Cfft le dernier commencement
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Cfft le dernier commencement

dans un monde post-apocalyptique l'ordre ne règne que dans le district 6 !
 
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 Et on se la fait guerilla (riki et Matiel)

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Dm Narrateur
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Et on se la fait guerilla (riki et Matiel) Empty
MessageSujet: Et on se la fait guerilla (riki et Matiel)   Et on se la fait guerilla (riki et Matiel) Icon_minitimeJeu 6 Juin - 13:04:02


L'annonce qu'elle avait entendu au Souk était inacceptable. De source sûre, elle savait qu'elle n'était pas la seule à penser ainsi. La gamine avait appris une chose de son père. Tous les être vivants sont égaux. Il ne devrait pas il y avoir de différence. On pense que les mutants ou les zoomorphes sont cruelles. Mais on a qu'a regarder le sort que les humains leur offre pour comprendre que la cruauté est chez tous les êtres vivants. L'apparence n'y compte pas...Voilà ce que son père lui avait appris. Elle avait partagé nourriture, lit, maison avec des mutants et zoomorphes et aussi des humains. Elle y croyait la petite. Peut-être que son père pour son ouverture d'esprit avait été enlever par inquisition? Et l'armée avait fait passé çà pour une disparition dans le désert....

Peu importe. Elle ne savait pas si elle allait être seule, mais elle avait dit a quelques zoomorphes et mutants ceux qu’elle connaissait et ceux qu’elle croisait comme quoi qu'il y allait avoir de la casse à la caserne de l'incquisition. Minuit, c'était l'heure qu'elle avait donner. Peut-être allait-il avoir des gens peut être que non. Peu importe, elle était paré et voulait montré son désaccord. Elle avait une combine complètement noir. Ses longs cheveux roux étaient enroulés dans un tissus noirs. Il n'y avait que ses goggles qui étaient verte forêt. Avec elle, il y avait plusieurs bombonnes pour faire des grafitis. Et le clou du spectacle pour la fin...elle avait plusieurs lumière qui marchait à l'aide d'une batterie. Et en même temps une grosse alarme. Il voulait faire du bruit...bien. Elle aussi. Mais ca c'était pour installer à la fin si elle avait le temps.

La gamine était en mode commando. Elle rampait sur le sol avec son équipement. Elle essayait d'être le plus silencieuse possible...mais bon on se souvient de qui on parle ici? Riki Bago...la fille la moins subtile sur la planète malgré sa grande dextérité. Elle se rendit du moins jusqu'a un bord de mur qui n'avait pas de fenêtre et commença a dessiner un immense A de l'anarchie. À côté elle marqua Freedom, mais.....

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Zaranarch marchait le long du Sanctum avec son déguisement de terroriste. Il avait été porté Ealing à l'auberge dans sa chambre, puis était sorti par la fenêtre en toute discrétion. Une fenêtre avec vue sur une ruelle sombre. Il avait étudié quelle chambre prendre pour avoir le résultat escompté.

L'anarchiste avait mal réagit au communiqué du Sanctum. Les mutants et les zoomorphes sous surveillance, ça voulait dire moins d'alliés potentiels. C'était déjà assez compliquer de recruter comme ça.

Décidé à réunir toute l'information nécessaire pour infiltrer le Sanctum ne serait-ce que partiellement, le "Zar" patrouillait dans les ombres et montait des plans. Dans ses errements, il vit la gamine qui faisait du vandalisme pro mutant. Il se rapprocha tout en restant dans l'ombre au cas où elle serait déjà repérée.

Z: - Tu es au courant de la futilité de ton geste? À part donner aux médias du Sanctum la légitimité d'accélérer la crise, ton acte ne donnera pas d'espoir à qui que ce soit. C'est un cri du désespoir qui aura l'impact d'une mouche dans le pare brise de l'opinion que tu cherches à ébranler.


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Dans l'obscurité il était difficile de dire si c'était une fille ou un gars. La présence de l'homme la fit quelque peu sursauter. Elle savait que en ce moment elle risquait sa vie. Ou du moins ses chances de faire partie officiellement des StormRiders. Elle était là à titre personnel.

- Tu es au courant de la futilité de ton geste? À
part donner aux médias du Sanctum la légitimité d'accélérer la crise,
ton acte ne donnera pas d'espoir à qui que ce soit. C'est un cri du
désespoir qui aura l'impact d'une mouche dans le pare brise de l'opinion
que tu cherches à ébranler.

Son geste futile? Pour elle c'était le début de quelque chose. Une protestation. C'était peut-être un petit geste oui. Probable que sa allait mettre l'incquistion en boule. Mais c'était aussi une manière justement de dire que le peuple ne se laisserait pas faire du moins elle l'espérait. Elle avait l'espoir de la jeunesse.

Riki se retourna vers l'homme. Elle respira profondément pour ne pas se laisser emporter...elle parlait tout bas.

''Futile? Au moins je fais quelques choses, et leurs colères? Eh bien il est temps qu'il voit que les gens sont en désaccord. C,est à force de se plier....et se soir ce que je fais c'est plus pour les mutants et les zoomorphes...pour que eux se réveillent! Leurs montrés qu'ils ne sont pas seuls....''

Bon maintenant il savait que c'était une jeune fille....cette dernière continua son chemin en donnant un coup d'épaule à Zaranarch...Elle avait du caractère la petite. Elle se dirigea vers un autre pan de mur continuer ses graffitis. Si l'homme était de l'incquisition il l'aurait déja passé sous arrêt, jeter par terre et battut. Mais bon en jeunesse qu'elle était....Sa témérité parlait à sa place. De toute façon Riki n'était pas du genre très rationnel non plus.

''Et qui es-tu toi pour me dire que mon juste est futile...''

Décidément, cela ne lui avait pas plus de se faire dire ça.

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Zaranarch réfléchit silencieusement et observa la scène. Une révolutionnaire hein? C'était rare.

Z: - Je suis Nemesis, un ennemi de la pointe de la pyramide que tu combat. J'ai cependant des méthodes indirectes dont le but est de prendre l'ennemi par surprise lorsqu'il est faible et vulnérable. Je ne crois pas que provoquer une sortie de tank qui roule sur la foule soit très stratégique. Je te propose de remettre ta vengeance à plus tard et de discuter d'un plan d'action. Ton "armée" semble se résumer à un sac plein de bombonnes de peinture.

L'anarchiste prit une pose.

Z: - Joignons nos forces et nous nous rapprocherons de ton objectif. Je cherche des gens qui ont du culot comme toi. Prend un moment pour écouter ce que j'ai a dire et si cela te semble sensé, travaillons ensemble.

---------------
Riki n'eu pas le temps de terminer son dernier grafitie qu'une puissante lumière venue du toît éclaira sa position. On entandit alors des dizaines de pas tapper le sol de tous les sens. Deux secondes plus tards, plusieurs silhouettes les encerclaient. On pouvait distinguer les uniformes de police, des casques de combat, des lampes torches et bien sure, de nombreuses armes à feu braqué sur les intruts. Tous se mirent alors à leurs crier des ordres superposer:

- ON BOUGE PLUS!

- À TERRE!

- J'VEUX VOIR VOS MAINS!

- LES MAINS EN L'AIRES!

- ON BOUGE PLUS!

- LACHEZ CE QUE VOUS AVEZ!

Et les cris continuèrent alors que leurs nombres ne faisait qu'augmenter.

Par les centaines de caméras qui étaient installées sur l'édifice, l'une d'entre elle avec capté une ombre. Ajouté à cela, l'un des gardes de nuit avait entandu par la fenêtre le son de la canne à peinturer se libérer. «Peut-être une fuite de gaz, ce disait-il, jusqu'à entandre les voies qui l'accompagnaient.

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Riki était soudainement intéressé à ce que disait l'homme. Cela avait soudainement plus de sens...ou pouvait-elle bien allé avec ses cannes de peintures? Mais elle espérait une chose. Les actions ne devaient pas être maintenant mais dans les prochains jours. Mais pour discuter de tout ça fallait qu'il aille plus loins. Sauf que soudainement tout se déroula tellement vite, la lumière tout...Elle jetta un oeil à Zar. De son côté elle leva les mains dans les airs et laissa tomber son sac remplis de canette et de lumière. Ils pouvaient voir à présent à la lumière le corps parfait de la jeune femme. Visiblement elle était humaine. Une humaine plus petite que la moyenne, mais s'en était une.

Ils étaient prit. Fichu. Mais elle espérait une chose, si au moins elle était blesser elle pourrait prouver que ce n'était pas des mutants ou des zoomorphes qui l'aurait amanché mais bien des humains....

''Et maintenant on fait quoi...''

Murmura t'elle à Zar. Étrangement, elle n'avait pas l'air effrayé. Elle était frondeuse la petite. Elle savait qu'elle s'en sortirait vivante. Indemne et libre..ça c'était une autre question...


''JE SUIS HUMAINE!''

Cria la gamine.

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Riki se retourna vers les ténèbres. Il n'y avait plus personne.



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Un homme s'avança alors dans le diamètre de lumière que format le projecteur. Il était lui aussi en uniforme de policier. Il s'avanca avec prudence et crainte. Puis il attrapa le sac à bout de bras et reparti à la course. De retour dans le noir, Riki entandit un ziper se dénouer. Cinq secondes après, l'homme déclara:

- Le suspect est humaine, elle n'est pas armé.

- Baissé les armes alors.

La voie qui venait de répondre sonnait plus grave et autoritaire. On éteignit les lampes de poches et augmenta le rayon de lumière. La gamine vit alors un officier de police qui semblait haut gradé. Deux autres policiers se dirigea alors vers elle pour lui passer les menottes

- Une autre voyou, rien de plus, on l'amène à l'interrogation.

- Je ne crois pas commissaire. Au nom de l'inquisition, cette dame vient avec moi

L'inquisiteur matiel venait de faire son entrée. Habillé en long à son habitude. Il dépassa le condarge de sécurité pour voir la nouvelle captive de plus près.

- Alors, qu'avons nous là?

Déclara Matiel en lui enlevant rudement ses goggles.

--------



Le coeur de Riki battait comme il avait jamais battut. Il battait fort. Elle sentait le sang dans ses tempes. Pourtant elle n'avait pas peur en tant que tel. Elle laissa les hommes lui mettre des menottes. Elle disait rien. Elle allait suivre point barre. Elle ne savait pas du tout ce qui l'attendait. Lorsque soudainement un homme de inquisition ordonna qu'on lui la laisse.

Les choses allaient mal tourné...

- Alors, qu'avons nous là?

En arrachant les goggles, le foulard qu'elle avait sur sa tête tomba aussi. De grands yeux verts émeraudes fixaient l'inquisiteur. Une cascade de cheveux roux tombait en ce moment sur les épaule de la gamine. Par le demi-visage qu'il voyait le resta étant caché par son masque à gaz, il pouvait deviner un visage fort jolie et juvéniles.


''Me nomme Riki Bago...''

SOn ton se voulait brave, presque défiant. Elle savait qu'un jour sa témérité allait lui couter cher. Mais peu importe. Elle était là entouré d'homme armé tandis qu'elle sa seule arme en ce moment était son intelligence. Bago ce nom pouvait lui dire quelque chose une vieille famille de militaire majoritairement haut gradé. Le dernier, son père était perçu comme un brave homme.

Évident elle ne devait pas mentionner, du moins pour l'instant que c'était une jeune recrue des stormriders...


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Le commissaire et l'inquisiteur restèrent bouche bée quand elle prononça son nom de famille. Matiel semblait avoir perdu son assurance et sa fierté d moment. Il se maintenait cela dit, sur le même plan.

- Emenez la à mon département.

C'est alors que commissaire protesta imédiatement.

- Cette femme à fait une faute criminelle et elle est entièrement humaine, l'inquisition n'a rien à voir avec ça.

- Entand normal, j'aurrais été d'accord avec vous, mais nous savons tous les deux que cette insulte est adressé directement à l'inquisition. À preuve du contraire elle vient avec moi, amenez la!

À contre coeur, le commissaire donna quelques ordres et Riki se retrouva avec un sac sur la tête. Elle se senti alors trainé à l'intérieur du batiment pour se retrouvez attaché sur une chaise. On lui enleva alors le sac et le masque à gaz, elle se retrouva en face à face avec l'inquisiteur, seul dans une petite pièce alumée d'une bougie.

- Riki Bago, aucune trace de mutation ou de partie animal. De plus, votre père était un grand serviteur de ce district. Alors qu'est ce qui a bien pu vous pousser à faire une telle bétise?


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Riki ne pu s'empêcher de rire un peu lorsque le commissaire et l'incquisiteur se la ''chicanait''. Mais elle redevint rapidement sérieuse lorsqu'on lui posa un sac sur la tête. Elle ce mit même à se débattre un peu. elle semblait vouloir coopéré alors pourquoi la traiter comme si elle était une animale...En fait elle pouvait ce compter chanceuse un zoomorphe ou un mutant serait mort sur le champ...Pas elle. On l'amenait. Elle se sentait complètement perdue. Ses yeux c'étaient sa vie. C'était une chauffeuse, une conductrice. Sa vision elle y tenait beaucoup. Elle était soudainement très décontenancé. Une fois sur la chaise elle se débattait plus. Il N'était pas question qu'elle se fasse attachée...


''LACHEZ MOI!!!!!!!!''


Tenta la gamine. Elle retrouva pourtant son calme et son cran lorsqu'elle retrouva la vision et qu'on lui enleva son masque. Elle cracha alors dans le visage de celui qui lui enleva son masque à gaz pour ensuite lui faire un grand sourire. Une jolie fille...mais aucune manière visiblement...

- Riki Bago, aucune trace de mutation ou de partie animal. De plus, votre père était un grand serviteur de ce district. Alors qu'est ce qui a bien pu vous pousser à faire une telle bétise?

Riki ria à nouveau...lui parlait-il vraiment de son père...

''Mon père servait l'armée et les citoyens, et ce peu importe zoomorphe ou mutant...qui sit c'est peut-être vous qui L'détener ou l'avez tué...''

Elle avait une lueur de fierté dans ses yeux verts émeraudes lorsqu'elle parla de son père et de son métier. Mais cette lueur laissa place à un regard défiant.

''Ce que vous appelez bétise, la majorité dirait du courage! Tou'l monde à peur de vous et s'abaisse à ce que vous dites et finisse par croire qu'y sont vraiment des monstres...pourtant icitte, le monstre est bel et bien un humain...pis yer dans ma face...''


Elle parlait mal, ne s'exprimait pas nécessairement bien, mais sa venait du cœur. On sentait al témérité et la passion de la jeunesse visiblement. C'était une gamine après tout, maximum 20 ans...

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« Ces yeux, ce caractère, tout comme son père.» Pensa Matiel en se serrant les dents

Cela aurrait fait longtemps que l'inquisiteur aurrait perdu patience avec ce jeux de gardiennage. Il aurrait probablement laissé le garde la giffler pour ce cracha et l'envoyer imédiatement à la salle de torture, le tour aurrait été réglé. Mais il ne pouvait s'en prendre à elle comme ça, surtout en considérant qui était son paternel, non, il devait utiliser de diplomacie. La convaincre était le mieu.<

- Serais-je un monstre? Dite moi franchement, suis-je plus ideux physiquement qu'un mutant à son stade critique? Suis plus perturbant physiquement qu'un homme animal rugissant de tous ses instincs? Et que pensez-vous de ma façon de résonner comparé à un simple programme informatique?

Matiel se leva alors et la regarda alors de tout son haut.

- Je vais vous donner la vraie perception des choses. J'ai raison et ils sont des monstres. C'est dans la nature même des hommes de se répugner quand on les aperçoit. Je ne fais que répondre à une demande générale. Et ce que je vois devant moi est une simple adolescante en stade de révolte qui joue à penser différament des autres, de se chercher sa propre cause. Mais la vérité est bien au fond de vous.


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Riki éclata de rire...Il essayait vraiment de se faire impressionnant le grand monsieur l'inquisiteur...Cela la faisait rire..Pourquoi? Parce qu'il essayait de se la jouer plus malin. Dommage pour lui Riki avait beau être une gamine, elle était très futé et intelligente. Cela la poussait peut-être encore plus a l'insubordination...


''Tu me parles d'apparence, de dégout. Que so la, sa fait partie de la nature humaine...tu penses que je suis une idiote sans cervelle en pleine crise? Nouvelle pour toué...C'est crissement pas le cas. Je suis beaucoup plus logique que toué. Tu m'parles de nature, laisse moué t'parler de nature. ''

Elle prit un petit air supérieur. Son langage laissait beaucoup à désiré. Cela la rendait beaucoup moins jolie de l'entendre parler comme un gars de ''char''.

''Dehors nous les humains normaux sommes obligés de se vêtir au grand complet, d'avoir un masque à gaz. Sous peine de tomber crissement malade, de mourrir ou dans les plus chanceux...avouère une mutation. Ses gens la qu't'apelle des freaks sont a mes yeux l'évolutions. Ils peuvent vivre dehors sans être obliger de se vêtir au complet ou d'avoir un masque, mais ils le font a cause de des gens stupides comme toué qui ont absolument rien compris à la science. Et pour la machine elle comparativement a un humain quand elle meurt je peux la réparé....''

Elle le fixait droit dans les yeux en voulant dire ''tu le sais que j'ai raison a propos de l'évolution...


''Ils sont la race forte, nous faible...et Ouep tu es un monstres en esti...au dernière nouvelle ce n'est pas un mutant ou un zoomorphe qui tient attachée une gamine de 17 ans su une chaise....ou qui veule marqué au fer des êtres vivants...''

Si elle avait pu s'évaché sur la chaise pour plus d'insolence, elle l'aurait fait. Ses yeux étaient pleins de défis du genre *aller amene les tes arguments de merdes je l'ai brise un par un...*

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Le pistolet était proche de sa main, il ne suffisait que de le déguêner pour qu'elle comprenne qu'il était sérieux. Non! Matiel rejeta imédiattement cette idée de sa tête. Cette gamine était loin d'être ordinaire, en faite, c'était plus ce qu'elle avait en elle qui était important...

- J'aimerais tant rectifier votre aveuglement par les sages paroles divines. Mais comme je peux m'en douter, vous faites parti du groupe égoïste qui ne voit pas plus loin que leurs propres intérets, et je ne risquerait pas de salir ma religion avec une pauvre hérétique.

Matiel se rassi et fouilla dans la poche de son manteau pour en sortir un livre de poche. La page couverture était remplis de symboles occultes. Alors qu'il cherchait la page, il demanda avec le peu de calme qui lui restait:

- D'après vous, quel est la différence entre un homme et un rat?

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Ah non c'est pas vrai...pas un cour de religion. La gamine roula les yeux. Elle était vraiment surprise de ne pas se faire torturer, foutre une volée. C'était pas normal...

''Bah ouais chu tellement égoïste que je défends D'AUTRE PERSONNE''

Les hommes de religion et de l'inquisition était-il tous aussi stupide....

''La différence entre un homme et un rat? Benn le rat ne juge pas. Ensuite selon la science notre corps fonctionne pareil ou presque, a la limite biensûre du langage. Une autre ressemblance, quand les rats et les hommes ont peurs ils attaques et quand ils attaquent il répliquent...Mais biensure si t'es un homme de religion...Tu en as fucking rien a foutre de la vérité qu'est la science...''

Elle continuait de le fixer avec ces grands yeux verts.

'Donc tu vois toi et moi on arrivera pas a une entente la dessus, pis tu l' sais donc qu'est-ce que tu me veux...''

La gamine elle n'avait pas de patience....


Inquisiteur Matiel

-----

L'inquisiteur ne réplica même plus aux arguments remplis de haine de Riki. Il commençait enfin à s'être habitué à ces enfantillages.

- Alors laissez-moi vous raconter une histoire qui ne touche que du rationnel.

Matiel arrêta net à l'une des dernières page de son livret. Il commenca alors son récit avec une précision net, comme si cela faisait déjà cent fois qu'il l'avait lu.

- Autre fois, quand les hommes étaient maitres de la nature, vivait un simple et jeune fermier. Il regardait ses voisins tuer les rats sans hésitation avant de jeter leurs corps dans un buisson. Il se demanda alors d'où pouvait bien venir cette haine pour un animal si inofensif. Il était tellement répugné par cette idée qu'il accepta volontier le premier rat qui vint se loger chez lui. Les premiers se passèrent bien, le rat était discret et le dérangea point. Puis le fermier revint avec une poignée de raisins pris dans son jardin et les déposa sur la table. Quand il revint, les raisins n'étaient plus là. Il se dit que ce ne pouvait être le rat, le fermier l'avait nourrie ce matin. Puis vint le deuxième jour ou le fermier arriva avec un panier remplis de ses raisins destiné à allez au marché. Mais à peine dix minutes plus tards, il retrouva ses raisins envollés... et le rat qui était pris au fond du panier. C'est là qu'il compris que le rat n'avait aucune idée de ses actes, aucune limite à son apétit, aucune idée de la conséquence de ses actes. Le fermier laissa tout de même tombé cette histoire et se dit qu'il ne laisserait plus ses paniers sans surveillance. Il pris ses autres paniers et partie au marché.

L'inquisiteur ne lisait même plus les lignes, il ne faisait que fixer son bouquin.

- Et il revint deux jours plus tard pour voir que ses plantations avaient été sacagé et mis en pièce. Le fruit de ses efforts réduit à néant. L'être humain était capable de créer, d'avancer, de penser à l'avenir. Et ces toujours dans le génie humain que sa race évolue. Le rat, lui, est comme il fut il y a mille ans, une vermine dans la vie des gens. Le fermier trouva alors le rat dormant dans le cadavre de ses plantations. Il était rendu gros, bien trop pour se cahcer, et c'est avec un grand couteau que le fermier mis fin à sa vie. Mais il trouva alors à un mètre trois bébés rats. Ceux là, le fermier ne pouvait les tuer. Alors il fit un enclos pour les garder prisonier. Ainsi les deux pouvaient vivre en armonie... Tant que l'homme était maitre de la situation.

Matiel renferma son livre en un éclaire, ce qui fit résonner la pièce.

- Fin de l'histoire.

------

Riki avait un large sourire au lèvre.

''Belle histoire à raconter avant d'aller se coucher...c'est que voies-tu,tu compares des HOMMES-animaux à un animal...mhmmm désolé. Ya kek chose qui marche pas la dans ma tête... ILS ONT UNE FUCKING PART D'EUX QUI SONT HUMAINS!''

Riki commençait vraiment à devenir enrager par cet homme, elle commença alors a twister ses mains et essayer de voir comment se détacher.(dextérité 5, avec intelligence a 4...je te le laisse voir si Riki réussi éventuellement à ce détacher )


''Tu comprends po que...ce ses personnes la ont une très grosse part humaine et qui sont bien souvent plus humains que toué pis moué....faque arrete ak tes osties de sottise la. Tu me rentreras pas ça dans le crâne parce moué comparativement à toué. Je pense par moi-même...''

Le ton de voix de la miss était plus calme...un peu...

----

L'inquisiteur relâcha un profond soupir de fatigue et rangea son livre dans sa poche.

- Une si faible estime de votre race, votre père aurrait eu honte de vous.

À cette déclaration, il agripa une feuille et un crayon.

- Bien, il ne me reste plus qu'à vous créer un dossier et je vais en avoir finit avec cette histoire. Je connais votre nom et votre age, il me reste plus qu'à savoir votre profession, je vous conseil de pas me mentir!

Cette fois-ci, Matiel fit ressortir la rage dans ses yeux avant de la lancer sur la gamine.


---
Riki arrêta de jouer avec les cordes et de se tortiller. Quand il lui parla de son père ses yeux devinrent enragé, mais le simple regard de l'incquisiteur la fit ce calmer aussitôt. Elle parla d'une voix à peine audible. Son regard descendit au sol, elle semblait plus triste maintenant. Son père à ses yeux était comme un dieu.

''Parler pas de mon père de même. Tu le connais pas...C'est lui qui m'a tout appris...c'est lui qui M'a appris a penser de même. Ëtre pour la liberté pis toute....mon père aurait jamais eue honte de moi.''

Son père...pour elle c'était le seul lien affectif réel qu'elle avait eu. Il lui avait tout montré. Il l'appelait son petit génie. Alors que savait-il de plus sur son père qu'elle.

''Oh et je suis recrue pour la stormrider....''

Elle eut un petit sourire triste en coin. Elle voulait suivre les traces de son père...pour espérer le retrouver.

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« Plus que tu ne le penses.»

S'empêcha de dire Matiel, il en avait déjà trop dit et les souvenirs commençais la s'empiler. Mais ce fut la réponse de Riki qui le ramena brusquement sur terre. À l'information sur sa carrière, l'inquisiteur devint pétrifé, ses yeux étaient grands ouverts, ses mains tremblaient d'exitation et ses lèvres étaient même sur le point de former un sourir.

Comment aurrait-il pu immaginé que durant cette soirée, cette gamine allait lui donner la clée de la victoire. Depuis le temps que Matiel atendait une oportunité pareil, la fille le Bago venait de la lui servir sur un plateau d'argent. Désormais, sa victoire était assuré, plus rien ne pouvait se mettre dans les pattes de son grand projet. Matiel eu presque envis d'embrasser la gamine, mais il se retint de le faire et ne fit que rentrer les dernières informations sur son dossier.

---

La jeune fille restait calme et ne bougeait pas. Elle attendait qu'il est finit d'écrire sauf qu'il dit quelque chose qui la fit...

''Plus que je le pense de quoi? À propos de mon père? T'sais la ou on en est...dites le moi qu'est-ce que tu penses savoir sur mon père que je ne sais pas....''

Une petite lueur de défis revint dans ses yeux, mais s'effaça aussitôt lorsqu'elle se souvint du regard de l'homme...UN regard si effrayant c'était pour cette unique raison que le modne était à ses pieds elle en était certaine....

----

L'inquisiteur perdu toutes ses émotions. Il était pris dans une sorte d'embara. Il savait que c'était de l'information qui ne devait en aucun cas être diffusé. Mais est ce que ça propre fille ne méritaot t-elle pas le droit de le savoir. L'hésitation commençait à le ronger.

C'est alors que la porte s'ouvra de force. Ce fut le commissaire qui fit son entrée, accompagné de deux hommes.

- Monsieur Matiel, votre temps est écoulé.

- Je n'ai même pas eu le temps de procéder à la torture. Revenez dans 30 minutes

- Cette fille n'est plus de l'autorité de votre département. Deplus, j'ai lu un cours résumé de votre relation avec la famille Bago, vous ne voudriez pas que votre suppérieur en entande parler.

Cette fois-ci, ce fut Matiel qui séda à l'intimidation, il acquiessa de la tête. Le commissaire ordonna alors qu'on la détache, mais Matiel se porta alors volontaire. Alors qu'il defesait les noeuds, il lui chuchota dans l'oreille.

« Trouver une façon de rendre service à l'inquisition, je vous en dirais plus par la suite.»


---
Riki observa attentivement la scène. Une fois libre elle massa ses pognets. Et visiblement elle avait raison. Il y avait une histoire entre son père et lui. Mais un dilemme apparu dans la tête de la gamine. Ses convictions ou de l'infos sur son père. Peut-être même la chance de le retrouver qui sait. Tout ceci ruminait dans sa tête. Et ce n'était pas de son genre de mentir. Serait elle capable de jouer sur deux plans? Elle se le demandait sérieusement. Après avoir eu ce qu'elle voulait, rien ne l'empêchait de recommencer sa guerilla.....


Peu importe en ce moment elle suivait les comissaires peu importe ou il l'amenait...


----

Le commissaire la reconduit devant la porte d'entré.

-foutez moi le camp vos supérieur son au courant du bordel que vous avez fait et c'est plus a moi de gèrer sa compté vous chanceuse déjà que j'ai été capable de vous faire sortir présent ouste je veux plus vous voir.

Son ton était cassant et sans équivoque il en avait marre et ne voulait plus voir la gamine une seconde de plus. Sa témérité aurait pu lui couter bien plus cher que quelque équimose et encore heureux qu'il est trouver rapidement un document avec assez de pois pour faire chanté l'inquisiteur. Parfois le commissaire se demandait pourquoi il travaillait avec des fanatiques comme lui... mais bon il n'avait pas le choix.
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