AU suivant ( Ophélia et Matiel )

La file semlbait interminable, surtout avec tous ces agents de la loie qui ne faisait que crier des ordres ça et là, remplis de mépris envers les pauvres non humains qui ne faisaient qu'atendre d'entrer les portes de la caserne sanctum. Toutes les émotions étaient au rendez vous, peur, haine, tristesse et bien d'autre. Certains n'avaient même plus le courage de rentrer et ne fit que partir subtilement de la ligne. Les gardes les laissa faire, ils savaient qu'ils se condanaient par eux même à une mort certaine.

Après deux heures d'atentes, ont les redistribua enfin vers les bureau d'évalutation, là où tous pourraient enfin rencontrer un inquisiteur. Les longues marches les firent gripper aux derniers étages pour se retrouver encore une fois dans une salle d'atente. On leurs distribua des questionnaires qui demandaient leurs nom, age, sexe, race et métier.

C'est alors que sortie de la porte de l'inquisiteur Matiel deux agents masqués qui trainait de force un homme recouvert de mutation ainsi qu'une petite mutante d'à peine 7 ans. Les deux mutants se débatir de toutes leurs forces, mais les agents surpassèrent leurs forces et leurs désespoirs. Par la suite, ils furent séparé sur deux portes différentes dont personne ne savait où elles menaient. « PAPA» cria à chaudes larmes la petite, « MARIE, NON!» répondit en détresse l'autre homme. Puis, ils traversèrent les portes, on ne les entandit plus. la salle était alors plongé dans un silence lourd.

-Au suivant.

Déclara alors la secrétaire, c'était le tour d'Ophélia.

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Elle regarda le ciel. SUper cette journée dans l'antie-chambre de l'enfer. La mutante avait afficher un aire neutre tout au long de l'attente. Franchement désabusser de la stupidité qui règnait elle préfèrait se terrer dans un mutisme propre à elle. Percécuter les mutant qu'elle idée à la con quand même puisque chaque mutant ou presque avait été humain avant d'êtres la simple victume des radiation créer par qui...les humain eux-même.Ophélia trouvait que c'était une abération un vrai non sense.

Cependant à quoi bon se débattre si cela signait l'arrêt de la vie. S'qu'on est con quand même se dit intérieurement la mutante qui se voyait encore bien humaine au font d'elle-même.

Se levant elle se dirigea vers le bureau que la dame lui avait indiqué. Il ne faudrait pas attendre c,est gens au coeur depierre qui avait oublié finalement se que c'était d'être humian et qui dansait bien plus avec le diable que n'importe qu'elle mutant ou zoomorphe... mais chut leur dire une tel chose ne les raviraient pas.

Cette après midi elle n'aait revétit qu'un robe des plus simples en coton blanc. Aucun ruban n'y bijoux n'avait été placé sur ces cornes. A quoi bon cela les aurait très surement offusqué.ELle avait cependant revétit ces long gant noir de cuir pour ne pas affoler personne dans la salle d'attente. Ophélia n'avait en fait passer aucune ''artifice'' de beau elle était à sa plus simple expression. Belle, belle ,mais également ainsi vétue semblait l'incanation de l'innocence si elle ne pouvait pas être la pureté avec la couleur de sa peau. Elle s'était passer au bien de très simple sandale et un petit collier d'argent laissait pedouiller plusieur petite éffigie dont une croix chrétienne, un médaillon de la saint-mère, une petite poire indoue, un petit éléphant bref plusieur porte bonheur et fétiche des anciennes culture.

Bonjour?

Dit-elle en cognant puis en entrant la tête dans l'entrebaillement de la porte avant de passer tout son corps fin.

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Elle y trouva assis au fond de sa chaise luxueuse l'inquisiteur en train de prendre ses dernières notes sur les atrocités que ces agents allaient bientôt commettres avec cette famille. Au point final, Matiel releva la tête de 90 degrés pour inspecster la nouvelle arrivée. Il remarqua vite les bijoux et aprécia l'atention de la mutante, ainsi, Matiel pouvait se consentrer sur autre chose que son corps ideux.

- Veyez vous assoire.

Lui dit-il. Puis il tendit la main afin d'avoir le questionnaire qu'elle devait remplir.

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Ophélia approcha doucement et vient s'assoir le regard que porta l'inquisiteur la frappa. Elle n'avait pas l'habitude au regarde profond dégout et cela la désarsonna légèrement. Elle qui avait une confiance en elle grande et une estime de soi bien portante se croyant réellement belle en douta quelque minute... Par réflexe elle porta la main vers les fétiches pour se donner un peu de courage.

La mutante tourna son regard jaune ambrer vers celui de l'inquisiteur et attendit qu'il prenne la parole inspirant profondément pour reprendre son calme indifférent.

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La mutante était maintenant assise et semblait prête. Matiel aussi fut frappé par son regard qu'elle portait vers lui. D'habitude, les autres nons humains détournait toujours le regard du sien, fixant le sol de peur et de stresse. Mais cette femme n'avait pas ce genre de faiblesse on dirait, elle semblait confiante, voir même en contrôle de la situation. Il agrippa la fiche pour voir son nom.

- Bien le bonjour madame... heu... O'Cunagan. Nous pouvons commencer. À première vue, il semblerait que vos mutations recouvrent l'entièreté de votre corps.

Matiel l'a réinspecta du regard pour être sure de ce qu'il disait. Il fut de nouveau frappé. La première fois, l'inquisiteur ne s'était atardé qu'aux cornes, aux yeux et aux bijoux. Mais le reste de son corps était sublime, la silouhaite d'une femme parfaite. C'était la première fois que Matiel faisait face à quelque chose comme ça. Était-ce un signe qu'elle n'avait qu'un niveau légé de mutation, qu'elle était d'avantage une humaine qu'un mutant? À moin qu'elle ne soit qu'une succube, une agente du mal venue le déstabiliser psychologiquement, le corrompre?

L'inquisiteur de l'ordo Justicar reprit ses esprits à temps et détourna son regard du corps d'Ophélia pour revenir à ses yeux.

- Pouvez-vous me dire si cette affirmation est vraie? Deplus, j'aimerais que vous me disiez en détail comment et quand ces mutations sont apparues.


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En fait mes mutations sont une taux anormalement élevé de mélanine dans la pigmentation de ma peau et un retrait total de celle-ci dans mes cheveux un accroissement des os de mes mains ainsi qu'une surproduction de kératine.

À ces mots elle pointa ces corne avec un de ces doigts qui malgré les gants semblait ''griffu''. Elle s'était remise en selle et au deuxième regar de l'inquisiteur elle s'était regaillardit sans tout fois sembler être insolente ce n'était pas son but.

Donc oui on peut dire que cette affirmation est vrai même si ma seule réelle mutation soit lié à mes mains et mes cornes car les deux autre peau noir cheveux blanc sont des déshordre qui était déjà présent dans l'ancien monde l'un étant l'albinisme et l'autre par contre je n'en ai pas le nom exacte.

Elle repossa ces main sur ces cuisses comme une dame sophistiquée.


J'ai commencer a changer de pigmentation de peau peu après ma puberté vers mes 12 ans les cheveux on suivit vers l'âge de 13 et mes doigt se sont allonger a 14 ans , mes yeux eux se sont ambrer et grisé vers mes 15 ans. Il y eut une accalmit dans mes mutations et ce n'est que vers 20 ans que mes cornes on commencer à pousser à la basse de mon crâne... en fait elle y sont presque souder depuis le temps. Elle sont de Kératine et d'émail... ou ... pour faire simple un genre d'ivoire bas de game , mais très résistant...Elles ont pousser durant 7 ans pour atteindre cette grosseur depuis 7 ans maintenant elle ne pousse plus.

Pleinement en possession de ces moyens Ophélia répondait calmement au question.

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Pendant cette réponse, Matiel resta net sans bougé, comme une statue gardant une pose calme et professionel. Son esprit parcontre roulait à cent milles à l'heure, les explications semblait être criptées, mais remplis de vérités. L'inquisiteur se rappellait avoir déjà entandu ces termes autre fois, c'était définitivement médical, mais leurs significations étaient loin dans sa mémoire. La mutante cela dit avait l'aire confiante dans ces descriptions, c'était probablement tout ce qui importait.

Matiel regarda du coin de l'oeille sa fiche. «Apothicaire», il n'avait plus l'intention dela questionner là dessu. Il commença donc à prendre ses notes.

- peau... 12 ans... cheveux... 13... hum hum... corne... 20 ans. Et comment est ce que ces mutations influences votre cotidien, comment vous sentez-vous dans ce corps?

Finit-il par demander en relevant la tête.

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Je me sens bien et a par m’empêcher de dormir sur le côté mes corne ne me dérange pas. Je dois parfois faire attention pour les passants , mais autrement je me sens bien, pas de malaise quotidien.

Elle eut un petit sourire parce que la question l'avait légèrement amusée. Quel question un mutant sa restaitun humain modifier alors il se sentait comme un humain tout a fais normal.

Ah peut-être une chose les jour de pluie les articulation de mes doigt me font des misères comme de l'artrite?

Petite touche d'ironie... bon une seule dans toute la rencontre sa ne turais pas il voulait savoir comment elel se sentait en dedans il avait toute la réponse le vieux de dieux.

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Matiel déposa alors le crayon sur ses notes et les poussa de côté. Il ramena ensuite ses mains vers la hauteur de son menton et les relia en enfillant ses doigts par dessus les jointures. Il plissant un peu les yeux et pris un aire remplis d'intrigue.

- Et si je vous disais que j'avais le moyen de vous faire revenir comme vous étiez avant, de vous faire disparaitre toutes ses mutations de sur votre corps. Que réponderiez vous? Accepteriez-vous?

Il sagissait d'une question crussial pour son enquête. Beaucoup de non-humains lui ont dit ce qu'il voulait entandre, mais la vérité était autre, ça se voyait. À ce moment, il voulait voir s Ophelia oserait lui mentir. Il se consentra sur le ton de sa voie, sur les tics nerveux, la sueur de son front, tout était un indice.

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Elle eut un regard plus grave encore plus sérieux qu'il ne l'était et répondit du tac au tac sans attendre, sans laisser de pause aucune. Battre le fer pendant qu'il est encore chaud.

-Non je dirais non, non parce que ces épreuves mon forgée comme je suis. Je connais le prix de la vie et la chance que j'ai. Le faible connait la valeur de la force et j'ai été à la merci du monde durant de long mois. Non parce que je sais se que j'ai perdu et j'accepte de l'avoir malheureusement perdu parce que la folie des hommes a condamné notre espèce à finir ainsi. Parce que l'homme n'as pas sut s'arrêter, parce qu'il c'est entredéchirer seul pour quoi? des pseudo richesse. Je suis un stigmate de l'échec de l'homme sur sa propre avidité un rapelle qu'il ne faut plus faire les erreurs que nos ancêtre on fait. Suis-je un monstre? Peut-être pour certain, est-ce que je me considère réaliste oui, mais je ne crois pas vous apprendre quoi que se soit.

Elle était franche dans tout ces mots à quoi bon mentir? Ophélia n'était pas menteuse elle détestait mentir car d'ou elle venait elle savait pertinament qu'un jour tout finisait par se savoir et que rien ne restait enterré longtemps. Pour la mutant ele mensonge était un noeud coulant passer autour de son cou, une épée de Damoclès inutile. Alors elle avait adopté la franchise, la vérité juste la vérité.

Son regard n'était pas fière, mais plutôt intègre. Si Ophélia ne pouvait pas être fière d'être mutante elle avait cette espèce de dignité noble propre à elle. On voyait dans son regard qu'elle avait vu plusieurs fois le soleil se lever et la lune se coucher.

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- Hum je vois...

Il ne semblait point y avoir de mensonge dans ses signes non-verbaux, que ce simple regard troublant qui sembait pouvoir percer son âme.

- Avez-vous de la famille O'Cunagan? Avec qui vivez-vous?

Demanda l'inquisiteur en réagripant subtillement son crayon.

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Je vis seule dans le quartier des mercenaires, mais j'ai encore de la famille mon père et ma mère son encore vivant et bien portant. J'ai égalementune tante et 2 cousin. Ceux-ci vive respectivement dans le quartier résidentiel et dans les quelque apprt du souk. Aucune mutation ne c'est vu chez eux cependant ce sont encore des humain bine portant. Bon peut-être un peu moins mon père, mais l'âge dans le district...fin bref voilà

Elle n'allait pas commencer à expliquer tout sur sa famille à moins qu'il ne lui demande,car il y en aurait pour uen bonne demi heure et vu le monde dehors mieux fallait faire des entrevue rapidement... du moins le bon sense aurait dicté cela.

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- Vous êtes-vous reproduite avant ou après vos mutations?

Ça ne vallait plus le coût de tourner autour du pot, de toute façon, elle semblait trop futée pour se laissez avoir ainsi. Au moin, l'inquisiteur savait qu'il y avait possibilité de surveiller le père aussi.

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-non et je suis célibataire.

Elle fit un clin d'oeil a l'inquisiteur. Non pas qu'elle se voulait provocante, mais plutôt drôle détendre l'atmosphère serait profitable à chacun d'entre eux. Puis si le prennait mal au diable il ne pouvait pas l'inculper pour un clin d'oeil.

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L'inquisiteur eu un peu de mal à interpréter ce clin d'oeil, était-ce une tentative de le séduire? Non, certainement pas, elle avait plus de classe que ça. Mais alors, c'était pourquoi? Il vallait mieu ne pas y penser ce dit-il.

L'inquisiteur resta donc froid à ce geste et continua.

- J'aurais maintenant une dernière question à vous poser. Comme vous l'avez mensionné plus tôt, vous avez eu un acroissement sur vos doigts. Est ce que cela a développer des griffes, seriez vous aptes à vous en servir pour vous défendre?

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Oui cela peut ce développer en griffe, mais je les taille chaque jour sinon elle percerais mes gants.

Dit-elle en remontant un peu ces main au niveau du regard de l'inquisiteur montrant ces gants ajusté de cui noir lui montant jusqu'au coude.

besoin de voir?

Elle espérait que non, mais ne pouvait juré de rien. Elle n'appréciait pas montré les marques et les stigmate qu'avait laisser de vieilles morsure.

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- Non, ça va allez. Néamoin, vous devez vous assurer que cette mutation ne tourne pas en arme naturelle.

Matiel remplissa enfin la dernière ligne sur son rapport. Puis, il ouvrit son bureau pour en sortir une étampe et un peu d'encre.

- L'inspection est terminé, par ma sainte autorité, je déclare votre taux de dangerosité par un 3/4.

Et il termina sa phrase en fracassant le tampon sur une feuille de papier. L'inquisiteur la roula ensuite comme du parchemin et la tendit à Ophélia.

- Vous allez apporter ça au bureau de marquage qui va être à votre droite pour recevoir votre marque. Et pour votre clame et votre entière collaboration, vous avez le droit de décider de son emplacement sur votre corps.

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-petite chose j'ai lut que vous maquiez au fer chaud, si vous le faire sur ma peau d'ici la cicatrisation vous ne verrez plus la marque. Cela est un principe vraiment simple ma peau étant excessivement noir la cicatrice ne se verra simplement pas. Je vous conseil plutôt pour ma part un tatou fait de pigment blanc ou pâle autrement ...et cela ne me tente pas...je devrais venir me faire marquer chaque fois que j'ai finit de cicatrisé.

Elle marqua une pose et pris le papier estampiller. 3/4 c'était bien c'était de ce qu'elle avait compris le plus haut que l'on pouvait espérer comme mutant puisque 4/4 c'était pour un humain normal. Autrement la mutante avait sa petite idée d'ou elle apposerait cette marque.

- et une dernière question la marque dois être en tout temps visible ou si je la pose simplement exemple sur un bras et que je relève ma manche cela fonctionnera également?

ne rien laisser au hasard ophélia jamais rien laisser au hasard.

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- J'y avait pensé, effectivement, vous allez recevoir une permission special pour avoir un tatouage de couleur blanche.

L'idée de la marquer au fer blanc à chaques jours lui était passé par la tête aussi, mais Matiel s'était dit que la perte de temps aurrait été phénoménal.

- Et en effet, votre marque doit être visible en tout temps. Si vous la voulez sur le bras, assurez-vous d'avoir toujours la manche retroussez. Autre question?

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Non aucune autre je la ferai placer dans mon cou un peu plus bas que mon oreille cela devrait faire l'affaire.

La mutante se leva avec grâce et lenteur avant d'effectuer une révérance en croisant les pieds et en abaissant la moitié de son buste placant une main dans son dos et l'autre devant elle. Ce mouvement était habituellement le salut d'un gentlement face à une dame, mais Ophélia adorait se mouvement.

Au plaisir cher inquisiteur...

Elle regarda le nom sur le bureau.

Matiel. J'espère que le karma sera avec vous. Passez une bonne fin de journée

Elle n'y croyait pas tout a fait avec les énergies négative qui reignait dans cette anti-chambre de l'enfer le karma ne pouvait pas être avec cette homme. Mais au final qu'en avait-elle a faire? rien du tout. La mutante tourna les talon papier en main et quitta la bureau sans autre mot. Peut-être revérait-elle un jour cette inquisiteur...ou peut-être pas cela lui était finalement égale.

En route vers le ''tatooeur'' moi qui avait penser a un nouveau désign une belle fraction ceci est à la mode et très original... C'est avec un petit rire bien a elle qu'elle disparut dans la salle d'attente.

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Matiel lui répondit avec un hochement de tête et la regarda s'éloigner de son bureau. Quand Ophélia passa la porte, l'inquisiteur s'écrasa son front sur sa main et se massa les yeux. Il réccapitula mentalement ce qu'il venait de voir.

Matiel avait vue tout genre de mutant, des laids au monstrueux. Pas un, non, pas un ne montrait un être digne. Ils se présemtait avec peur, essayant de cacher le plus possible leurs natures, car ils avaient honte de ce qu'ils étaient. Il était facile pour un être sensé de comprendre que les mutants n'étaient qu'un afaiblissement de la race humaine. Et pour ceux qui étaient fier de leurs natures, la folie était des plus présentes chez eux. La radiation n'avait pas juste rongé leurs coprs, leurs esprits aussi, c'es de eux qu'il fallait le plus s'en méfier.

Mais elle, cette Ophelia, elle ne montrait aucun désiquilibre mental, tout était normal chez elle, la mutante avait su garder toute sa dignité. Et son corps n'avat presque rien de repoussant, il était presque attirant même. Ce pouvait-il qu'elle ne soit pas un mutante? Mais alors qu'est ce qu'elle était. Il fallait la tenir sur haute surveillance, ça s'était certain.

La secrétaire de Matiel rentra dans le bureau, demandant si l'on pouvait continuer. L'inquisiteur lui fit signe de la main de faire passer le suivant.