qui dut prendre sur elle pour ne pas tournée les talons et détaler à toute vitesse retourné se cacher dans l’AMCD au creux de sa chambre au QG des poisonous.

Avec minutie pour ne pas se faire mal elle descendit les marches. Chaque écho sonnait fortement dans ses oreilles comme les tambours sonnant avant qu’un militaire ne passe au peloton d’exécution. Ophélia déglutie et prit une nouvelle grande respiration avant de franchir et de descendra la dernière marche. Elle plissa un peu les yeux pour s’accoutumé un peu à la lumière de la bibliothèque inquisitorial.

Puis ses yeux ambrer au creux de sa capuche noir voilant son visage lui aussi noir se posèrent sur Matiel au centre. Il était la…Il ne l’avait pas abandonner seule chez les loups…Elle déglutie une autre fois Quand il approcha rapidement Ophélia se décala des deux dévôts pour avancer un peu vers lui également.

Cependant quand il vient pour poser une main sur ses épaules la mutante glissa avec adresse sous celle-ci pour venir se logé entre ses bras et le serrer contre elle en posant son front sur le torse du Haut inquisiteur.

-Tu es la.. tu es vraiment la? Je vais..bien

Mentit-elle à l’inquisiteur avec maladresse.

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La surprise coupa le souffle de Matiel. C'était la première fois de sa vie que quelqu'un lui donna une accolade. Cela avait presque déglacé entièrement son coeur et ranimé son âme. C'était même assez pour qu'il finisse par abaisser sa garde d'inquisiteur et serra fortement le corps de la mutante contre le sien. La chaleure qu'il recevait en échange était si douce, La sensation était tellement bonne et agréable qu'il aurrait souhaité que cela dure pour longtemps.

- Ça va, je suis là, n'ai pas peur...

Déclara t-il doucement. Matiel n'était pas habitué de réconforter les gens, d'habitude, son emploie l'obligeait à faire le contraire.

La mutante n'allait pas bien, l'inquisiteur avait vu à travers son mensonge. Mais il ne voulait pas revenir là dessus, le moment était assez difficile pour les deux. En fait, Matiel ne savait pas vraiment quoi dire, il avait peur de briser la magie du moment, risquant de réouvrir la prote à l'engoisse.

- Quand tu seras prête, nous pourrons commencer.

Finit par déclarer après dix secondes de silence.

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un applaudissement se fit entendre derrière Matiel à l'extrémité opposé de la pièce. C'était un applaudissement unique et solitaire dont le son se réverbérait sur les mur de pierre. Un petite rire moqueur se fit entendre ensuite.

-Touchant vraiment touchant

C'était la voix du haut-prêtre Wagner. Les deux dévôts l'avait remarque dès qu'il avait applaudit, mais le haut inquisiteur ne pu le voir qu'une fois retourner. Le haut-prête s'avança de quelque pas.

- Tu traîne ici cette ingénue corrompue.

dit-il en pointant Ophélia doucement.

- Que faites-vous haut inquisiteur? Trahison? Encore heureux que ce ne soit pas Raphael

Il glissa son regard sur la mutante.

- Elle serait déjà crucifier sur place. Cependant j'attend une explication elle ne devrait pas être ici et vous le savez pertinemment.

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La mutante soupira quand le haut-inquisiteur la serra contre lui et elle se détendit légèrement. Le contact ainsi créer semblait l'avoir tranquillisée ou du moins rassuré un peu. Ophélia ferma un peu les yeux. Elle écouta Matiel et son ton de voix.

Ophélia aurait voulu dire qu'elle était prête, mais elle n'en eut pas le temps au lieux de cela son sang se glaça dans ses veines dès qu'elle entendit les applaudissement. Il y avait un problème et la mutante le savait pertinament.

D'instinct elle se réfugia un peu derrière Matiel comme s'il était le seul à pouvoir la sauver du regard perçant du haut-prêtre. Elle avait à nouveau peur... c'était une mauvaise idée... surement la pire de toute sa vie...

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Le coeur deMatiel arrêta de battre pendant une longue seconde. Ses yeux étaient écarquillés aussitôt qu'il entandit la voie de Wagner. Il se souhaitait être entrain de rêver, le pire des scénarios que l'inquisiteur avait pu imaginer était en train de se produir. Le haut-prêtre était ici, au pire moment, Mais pourtant, Matiel avait fait sûre d'être discret avec ce projet. Comment avait-il fait pour le découvrir, est-ce qu'un de ses agents l'aurrait trahis? Où peut-être un contact extérieur? Dans tous les cas, il était dans une mauvaise passe, et Ophélia était en grand danger.

Matiel se déserra immédiatement de la mutante, se débarassa de son stresse et se revira pour faire face à Wagner. Il baissa la tête en signe de respect.

- Mon père, je peux vous assurer que c'est dans un but des plus professionel. Cette non-humaine est présente pour m'accorder des ressources que nous n'avons pas à l'interieur de ses mures.

L'inquisiteur espéra que cette déclaration improvisée lui servait à gagner un peu de temps.

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(Je posterai se soir la réponse du haut prête)

- Des ressources que nous n'avons pas?

Le haut prête eut un fort rire sarcastique et cinglant. Se rire se coupa aussi net qu'il eut commencé et Wagner plongea son regard claire dans celui de Matiel. C'était un regard froid un exacte reflet de celui qu'avait pu avoir Matiel un an plus tôt quand il avait mener au bûcher 80 pauvre non-humain. C'était se même regard glacer et sans compassion qui se posait aujourd'hui sur le haut inquisiteur.

- Nous avons les meilleurs érudits, Que cachez-vous ?

Dit-il d'un ton suspicieux en fronçant légèrement les sourcils dans un air contrit. Il avança d'un pas et un bruit sourd se fit entendre derrière Matiel. Élikor venait de s’effondrer inerte au sol un agent tactique ayant pris sa place et tenant en joue la jeune dévot blonde qui affichait un air de surprise terrifié. Aucune trace de sang cependant ne suggérait que l'homme avait été blesser grièvement.

- Vous devenez de plus en plus étrange Matiel. Les rumeurs court vous savez... Janini vous a sauve une fois, mais on parle d'une perte de la foi, de blasphème... d'anathème... et vous amenez ici... aujourd'hui de quoi le prouver.

Il se déplaça une fois de plus pour tourner et autour de Matiel et venir s'approcher d'Ophélia.

- Vous auriez du la laisser en dehors de cela. Elle aurait au moins pu mourir de vieillesse ou de folie.

Dit-il avec un cruel petite sourire au coin des lèvres.

L'inquisiteur fixa son garde du corps tomber sol comme une feuille morte, son regard se dirigea imédiatement après vers Mirabelle, pour constater son état de choc, sn impuisance face à la situation. Et pourtant, Matiel se sentait exactement comme elle, impuissant. En moin d'une minute, son plan venait de s'éffondrer, ses alliers venaient d'être métrisés et sa protégée était maintenant à la merci de l'homme le plus vindicatif de ce district.

Matiel détestait le regard sadique qu'affichait le prêtre Wagner, c'était comme conteplait dans le miroir son vieux démon. Mais son aire de satisfaction était encore plus iritant que tout. L'inquisiteur en vain même à se crisper les poings et à sérer les dents de la machoire avant de répliquer d'un aire provocateur.

- Perte de la foi? blasphème? Anathème? De grâves accusations que vous porter à mon éguard mon père. Surtout en considérant le mal que vous venez de faire à mes agents. Enfin, pensez-vous vraiment que j'aurrais demander de l'aide à une personne de l'extérieur avant nos érudits? Bien sure que non, vous l'avez dit vous même, nous avons les meilleurs, mais seulement dans un domaine. Mon enquête implique des forces que nous ne connaissons pas, qui dépasse notre compréhension, bien au-delà de l'hérésie. Et c'est pourquoi j'ai besoin d'elle pour découvrir ce qui se trâme derrière ce voile d'obscurité.

Ophélia qui avait gardée les yeux rivés sur le haut-prête eut un hoquet de surprise quand Elkior tomba tout près d'elle et elle fit volte face pour se retrouver presque nez à nez avec un autre inquisiteur. De peur elle recula d'un pas et se buta contre Matiel... Prise au piège...comme... un rat.

Elle avait sut depuis le début que cette histoire ne se finirait pas bien...Que sa ne se finirait jamais bien...Pas ici... pas au coeur de l'inquisition c'étais improbable...impensable...comment avait-elle pu croire un seul instant qu'elle aurait une chance d'entré et de sortir... Elle aurait du refusé...si elle avait tenu un peu plus à sa vie.

Elle tenta en vain de resté maîte d'elle même quand Wagner approcha d'elle. L'homme au trait pourtant si beau lui donnait la nausé. L'idée de lui cracher au visage lui vient... comme une untilme insulte, mais elle ravala plutôt sa salive avec difficulté. La mutante resta muette comme une tombe priant intérieurement pour qu'un miracle ne se produise ou qu'une idée de génie ne lui vienne.

- Vous et vos agent avez commis un acte de haute trahison. Je suis habilité à faire se que je veux des dévot haut-inquisiteur, ainsi que la mutante. Vous cependant vous serez jugée.Vous croyez être le seul à travailler sur l'onde Madrigal Matiel? Je vous rapelle que c'est Korigan qui vous à donner accès à l'enregistrement de cette onde. Se qui nous guette est directement lier à eut.

Le Haut prêtre d'un mouvement agile et vif comme l'éclaire tira à ses mot la grosse capuche d' Ophélia la faisant tomber par la même occasion ses cornes s'étant prise dans le tissu. La mutante au sol et sans couvre chef Wagner la pointa à nouveau.

- Ils deviennent tous fou Matiel et elle ne fera pas exception. Elle a été touché... Les mutants qui se sont évanouit se jour la on entendu l'onde. Ce n'est pas une allier haut inquisiteur c'est une ennemi une traitresse! Ouvrez-vous les yeux! Qu'est-ce qu'elle a pu vous dire qui puisse réellement être important? Ou plutôt que vous a t'elle cacher? Vous a t'elle dit qu'elle avait déjà tout entendu?

Il s'avança et mis un pied sur les côte d'Ophélia avant de la prendre par les cheveux et de la relever.

- Peut-être c'est yeux sont-ils beau, criant d'une étrange humanité... mais tout est mensonge ils ne sont plus rien que cela. Et c'est force Matiel ils en sont les pantins. Les pantins qui dévoreront l'humanité!

Il repoussa ensuite la mutante au pied de Félias avec dégout. L'homme sortit un mouchoir pour s'essuyer les mains.

Quand le haut prêtre se mit à tirer les cheveux d'Ophélia, Matiel cru qu'il allait devenir fou. Une seconde de plus et il aurrait déguainer ses armes, avec l'intention de les utiliser sans hésitation. Si son envis de violence était contrôler, son aire n'en laissait rien paraître. Matiel fixait son suppérieur avec des yeux remplis de haine, les sourcis froncés. Tous les muscles de son visage étaient crispés, tel un chien sur le point de bondir sur sa proie.

Et pourtant, l'inquisiteur se demandait au fond de lui si le prêtre n'avait pas raison. Et s'il avai été manipulé depuis le début? Et si l'affection qu'il avait pour Ophélia n'était en fait qu'une faiblesse? Il n'y avait même pas un ande cela, Matiel aurrait été d'accord avec tout ce que le prêtre venait de dire... Mais il s'en était libéré très peu de temps auparavant, et il se rappellait exactement ce qui engendrait ce type de penser.

- Ça vous arrangerait n'est ce pas? Ça vous arrangerait si tout ce que vous veniez de dire était vrai? Les choses seraient plus simples, on aurrait un ennemi qui représente tout le mal de ce monde, une cause noble qui justifirait tous nos génocides. Mais la vérité c'est que vous avez peur, le monde change, la nature nous dépasse et cela vous effrait. Au lieu de chercher une logique, vous vous créé des ennemis et des traites à abbatre. Je le sait car j'étais exactement comme vous auparavant, mais j'ai trouver le courage de me débarasser de cette peur, contrairement à vous qui l'avait embrasser un comme lâche. Vous êtes lâche Wagner, voilà tout!

Pendant cette déclaration, Matiel s'était mis exactement entre le haut prêtre et la mutante, le corps solidement dressé et le regard provocateur.

Tout se passa si vite, la mutante ne pu comprendre se qui lui arrivait que quand elle fut au sol. Elle était dévoilé à présent. Merde pensa la mutante intérieurement...mais au lieu d'avoir peur à présent la femme brûlait intérieurement. Elle n'avait jamais permit à personne de la toucher ainsi. Wagner ne faisait pas exception à la règle. Ophélia tanta de se relever une fois ses esprit repris

Cependant c'est à se moment sournois que le haut prête choisie de poser pied sur elle. Impuissante elle vient embrasser le sol froid de béton une fois de plus ne faisant pas le poids contre l'homme. La mutante tenta bien de repousser le pied qui lui broyait les côté , mais vain. La douleur lui faisait perdre le souffle... Puis elle fut relevé. Elle voulu frappée l'homme possèdée par la rage. Bien malheureusement ses griffe ne rencontrairent que le vide. Il la tenait devant lui et rapidement s'en debarassa

Encore une fois elle rejoins le sol a croire qu'elle l'aimais. Elle se maudit d'être si faible physiquement à cette instant. Doucement et cette fois pour de bon elle se releva lançant un regard mauvais au haut pretre ainsi qu'à son sbire. Ophélia avait un goût de sang dans la bouche et il était aussi métaphorique que présent.

Le haut-prêtre jaugea Matiel un long moment s'en parlé n'y démontré quoi que se soit son visage était tomber dans une neutralité pensive et contemplative. L'homme de haute foi semblait réfléchir... à quoi cependant cela restait un mystère. Après un moment il tourna son regard vers Ophélia qui avait tenté de le frapper.

- Pourtant regardez la en se moment. Ne donne tel pas exactement l'exemple que j'attend? Vous savez comme moi que se qu'il y a sur l'enregistrement de l'onde Madrigal nous dépasse, mais qu'elle est en lien directe avec eux. N'avez-vous pas remarquée Haut-inquisiteur que depuis l'incident les mutant son de plus en plus chaotique? Qu'il y a de plus en plus d'histoire sordide les impliquants?

Wagner avait le ton calme d'un homme qui parlait avec toute sa tête, avec clarté et claire-voyance. Il fit passer son pousse sous son menton et posa la première phalange de son index sur ses lèvres dans une nouvelle moue de réflexion avant de lever la main vers l'inquisiteur qui avait mis hors jeux Elkior. Celui-ci arrêta de mettre en joue Mirabelle.

- Je ne suis plus homme à avoir peur Matiel. J'ai l'instinct de survit, mais la peur elle ne m'atteint plus vous devriez le savoir la plus part d'entre nous ici n'en connaissons presque plus rien. C'est une étrangère qui à laisser place à la mort.

Puis il haussa les épaules avec nonchalance.

- Trouvez-vous vraiment lâche le fais qu'a la différence de vous j'assume mes actes? que je sache que chaque vie que j'ai retiré je l'ai fais pour le bien des miens? Depuis un an vous avez fais votre purge et depuis pas une journée vous n'avez été capable de faire votre deuil de cette événement. Pourtant vous avez sauvez beaucoup plus de vie non? Alors venez aggrandir votre vision pour 80 malheureux non humain vous avez évitez a quoi 1 millier? 2 millier d'entre eux sinon plus de mourir? Maintenant transposé se portrait. Est-il lâche que je sauve l'humanité au prix de quelque 100ène de millier de mort qui eut ne le sont plus? Le lâche se cache derrière des excuses creuses, le lâche essait d'oublié, le lâche se sauve du mal qu'il a fait.

À la dernière tirade le Haut-prêtre avança pas à pas pour se retrouver presque nez à nez avec Matiel.

-Dites moi finalement qui est le plus lâche de nous deux?

Puis il eut un petite sourire et ne laissa pas vraiment le temps à Félias de répondre lui tournant honteusement le dos pour continuer.

- Cependant vous avez raison sur un point le monde change... et vous aussi d'ailleurs

Dit-il en ne faisant que tourner son visage et son regard dans une moue étonnamment mesquine.

Matiel devait donner cela au prêtre, il était un maître dans la démagogie. Il arrivait tojours à trouver les mots exactes pour rendre ses phrases aussi mélodique que frappante. Et sa beauté du diable ne faisait qu'embellir le tout. Le haut prêtre était décidément la dernière personne avec qui quelqu'un voudrait débattre, et pourtant c'est exactement ce que faisait Matiel.

Et pourtant, l'inquisteur ne pretta même plus atention à tout cela. Voilà que l'homme qu'il avait considéré comme un modèle durant toute sa carrière était maintenant un de ses ennemis, et à ce moment, il le haïssait avec passion. Matiel le fixa avec le regard le plus vif et le plus perçant qu'il avait.

- Sauvez l'humanité? Ne faite pas rire, la seule chose que nous sommes en train d'accomplir est le plus grand génocide de toute notre histoire. Et à chaque pas de plus vers cet exploit sanglant, nous avons délaissé une partie de notre humanité. C'est à se demander combien d'autres d'innocents il nous reste à tuer avant que l'on devienne comme les monstres dont nous avons mandat d'éliminer. Vous voulez que je vous dises, la seule chose que j'ai réussi à instorer avec ma purge, c'est la peur. Maintenant, plus personne ne respecte notre saint ordre, ils en ont juste peur. Combien de temps encore avant que cette peur ne se transforme en haine et se revire contre nous? Je vous assure Wagner, nous signons notre perte à tous ainsi.

- C'est parce qu'il peut bien la perdre son humanité qu'il fait se qu'il fait pas vrai.

Dit Ophélia en regardant le haut-prêtre.

- Un sacrifice personnel pour une cause... juste ou non.

Dit-elle froidement.

- C'est exactement se que pensait les nazis à l'époque de la seconde guerre et vous savez ou cela à mener!

Ajouta-t-elle pour donner un poids de plus au dire de Matiel. Elle vient se placer au côté de l'inquisiteur gardant cependant toujours un oeil avisé sur la sentinelle, qui, bien qu'elle eut arrêter de se montré hostile restait une menace.

- Je suis étonné votre.... camarade est un fin esprit et éduquée en plus. Vous avez lut plus que se qu'il donnait à lire durant votre conscription.

Dit-il en posant pour une nouvelle fois son regard bleu glacé sur Ophélia. Il eut un petit sourire en coin.

- Elle a raison, l'inquisition n'a pas à être humaine dans ses actes. Nous sommes les chiens de garde des humains les vrais. Si nous avions toute cette humanité, nous ne laisserions pas des gens comme mon cher ami Duval vivre et continué de prospérer dans nos rang. Personnellement je ne prône pas la mort des mutants et des zoomorphes juste leur exclusion.

Puis il eut à nouveau une moue pensive comme s'il assimilait et réfléchissait à la fois au dire combiner des deux protagoniste face à lui. Il fit quelque pas et approcha d'un rayon ou était poser plusieurs vieux ouvrage. Il en tira un toujours dans une moue absorbée.

- Le respect par la peur et la force est toujours le plus fort. Cela à toujours fonctionné ainsi. Depuis la nuit des temps jusqu'à aujourd'hui. L'humain tout comme le non humain est régis par son instinct avant tout. Le non humain par contre représente une menace, car son instinct prend le pas sur sa conscience. Dès lors il faut que la bête craigne sinon elle mord. Qu'elle haisse cela est bien égale tant qu'elle craint elle reste à distance et redoute.

Le haut-prêtre eut un petit soupire.

- l'avenir pour l'humanité est un long passé il suffit de se pencher un peu sur son histoire pour s'en rendre compte. L’Allemagne nazi est tombé, parce qu'elle a fait de mauvais choix et c'est retournée contre ses alliées.

Il posa son regard sur Matiel à nouveau.

-savez-vous qu'elle avait été sa première erreur? laisser partir une poche de résistance.

À ses mot Wagner leva un seul doigt et la sentinelle mis en joue Ophélia.

- NON!!!!!

Hurla Matiel en gégainant son pistolet de sa ceinture avant de le braquer sur la sentinel. Il n'hésita même pas une fraction de seconde et ouvrit le feu sur son frère. Sans même s'assurer que son adversaire était mort, voir même s'il l'avait toucher, l'inquisiteur sorti son épée de sa ceinture.

- MIRABELLE, OPHÉLIA, FUYEZ!

Ordonna-t-il avant de passer à la charge.

De toute sa vie, il sagissait probablement du plan le plus fou et le plus incalculé que l'inquisiteur n'avait jamais fait. Ce n'était que pure impulsion pousser par l'amour de ses proches qui étaient en danger. Il tenta quelques manoeuvres pour attirer l'atention des troupes et ainsi gagner du temps aux deux jeunes filles pour partir.

En alerte Ophélia vit se passer tout rapidement. Wagner finit sa phrase et une arme se braqua sur elle d'instinct elle voulu reculer, mais la détonation d'un tire la fit perdre l'audition et vasiller sur elle même légèrement.

Cependant l'adrénaline de la peur et de l'instinct fut plus fort et elle ne perdit pas de temps. Mirabelle tenta d'aggriper le poignet de la mutante pour la tiré avec elle dans sa fuite, mais Ophélia comme un serpent lui glissa entre les mains.

Non sa ne devait pas dégénèrer ainsi! Matiel risquait gros... Ophélia surement plus! Mais jamais elle ne l'abandonnerait ainsi, jamais. Il ne serait pas un sacrifier de plus pour une cause naissante! Surtout qu'il était le seul capable de faire un pois dans la balance.

Avec une agilité déconcertante la mutante courrue vers le haut-prêtre évitant même Matiel dans une roulade forte habille. Elle était fait de grâce et d'agilité aussi fragile qu'une petite araignée.

- Arrêtées!, s'il vous reste une once de bon sens arrêtez!

Dit-elle en glissant sur ses genoux face a Wagner. Elle baissa la tête et mis ses mains jointe devant elle comme en suplication.



- Je vous en pris...je vous en conjure! Vous savez autant que moi qu'il y a quelque chose qui dépasse notre entendement dehors... quelque chose qui se raproche! Vous savez comme moi qu'il n'y a que le haut-inquisiteur qui en sache autant aujourd'hui sur le phénomène. S'il le faut tuer moi après! Mais laisser le finir sa mission!

C'était un pari complètement fou, mais Ophélia n'avait plus rien à y perdre. Qu'elle meurt en martyr ici ou qu'elle l'eut fait il y a un an pour sauver les enfants. Peut-êtrepourrait-elle se repentir de n'avoir rien fait se jour la. La mutante baissa les yeux , mais pas pour autant résignée.

Wagner eut un mouvement de recule  au mouvement de Matiel, Mais ce n'est que quand la mutante arriva près de lui qu'il en dégaina une rapière à la garde finement travaillé. Il la leva pour se mettre en garde et son élan fut brisé à moitié par la stupeur de l'acte qu'elle fit.

Le haut-prêtre cligna des yeux une seconde en fixa la mutante maintenant à genoux devant lui. Puis il regarda sa sentinelle qui se relevait peiniblement la balle s'étant a demi logé dans son plastron mais qui semblait l'avoir blesser à l'épaule. Mirabelle le tenait à présent en joue. Au dessus d'eux des pas se fire entendre, des gens accouraient.

Samuel pointa sa lame face au visage d'Ophélia qui baissait le regard. Il fit glisser l'arme de métal sur la joue sans la blesser et vient relever le menton de celle-ci.

-Quand on implore on regarde le ciel très chère...

Puis il posa une fois de plus son regard dans celui de la mutante. Il retira sa lame et tira la capuche de la mutante pour la lui caller sur la tête au moment ou débarquait en trompe 2 inquisiteur et un prêtre.

- Haut inquisiteur! Haut-prêtre! 

Les trois regardèrent Mirabelle qui avait ranger son arme juste a temps. Ils regardèrent la sentinelle qui faignait la nonchalance, puis il regardèrent les deux plus haute tête épée en main.

- Est-ce que tout va bien Haut-Prêtre? Nous avons entendu une détonnation?

- Oui prêtre Walter tout va bien, vous avez du confondre avec le bruit d'un des vieux chandelier qui est tombée. La pièce est extrêmement écho. Vous pouvez retourné à vos occupation.

Les trois ordo justicar hochèrent et n'en demandèrent pas plus. Ils quittèrent rapidement par la porte ou il était entré. Une fois à nouveau seule Wagner tourna son regard sur Ophélia puis Matiel.

- Je n'avais jamais vu une mutante libre prête à mourir pour un membre de l'ordo justicar. 

Avoua t'il en la fixa.

- Je vous donne 2 heures. Si tu trouve quelque chose de pertinant mutante. Tu aura la vie sauve. Autrement je n'aurais d'autre choix que de te déclarer l'anathéma hérética tu n'aurais jamais du venir jusqu'ici. Les mutants sont fait pour vivre en dehors du district se monde leur appartient après tout.

- Ophelia...

Murmura t-il alors qu'il contempla avec émotion la mutante se mettre à genoux pour son sort.

Quand Wagner repris la parole, Matiel retrouva toute son animosité et l'adrénaline qui venait avec. Il ne répondit point tout de suite à sa proposition, il continuait de fixer le haut prêtre en serrant ses armes à s'en briser les jointure. Puis, l'inquisiteur balaya la scène du regard. Ils étaient encercler, en sous numérique. La mutante était à la merci du fanatique religieux. Matiel n'était pas sûre de sauver Mirabelle si une confrontation venait à resurgir... il ne pouvait même pas garantir sa prorpre survie. Quel autre choix avait-il?

- Très bien.

Sifla-t-il entre ses dents avant de relâcher ses armes. Il entandit le tintement de sa lame au sol qui résona dans toute la bibliothèque. Sans briser le contact visuel avec Samuel, il fit signe aux dames de venir le rejoindre.

- 2 heures.

Ophélia se releva rapidement dès qu'elle le put. Elle remercia Wagner d'un signe de tête polie et bref et rejoint Matiel et Mirabelle aussitôt. Elle regarda Elkior toujours au sol. Il respirait...allait-il revenir à lui bientôt?

La mutante attendit que le haut-prêtre quitte avant de regarder Matiel avec un aire profondément désolée. Elle ne sut soutenir son regard que quelque seconde avant de capituler et de se décaler pour rejoindre une des allées ou de nombreux livres attendaient patiament que l'on les ouvres.

- Je... suis .. désolée.

Finit-elle par articuler faiblement dos à l'inquisiteur. Elle n'étais pas encore morte et elle passerait les deux prochaines heures à tenté de sauver sa carcasse, mais un doute reignait quand même. Et si... ce simple début de phrase la faisait trembler... mais pourquoi!

Ophélia saisit un livre avec force. Son regard parcourue la couverture...rien d'intéressant. Non.. non elle n'allait pas mourir! Elle était combative! Elle l'avait toujours été! Se lieu aussi malsain était-il ne lui retirerait pas cela! Elle respirait toujours! Son sang ne la quittait pas, pas plus que ses forces! Ce n'était pas l'heure de s'appitoyer sur son sort! encore moins de laisser place au désaroie.

Elle passa un poignet sur ses yeux puis fit volte face pour balayer du regard la pièces.

- On doit trouver l'index de cette foutu bibliothèque!

Affirma-t-elle sur un ton sans équivoque et autoritaire.

Wagner ne se fit pas prier pour quitter suivit par sa sentinelle qui maugréa en plaçant une paume sur son épaule blesser. Le haut-prêtre n'en fit pas grand cas et à la seconde ''jérémiade'' leva la main pour qu'il se taise chose qu'il fit. Ils montèrent tout deux les escaliers que les 3 ordo justicar avaient emprunté pour venir au nouvelle avant de repartir. 

Quand Wagner passa près de Matiel avant que les deux femme ne le rejoigne. Il lui dit tout bas pour que seul lui ne l'entende.

- Vous jouer un jeux dangereux haut-inquisiteur. Se que vous venez de faire pourrait être hautement sanctionné prié pour que cette mutante se sauve la vie, car elle sauvera la votre au passage. Autrement je vous conseil de fuire, car dans 2 heures si rien n'est trouver vous serez vous 4 mort et enterrer. 

Le son des se pas résonna encore un moment bien après qu'il soit devenu impossible de le voir. Elkior s'éveilla lui quelque minute après son départ l'aire perdu et sonné.

Matiel ne répondit rien au haut prêtre, il ne fit que le fixer pendant qu'il prenait son départ. Une fois que l'inquisiteur jugea la distance entre lui et Wagner suffisante, il se précipita vers Élikor qui venait tout juste de se réveiller.

- Doucement Élikor, prenez votre temps.

Il fit signe ensuite Mirabelle de se rapprocher.

- Veillez sur votre confrère et aider-le à reprendre ses esprits. Je vais allez aider Ophélia dans ces recherches, ça ne devrait pas être long.

Matiel se voulait rassurant, mais au fond de lui, il commençait déjà à s'inventer des plans au cas où il ne trouverait point de résultat. L'inquisiteur se releva en donnant une tape sur l'épaule de son assistante. Puis, il alla rejoindre Ophélia sur la route qui menait aux étagères de livres antiques.

- Ne soyez pas désolé, finit-il par lui dire sur un ton grâve. C'est moi qui devrait m'excuser... Je nous ai envoyé directement dans la gueule de l'enfer en passant qu'on s'en sortirait idem, j'étais fou.

L'inquisieur poussa un long soupir et se secoua la tête pour reprendre son sang-froid.

- On devrait effectivement commencer par chercher l'index de cette foutue bibliothèque.

-Ils ne devrait pas être difficile à trouver. Il suffit de trouver le livre le plus gros et le plus rescent dans ses rayons. Une fois qu'on l'aura on pourra focalisé nos recherches. Les texte hébraique sont ceux qui nous intéresses. Je dois trouver des chose antérieurs à la bible. Les écrit juif seront d'un plus grand aide.

Dit-elle fermemant ne laissant transpiré que se qu'elle avait déjà pu laisser voir dans le bureau de l'inquisiteur ou dans le bar. Se détachement froid qu'elle pouvait avoir, cette once de pragmatisme frivolte.

- J'ai été tout aussi folle que de dire oui... on est deux dans cette histoire. Mais la cause est importante... le mec tout a l'heure n'a pas mentir sur un point...se jour la... nous avons ressentie quelque choses... Il y avait du néant le noir total...mais dans se noir il y avait quelque chose... j'en suis certaine. J'ai fait d'autre cauchemard à se propos durant l'années... j'ai toujours imputée cela à de simple mauvais rêve.... mais si se que cette homme a dit est vrai que les mutants on démontrée plus de signe de folie... peut-être certain avait-il.. les même cauchemard..

Sa mine était sombre et froide ses traits semblaient s'être tiré d'un seul coup creuser par une fatigue galopante.

Aux récits d'Ophélia, l'inquisiteur se rappellait cette horrible nuit qui avait tout changé dans ce district, la folie et la peur qui avait envahis ces mutants. C'était le jour où Matiel avait rencontrer Ophélia. Depuis cela, il s'était juré de déchirer ce voile de mystère qui envellopait cet évènement surnaturel. Cela faisait plus d'un an que son enquête continuait, et toujours rien!

Mais Matiel se déconcentra de sur lui même pour constater l'angoisse qui venait d'apparêtre sur le visage d'Ophélia. Il déposa sa main sur l'épaule de la mutante et la secoua délicatement pour la sortir de cette sombre transe dans laquelle elle s'enfonçait.

- Dans ce cas, nous allons nous arrangez pour que ces cauchemards cessent une bonne fois pour toute. Allons-y.

D'un pas déterminé, il se dirigea vers les étagères à la recherche de l'index ou vois même l'encyclopédie général de cette bibliothèque. À oartir de là, comme avait Ophélia, ils pourraient retracer les écrits datant d'avant même la Bible. Matiel portait une atention particuliaire sur les écrits concernant le roi Salomon ainsi que les rituels occultes.

Elle se fit secoué sans vraiment réagir puis hocha simplement de la tête au dire de Matiel.  Elle posa son regard dans le sien quelque seconde avant qu'il ne retourne aux étagère. La mutante fit de même , mais sur le mur contraire. Elle indiqua quoi chercher au deux autre dévot.

C'est au bout de 15 minutes d'intense recherche que Mirabelle fit entendre sa voix pour signifier qu'elle avait trouver le dit index. Ophélia ne perdit pas de temps et rejoignit l'agente pour prendre possession du livre et s'assoir à une table.


- Bon tenez vous près j'vais vous donner les ranger et les nombres des livres. J'aimerais que vous aillez les chercher on gangera du temps à tous les avoir avec nous.

Puis la femme ouvrit l'énorme livre et se mit à chercher. avant de tourné son regard sur Matiel.

-tu as toujours l'enregistrement sur une petit bande audio? j'aimerais le réentendre si c'est possible.

Elle retourna ensuite son regard et donna un ordre.

- Mirabelle ranger B livre 530-b2 livre sur la cabale , Elkior ranger C livre 230-c3 traité de salomon, Matiel ranger E 462-e1 ancien testament.

Elle donna plusieurs fois des lettre et des nom pour qu'en fin il se trouve sur la table à peu près 10 ouvrages dont les titre était vieux en latin, en hébreux et même certain en dialecte arabe dont un coran.

Durant les premières minutes, Matiel surveillait constament sa montre, regardant les précieuses minutes passer. Ils perdaient un temps précieux, leurs vies étaient en jeux, et pourtant, ils n'aboutissaient à rien. C'est endroit était comme un invasion d'information. Même les meilleurs érudits de la caserne Sanctum, ceux qui avaient passé leurs vies dans cette endroit, arrivaient encore à s'éguarer sous ces monagnes de livres. Matiel regardait son équipe, ils n'avaient aucuns érudits avec eux, était-ce vraiment possible de réussir en moin de 2 heures.

C'est au crie de victoire de son interrogatrice que l'inquisiteur relâcha une partie de son stresse. Il écouta avec atention les instrutions d'Ophélia avant de se diriger vers sa tâche. Sur le chemin, Matiel regarda le visage d'Élikor et remarqua qu'il était étrange pour son agent de suivre les instructions d'une mutante. Mais Élikor était toujours le genre d'homme qui gardait pour lui ce qu'il pensait.

L'inquisiteur revint au point de rencontre avec l'ancien testament en main. Il le déposa délicatementsur la pile de livre qui commençait à devenir impressionante. Il sorti aussi l'enregistreur de sa poche et le déposa sur la table. Ainsi, tout était réunis pour commencer la recherche, Matiel sentait déjà l'adrénaline monter en lui.

La mutante une fois tout les livres devant elle prit la petite enregistreuse. Elle déglutie un peu avant de pousser le bouton pour écouter une nouvelle fois la bande sonore glauque et terrifiante qu'elle avait fait jouer et rejouer dans son petit appartement quelque jours plus tôt. Elle en eut encore une fois un grand frisson qui lui parcourue l'échine. La voix.. ou les grognements désincarnée lui faisait toujours aussi peur.

Cependant elle se força une fois de plus à écouter le morceau pour le décortiquer. Les mot qu'elle avait identifier comme couronne et roi était tout proche l'un de l'autre. Il semblait faire parti de la même phrase.


-hum quelqu'un a des feuilles vierge pour moi? et un crayon?

Demanda Ophélia en regardant les trois membres de l'ordo justicar autour d'elle.


- J'aimerais pouvoir prendre des notes.

Et tenté de sauvé sa vie au passage pensa la mutante. Sans ordre elle ne réusirait à rien et cette 1h45 ne servirait au final à absolument rien. Un fois qu'elle eut se qu'il fallait quit à devoir demander à Elkior le cahier qu'elle lui avait auparavant donner elle écrit les premier mot. Roi et Couronne.

- Matiel? Mirabelle? Elkior, pouvez-vous chercher dans les livre en latin ou il fait mention de roi et de couronne? Exemple le roi courroné blabla bla ou encore comme la bête de l'appocalypse le versait qui dit a peu près '' et elle sortira des eau portant 7 tête et portera 10 couronne'' Prenez chaque verset ou chaque paragraphe ou ses deux mot se retrouve conjoint dans une phrase. Moi je m'occupe de la cabal, et des écrit hébreux.

Matiel partagea le sentiment terrifiant avec la mutant lorsque celle-ci activa l'enregistreuse. Cela faisait au moin dix qu'il l'avait entandu, mais à chaque fois, elle fasait toujours le même effet. Après tout, qui pouvait rester insensible à cette voie si lugubre et démoniaque?

À la demande de la mutante, l'inquisiteur sortie imédiatement un carnet et un crayon et le déposa sur la table. Se demandant si cela allait être assez, il chercha du regard des feuilles de papier, mais sans succès. La chose était ironique, ils se trouvèrent dans une pièce remplis de milliers, voir même de milliards de pages et pourtant, aucunes feuilles ne semblaient être à disposition.

- Vous l'avez entandu, déclara l'inquisiteur en s'adressant à ses agents. Commencez par la pile de livre ici, moi je vais vérifier le « EX-Libris». Aussi, j'ai trouvé des informations sur le roi Salomon et des riuels païns associées au bien et au mal dans ce livre-ci.

L'inquisiteur pointa un livre dont la couverture était de cuir, celui où ses recherches se sont arrêtés.

Ophélia prit un exemplair de la Tora ainsi qu'un exemplaire de la Kabbale et s'y plongeant longuement. Son stylo marquant sur le papier quelque note par moment dans le bruit feutré du froissement de la feuille de papier.

Elle relevait que quelque fois le regard pour voir les visages de ses compagnons d'infortune. La mutante s'en voulait d'avoir exceptée. Ophélia s'entait que quelque chose de plus gros pesait sur ses épaules que sa simple vie... 

C'est Matiel le premier en feuilletant les traité du roi Salomon qui eut en premier quelque bride d'informant semblant les plus potables. Pendant ses recherchers cependant Ophélia toujours arrêtée sur ses livres en hébreux rembobinnait et refaisait jouer la bande audio sans prévenir brisant par moment le silence par le bruit audieux de l'enregistrement.

AU creux de la petite clé de salomon livre laisser en plusieur partie le haut inquisiteur trouva nombre de mention a propos des ange ténébreux. Cependant c'est un rituel particulier qui attira son attention. L'incantation ajouté au rituel se lissait ainsi -

'' Dominus in lance
Vobis vestro mundo illuderet
Te in regem coronatus nihilo
Et vos qui regnat in VII tantibus

Domine exaudi invocet
Limen velum
Tua voluntas mea
Ego accensa fatum meum

Da mihi fractionis
Vobis posèdes
Eva Angelus coronavit

Voluntatem tuam impertiaris
In pro septem
de tantibus
Atque in regem coronatus ''