Savoir interdit ( Ophélia et Matiel)

Quand Matiel tomba sur le passage, il ne compris pas tout de suite ce qu'il venait de trouver. Il est vraie qu'il s'atendait à tomber sur quelque chose relié au mauvais et à la noirceur. Cela dit, la Bible elle-même était remplis de passage d'hommes que ne voulaient plus croire à la bonté de dieux, qui avait écrit leurs expériences de désespoires.

Mais cet extrait avait quelque chose de différent, c'était une provocation directe à la divinité, pure et simple, et pourtant remplis de haine.

En le lisant, Matiel murmura certains mots avant de s'arrêter dû au frisson familier qui lui parcouru le dos. Cette sensation, il l'avait ressenti à plein d'autre fois.

- Ophélia, je crois que je viens de découvrir le message de l'enregistrement.

Déclara froidement l'inquisiteur en déposant son livr sur la table, l'index sur le passage.

La mutante quitta son propres livres pour venir voir celui que Matiel consultait quelques seconde plus tôt. Elle le tourna vers elle et lut le passage en fronçant peu à peu les sourcils.

- Ce n'est pas du latin sur l'enregistrement si sa l'avait été nous ne serions pas ici... par contre... Sa a peut-être un lien. Je crois avoir trouver le dialecte qui est utilisée dans l'enregistrement.

Affirma la mutante en retournant son regard ambré sur le haut inquisiteur avant de le reposer sur le livre. Elle relut une nouvelle fois.

- En cherchant dans les livres hébreux j'ai trouver des mentions parlant d,Une entitée nommé néant. le couronné de rien... se serait peut-être lui rien ici peut s,intêprèter comme le néant...


,, Seigneur de l'équilibre
   ....
   Vous couronné roi du Néant
   Toi qui règne sur les 7 et le cauchemar....


   Seigneur écoute les appels
   Voile le seuil
   Tu sera le mien
   J'ai tiré mon destin


   Donne moi une fraction
   de se que tu possède
   Ange noir couronné

   Au nom du partage
   Par les 7
   Le cauchemard
   et le roi couronné.....''

Traduit a voix haute la mutante. Son regard se tourna vers la petite enregistreuse.


- Je crois finalement que c'est un vieux dialecte arabe il y a deux édition du coran et l'un est plus vieux je crois que se pourrait être un bon départ si tu as un traducteur robotique à porté de main. Cependant il devra entrecoupé d'hébreux les deux langue semble s'alternée sans que je n'en comprenne le sense...

-

- Courone, roi et néant, ce sont souvent des thèmes que j'ai entandu depuis cet incident, trop de fois je les ai entandu pour tous cela ne soient que de simples coïncidences.

Déclara Matiel en se frotant le menton entre l'index et le pousse, en prenant un aire penseur. Ses yeux étaient maintenant rivées sur les écrits devant lui et rien d'autre ne semblait s'interposé dans sa concentration.

- Ce qui transfert nos recherches au seigneur couronée du néant, ou roi de l'équilibre, ou encore l'ange noir couronné. On a aussi le chiffre 7, qui peu référer aux 7 niveaux de l'enfer, tout comme le chiffre chanceux...

L'inquisiteur s'arrêta, confu dans sa propre réflexion, perdu dans ce labyrinthe qui venait lui-même de se créer, avec plusieurs chemin possibles, mais dont la pluspart maineraient à un cul de sas. C'est alors qu'il écouta la requête de la mutante avant de secouer de la tête.

- Puet-être que si je pouvais me balader dans le Sanctum, je pourrais trouver tel serviteur, mais ici, il n'y a que nous. Mais peut-être qu'en nous séparant encore pour les recherches, nous pourrions trouver un livre qui ferrait le lien entre les deux langues.

- IL y a aussi les 7 pècher capitaux et 9 enfer dans la Comédie de Dantes.

dit gravement la mutante au haut inquisiteur en fronçant un peu les sourcils.

- Je ne crois pas qu'il y est vraiment de lien a faire, mais pour un comparatif je crois que se serais suffisant. Vous devez surement avoir des androïdes ici non? Qui on assez de logiciel de traduction pour vous en faire une approsimative?

La mutante fis une petite pause.

- Je crois que se dont parles tout ses livres hébreux, latin ou arabe se rapporte à la même chose....

Ophélia se leva et alla chercher quelque livre au bout de la table pour les prendres et les feuilletés d'un aire plutôt appeurée. Ses mains ayant même de la difficulté à tenir convenablement les pages sans les déchirer. Matiel pu voir que c'étais la bible elle-même. Ophélia s'arrêta sur apocalypse selon saint Jean. Elle fit glisser son doigt avant de récité se qu'elle lut. Elle insista chaque fois que le nombre 7 reviens.

Sept lettres
Sept sceaux
Sept trompettes
Sept fléaux des sept coupes
La bête a 7 tête et 10 corne couronné de 7 couronne.

Elle revela sont regard vers Matiel.

- Je ne crois pas au coïcidence... et je crois... que peux importe se qu'on trouvera sur la traduction de cette enregistrement... l'apocalypse ne fut en rien réel durant la 3ème guerre mondial... Quelque chose de pire... et de plus...démoniaque...se prépare....

L'inquisieur eu le souffle coupé juste à la conception d'un catastrophe encore plus grande que celle qui a amené cemonde en ruine, ça dépassait complètement la gravité des hypothèses qu'il s'était fait. Maintenant l'inquisteur ne savait plus à quoi s'atendre.

- Mirabelle, je crois que tu ferrais bien d'allez chercher nos gardiens du savoir robotiques. Ophélia a raion, nus allons en avoir besoin. Si le haut prêtre t'empêche de passer, explique lui la situation, Wagner devrait comprendre... dumoin je l'espère.

L'inquisiteu fit unhochement de tête à son intérrogatrice avant qu'elle ne parte. Puis, il réorienta son regard sur la mutante.

- Et maintenant, sur quoi devrions-nous orienter nos recherches? Car nous avons énorméments de pistes, mais qu'une vague idée de ce qui est en train dese tramer.

-On ne peux plus faire grand chose je crois... a part attendre .... l'homme de toute à l'heure. On aurait pas assez de la demi heure qui nous reste pour trouver une piste plus potable... On a déjà avancer non? Cela devrait suffir non? hein?

l'angoisse commençait à reprendre le pas sur la mutante dont la voix laisser trésaillir des ratés. Elle prit une profonde inspiration pour tentet de se calmer.

- Ce n'est pas à 4 que l'on aura le fin mot.... pas en si peu de temps. Il doit y avoir ici des gens bien plus qualifier que moi. Comme celui qui a enregistré ta bande audio non? Je considère que j'ai fais ma part... que j'ai le droit de vivre... vu le délais alloué.

la mutante regarda les livres et soupira ils étaient tous la étalée sur la grande table de bois vernis. Tous avait été plus ou moins utile, mais le temps fillait et se qu'ils avaient en main rien n,assurait que se soir assez. La mutante reposa son regard sur Matiel attendant qu'il dise quelque chose

Matiel croisa le regard de la mutante et lui rendit cette déception, voir même l'angoisse qu'elle éprouvait face au temps qui s'écoulait et leurs chances de survies diminuer. Comme l'avait dit Ophélia, ce défis était injuste. Ils étaient tout prêt du but, mais la tâche quils avaient face au nombre qu'ils étaient en plus du temps étaittout simplement infaisable. Comme Félias avait souhaité que son confrère inquisiteur acompagné de son fidèle androïde soit présent pour les aider. La spécialité de Matiel était les interrogations, non pas les fouilles du passé.

Il déposa la main sur l'épaule de la mutante et lui répondit avec une voie des plus compatissante qu'il pouvait.

- Ne t'inquiète pas Ophélia, tu en as fait bien plus que je ne l'aurrais espéré. S'il a quelqu'un qui a mérité son droit de vivre s'est bien toi... Du moin, j'espère que le haut prêtre sera d'accord. Parlant de lui, s'il descend, vous me laisserlui parler, je crois que j'ai un plan. Mais d'ici là, tu peus te reposer, je crois que tu l'as suffisament mérité.

Matiel n'enleva pas sa main, mais il ne savait pas quoi rajouter à cela... Quoi dire dans un telle situation.

Toujours assise la mutante ne fit qu'hocher de la tête en soupirant faiblement. Elle allongea ses bras sur la table avant de les croiser puis de poser son front sur ceux-ci question d'essayer... en vain de se reposer. Ophélia voulu porté une de ses mains a son cou pour prendre entre ses doigts le collier qu'elle portait généralement. Mais celui-ci était absent aujourd'hui... comment avait-elle put l'oubliée? Tout ses porte bonheur... jamais en 100 ans ne les avait-elle oubliée en de pareil situation...

Elle eut un nouveau soupire. Quelle ironie se dit-elle, quelle mauvaise blague...Pour Matiel le soupire fut émis plusieur minute après que la mutante est poser son front sur ses bras. En silence quelque larme cacher au autre homme de foi présent coulèrent sur les joue de la mutante. Sa vie s'achèverait put-être ici...quel endroit affreux... lui donnerait-on une dernière faveur? Et si oui que pourrait-elle bien demander? De voir une dernière fois le ciel étoilé? Voir les siens lui serait refusée... peut-être dire un dernier mot....

Ophélia passa une main dans ses cheveux de neige voulant chasser un nouvelle fois les idées noires qui l'assaillait avec ténacité. Elle déglutie pour ravaler ses larmes de peur. Il lui fallait un plan... en dépit de Matiel et de quiquonque. Elle était entrée, sortir devrait théoriquement se faire non?

Le temps s'écoula et la dernière demi heure des 3 personnes restés en bas s'acheva. Fidèle à lui-même et pas une seconde à peine en retard Wagner passa la porte qu'il avait quitter 2 heures plus tôt accompagnée par Mirabelle qui n,avait d'autre choix que de le suivre.

Le haut prêtre regarda d'abord les livre et la mutant front contre table avant de glisser ses yeux bleu sur le haut-inquisiteur. Il fit signe sans rien dire a Mirabelle pour qu'elle rejoigne son dirigeant après tout un s'ils devaient mourir autant qu'elle soit entourée par les siens.

Le haut-prêtre croisa les bras sur sa poitrine. Il était descendu seul face au 4 personnes et ne semblait pas le moins du monde apeuré de cette état. Au contraire il affichait l'aire confiant de celui qui domine la situation.

-Au rapport Haut-Inquisiteur

Fit-il par dire à Matiel un fois qu'il eut finit de passer la pièce sous le fil de son regard perçant et calculateur. Il approcha pour venir prendre un livre en main et en lire le titre avant de le reposé avec un nonchalance prèsque provocante.

Matiel fixa la mutante couché sur le bureau pendant un long moment, se demandant ce q'il pouvait bien rajouter pour l'encourager durant cette sombre situation. Mais il préféra la laisser se reposer. De toute façon, il devait commencer à travaille sur son plan pour les sortir de cet et il n'avait que très peu de temps pour le faire. L'inquisiteur s'assit proche de la mutante et extirpa toute les notes qu'elle avait prise, les cachant dans sa poche. Il se mit ensuite à écrir un text sur le peu de papier qui restait.

À sa dernière page, dernière ligne, le haut-prêtre fit son entrée. L'inquisiteur eu du mal à croir qu'il avait assez de cran pour descendre seul. Se croyait-il si invulnérable que cela? Matiel en vint même à se demander s'il n pouvait pas l'utiliser comm hotage pour se sortir d'ici, mais retira vite cette idée de la tête. Comme Wagner se montrait confiant, l'inquisiteur du en faire autant. Il se leva de sa chaise et pris son aire froid et sérieux qu'il portait habituellement durant ses heures de travail.

- Haut-prêtre... Le fait que mon assistante est avec vous me dit que vous n'avez pas accepté ma requête concernant l'aide d'un androïde... Il faut croire que ça ne servait à rien d'espérer.

Déclara le haut-inquisiteur en faisant signe à Mirabelle de venir le rejoindre.

- Mais malgrés la limite de ressource que nous avions, nous avons réussi à traduir une partie du message:

« Ho district 6.
Ombre de la société d'avant
résidu abritant la pire espèce sur Terre.
......

Ainsi même vos armes de destructions n'ont plus vous térasser complètement.
Mais soyez sans crainte, je vais m'arranger pour que ça soit fait.
Ma venu sera l'incarnation de la destruction elle même
Ainsi, vous saurez ce l'apocalypse veut vraiment dire.

Et je commencerais le tout en détruisant votre chère inquisition.
les églises se metteront à saigner
et les inquisiteurs se renderont compte de leurs faiblesses.
.....

Le jour de mon arrivez sera...»

Matiel s'arrêta de lire le papier de mensonges qu'il tenait dans sa main, espérant que Wagner tmbe dans le paneau.

- Voilà ce que nous avons traduit jusqu'à présent. Maintenant, j'espère que cela nous concerne assez vous et moi pour avoir l'aide d'un androïde afin de finir le reste et de savoir quand cet évènement doit arriver.

Le haut-prêtre se mis à applaudir peu après que l'inquisiteur se fut tue. Un petit sourire mesquin lui barra le visage et ses yeux perçant était river sur Matiel comme ceux d'un chat près à bondir. Il passa une main dans ses cheveux mi long blond claire presque blanc en soupirant longuement. Il défit son regard du Haut-Inquisiteur pour regarder le plafond en faisant un demi tour sur lui-même et ouvrir les bras en croix dans un mouvement sommes toute très théâtrale.

- Est-ce la votre exacte rapport?

demanda t'il en ne retournant que son visage vers l'inquisiteur. Il avait décelé le mensonge et visiblement il n,attendait que le dernier faux pas de l'homme pour les envoyer tout quatre dans les bras de ma grande faucheuse. Le Haut-prêtre était un fin fait manipulateur il sentait les mensonges à 1 km à la ronde et Matiel lui mentait. Une traduction aussi ardu? en si peu de temps?

- Je suis clément je vous donne une dernière chance vous avez sur vos épaule plus que sa simple vie ne l'oubliez pas.

ajouta t'il en se retournant pour pointé Ophélia.

- Vous devriez commencer à être coopératif non?

Il croisa les bras sur son torse.

- Alors?

Ophélia releva son regard dès l'entré du haut-prêtre, mais c'est au mensonge de Matiel qu'elle tourna sur lui son regard. Elle voulait resté impartial, car le mensonge aurait pu fonctionner...cependant la mutante doutait qu'un homme comme wagner n'avale un aussi gros poisson... le message qu'avait dicté Matiel avait été beaucoup trop long pour se qui avait été enregistré.

Au simagré d'une des têtes de l'inquisition Ophélia soupira faiblement juste assez pour que le haut inquisiteur puisse l'entendre, mais pas assez pour que le haut-prêtre lui ne puisse s'en rendre compte. Quel bordel... Pourquoi avait-il jouer les braves avc sa vie! Si elle sortait d'ici elle le lui fairait payée. Fallait-il encore pourvoir sortir pour mettre sa vengeance en route.

La mutante chercha ses notes autour d'elle et ne les trouvant pas commença à s'affoler légèrement. Ses main glissant sur la table au travère des livre avec fébrilité...ou était-elle? Ses précieuses notes ou se trouvait-elle... Elle n'était pas loin pourtant. Elle lança un petit regard sur le sol. Et toujours rien puis son regard se porta sur la longue toge de Matiel...dans la poche...dans sa poche!

La mutante écarquilla les yeux. Il avait ses notes! Sa clé de survit le haut-inquisiteur les avaient, pourquoi! Pourquoi ses mensonges! Elle plissa les yeux et regarda Matiel puis le haut-prêtre. La paranoïa commençait à monté en elle. Et si tout sa n'avait été qu'un piège? Si Matile l'avait trahit !!!!

Elle ne dit cependant rien ruminant et glissant sa main dans le petit sac qui lui ne la quittais jamais. S'il le fallait elle avait un as dans sa manche.

Matiel resta une seconde petrifier sans rien faire. Wagner n'avait même pas douté d'une seconde, il avait vue directement au travers de son tissu de mensonge. Son plan venait d'éclater en mille morceau. Mais comment avait fait le haut-prêtre? Qu'avait-il fait de mal.

Ce fut un coup pour son orgeuil. Mais l'inquisiteur fut surpris que Wagner lui laissait une autre chance. Se connaissant, Matiel aurrait fusillé imédiatement quiconque aurrait osé lui mentir.

Il regarda la feuille qu'il avait composé avant de la chiffoner et de la tirer au loin, tout en grognant sa défaite. Puis, il sortit de sa poche les notes qu'avaient prise la mutante et se mit à les lires à voie haute... En espérant de tout son coeur que cela suffirait au haut-prêtre. Sinon...

Wagner approche et tendit la main pour obtenir les cahiers de note. Une fois le carnet en sa possession il le feuilleta en y posant toute son attention. Et celle-ci n'était pas du tout feinte. Il lut se que le haut-inquisiteur lui avait déjà énumérée le regard grave perdant peut a peu tout ses trait narquois et moqueur. Il fit plusieurs fois de petit aller retour entre la table et le milieux de la pièce. À la fin de sa lecture Wanger ferma le carnet et posa son regard sur la mutante puis sur Matiel. Son regard était grave et n'entendait plus à rire.

- Vous n'avez donc pas de traduction exacte.

Demanda t'il d'abord avant de continuer sans laisser réellement le temps de répondre au haut-inquisiteur.

-Vous avez cependant trouver une clé de traduction. Haut-inquisiteur vous devrez retourné voir Korrigan dès que possible. Cette androïde pourra surement faire la traduction.

Puis il reéouvrit le carnet.

- Se que vous avez trouvez est facheux et très peux réjouissant. Cependant personne ne c'était encore réellement pencher sur se point... Korrigan avait déjà soumis ce genre d,hypothèse... mais personne n'y croyait.

Il tourna son regard vers Ophélia et aprocha de la table pour se trouver devant la mutante.

- Que l'hypothèse vienne directement d'une personne ayant vécu le phénomène me pousse à devoir le croire plausible... même si la science ne peux pas tout expliquer... Nos ancêtre on toujours cru qu'il y avait autre chose qu'elle...et le phénomène aujourd'hui nous laisse sans voix.

Il regarda la porte puis la mutante.

- Quitter tout les 4 , évitez de tomber sur Duval je ne pourrais rien pour vous et Haut-inquisiteur je veux savoir que vous êtes passer dans les bureau de Korrigan demain au matin me suis-je fais bien comprendre?

ordonna le Haut-prêtre en pointant la porte.

Quand Matiel finit par lire ses notes Ophélia se détendit un peu, jute un peu. Au moins le Haut-prêtre pris le temps de l'écouter. La mutante retient son souffle longtemps et regarda le haut-prêtre prendre le carnet des main du haut-inquisiteur.

après ses dire Ophélia soupira, mais cette fois de soulagement. Ils s'en tireraient tous vivant! Tout les 4 arriveraient a sortir d'ici en vie. Ophélia retournerait chez elle, elle retoruverait ses créature. Elle retourneraient dans le quartier mercenaire, retournerait à sa chambre de travail, retourneraient derrière le bar et referait des représentations sur la scène suspendu de la discothèque.

Ophélia regarda Matiel attendant qu'ils puisse quitter pour de bon cette endroit infernal.

Au début, le haut inquisiteur eu du mal à croire que le peu d'information qu'il avait accumulé est suffit à Duval pour les épargner. Mais il s'en réjouit prfondément, même s'il ne laissa rien parêtre sur son visage. À la place, Matiel ne fit que pencherla tête de façon cérémonial envers Wagner.

- Ce sera fait haut-prêtre, compté sur moi.

Il hésita à le remercier, mais se rappella bien vite que ce n'était point la façon defaire à la caserne Sanctum. À la place, l'inquisiteur se revira vers son groupe.

- On part, prenez vos affaires et quitons cet endroit au plus vite.

Sur ces mots, les agents ne prirent que quelques secondes pour ramasser leurs armes pour ensuite se précipiter vers la sortie. Mirabelle tendit de nouveau la toge de prêtre conçu pour la mutante.

Matiel ne jeta qu'un dernier regard tendu à Wargner avant de remonter les marches. Une fois dehors, il fit signe à la troupe de le suivre en silence. Ils repassèrent sur la même aile de la caserne Sanctum, repassant par les mêmes couloirs. L'inquisiteur priait de tout son coeur de ne pas tomber sur l'archange. Wagner avait bien raison, cela signerait leurs pertes à tous.

Mais finalment, ils débouchèrent au parking extérieur, la voiture noire qu'ils avaient pris, encore au même endroit.

- Mirabelle, Élikor, Racompagné Ophélia à son logement, en toute sécurité. Vous viendrez ensuite vous rapporter à mon bureau, on a du travail à faire.

Ordanna Matiel à ses agents. Il se retourna ensuite vers la mutante.

- Ophélia... Je...

Il ne savat plus quoi lui dire. Après tout, que pouvait-il bien lui dire après tout ce qu'ele avait endurer juste pour lui, sans compter qu'elle lui avait sauver la vie?

Ophélia ne se fit pas priée une fois que le haut-inquisiteur donna l'ordre de quitter. Elle se leva rapidement et pris la toge que l'on lui tendit avec grand plaisir. Le mutante la revétit sans rechigner. Finalement elle ne serait plus jamais aussi lourde qu'elle le fut été en début de journée.

En remontant elle demanda discrétement a Elkior de lui remettre le cahier qu'elle lui avait donner à son appartement. Sans attendre il fut glisser sous sa toge, sans autre mot qu'un bref merci un peu sec. Son seule grand désir était de sortir et de respirer l'air polluer et saturer de radiation du dehors.

Une fois dehors elle put enfin se relâcher. Leurs chemin n'avait croisé absolument personne de dangereux quelque dévôt qui avait mieux à faire que de s'arrêter à l'équipe du hautinquisiteur avait de bon gré cèder le passage.

La mutante fis un tour de regard dans le parking. Voyant qu'il n'y avait personne elle approcha de Matiel. Bien que l'homme soit un peu plus grand qu'elle la femme ne le ratta pas. Elle lui décocha une giffle monumental au visage dans une claquement sec qui laisserait une rougeur pendant quelque minute. Elle se fichait bien que la petite blondie ou que le gros Elkior la foute au sol pour aovir fais ça. Elle était en colère, elle avait eut peur, et surtout il avait mis sa vie en danger à plusieur reprise en quelque heure!

- prochaine fois créer donc un mensonge qui se tiens ou ne mens pas quand tu ne sais pas le faire! C'est ma vie qui y tennait! Espèce d'incompétant! On a eut de la chance rien d'autre! Et sa c'est absolument de ta faute! Plus jamais je ne quitterais l'AMCD! plus jamais! j'vais avoir des prêcheurs sur le dos maintenant par ta faute! Si jamais tu as encore besoin de moi tu mettra ta vie a toi en danger pour venir me chercher! Tu viendra chez les poisonous.

Puis elle fit un long soupire. Puis elle regarda les deux toutou bien dresser de Matiel.

- Donne leur congé et viens me porter au Qg des poisonous.

lui dit-elle presque sur ton impératif donnant l'impression qu'elle donnait un ordre au Haut-inquisiteur. Elle croisa les bras sur sa poitrine et attendit la réponse de Félias.

La loie était très claire, n'importe quel non-humain qui frappait un inquisiteur devait être éliminé sur le champ. Mais la loie ne précisait pas la situation où l'inquisiteur le méritait. Matiel pensait à aporter une petite note là dessus une fracton de seconde avant qu'il reçu la giffle.

Élikor, cela dit, n'eu point ce genre de résonement et s'apprêta à déguener son arme. Mais l'inquisiteur l'arrêta d'un signe de main. La tête basse, encore sur le choc, il se frota la joue. La douleure lui montait jusqu'au nez, elle étsit très désagréable, mais lui faisait réaliser qu'il était encore en vie. Après toute cette épreuve, il était encore envie.

À la requête de la mutante, Matiel soupira avant de répliquer.

- Vous avez entandu la dame, vous avz congé pour la journée.

Cela allait surement faire un dure coup à sa crédibilité d'inquisiteur, mais il n'en n'avait rien à faire pour aujourd'hui. Il se dirigea ensuite vers la voiture noire au vitre fumé.

- Allez monte, je te racompagne.

Déclara-t-il à la mutante en ouvrant la porte.

La mutante monta côté passager toujours avec la toge de dévôt sur le dos. Elle ne la retira qu'une fois la voiture en route et éloignée de la caserne. Elle la mis à ses pieds et la poussa au fond dans la poussière du plancher de la limousine. La mutante resta muette durant les 10 premières minute le regard tourner vers l'extérieur.

La mutante pensait et ne pensait pas à la fois. Beaucoup de chose s'entrechoquait dans son esprit et beaucoup de contradiction...REvenir à la réalité laissait finalement Ophélia perplexe et désapointée. Elle avait paranoïée sur le cas de Matiel, mais il s'était avèrer qu'elle pouvait avoir confiance. Son mensonge aurait pu lui coûté la vie...mais au final il n'avait pas voulu mal faire...

Puis le réalité la frappa un peu plus. Comme un lourd rapelle la mutante se souvient que Matiel était mourrant...et qu'elle avait frapper un condamné... Elle se surprit à renifflé pour ne pas pleurer. Voici deux ans l'avenir de Matile lui aurait été totalement indifférent. Mais aujourd'hui c'était différent...Pourquoi c'était une étrange suite d'évènement.

Sa tête se tourna doucement vers l'homme de foi.

-pardonne moi. J'ai perdu le contrôle... je n'aurais pas du te frapper. Je me suis emportée et tu as été la seule cible et en plus face à tes hommes...

Elle le regrettait vraiment et cela ce sentait dans sa voix légèrement chambranlante. Elle regarda l'approche du quartier mercenaire et dit au haut-inquisiteur.

- gare toi avant le quartier mercenaire. La limousine est trop visible. On continuera à pied si tu est capable de retirer ton gros imper de l'inquisition et te mettre ton masque et tes lunettes au visage.

Lui suggéra-t-elle.

Matiel conduisait d'une rue à l'autre tout en comptant les minutes de silence qui s'accumulait. Il aurrait voulu dire quelque chose, mais la tention qui s'était dresser entre eu le garda muet. Que pouvait-il bien dire de toute façon?

L'inquisiteur réalisa aussi qu'il s'apprêtait à franchir la frontière interdite. Jamais de sa vie n'avait-il osé s'aventurer aussi proche du quartier des mercenaires. Voilà qu'il s'apprêtait à y allez. Cela l'enervait un peu, mais avec tout ce qu'il avait fait aujourd'hui, il n'avait plus l'énergie à s'inquiéter du danger.

Quand finalement la mutante prit la parole, Matiel pouvait sentir la tention finalement chuter.

- T'inquiète pas pour ça. On était tous effrayés, la peur peut changer quelqu'un radicalement. J'ai moi même frapper une de mes agentes dernièrement. C'est pas que je le regrète pas, mais ce fut ma seule répose à la situation où je me trouvait.

Matiel se surpris lui même, pourquoi diable était-il en train de raconter ce qui c'était passé durant cette afreuse soirée.
L'inquisiteur écouta les instructions de la mutante et alla se garer. Par la suite, il enleva son manteau et son chapeau, avant d'aggripper son protecteur respiratoir munis de filtres.

- Ça devrait faire l'affaire.

Déclara-t-il en sortant de la voiture.

La mutante hoche sa la tête.

-J'ai ce qu'il faut pour que se soit convainquant à souhait.

Elle sortit de son petit sac un écuson sembla à se qu'elle avait pu montré à Matiel dans le bar ou ils s'étaient rencontré la première fois en dehors de la caserne sanctum. C'était un petit badge bleuté sur le quel il était visible une goutte d'un vert claire et lumineux. Ophélia l'accrocha au colle de Matiel bien en vue de tous.

- Voilà tu es un invité poisonous maintenant....

Elle regarda le sol

- Je me fairais tuer si un silver scale savais que j'ai fais sa... mais j'm'en fiche... Aller vient... je te payerai un verre à la discothèque.

La mutante fit signe à l'inquisiteur de la suivre et elle franchit la limite qui mennait au quartier sans foi n'y loi des mercenaire. Ophélia ne put s'empêcher de trouver la situation ironique, mais la mutante se sentait mieux à présent et plus libre même si le quartier lui était plus dangereux.

Plus ils progressaient et plus la mutante sembait saluer des gens zoomorphes, mutants, humain et quelque rare androïdes. Ophélia ne présenta cependant jamais Matiel à personne. Quand ils furent un peu plus seul au détour d'une ruelle Ophélia se retourna vers Matiel.

- On n'est pas loin du Qg de ma guilde. Cependant je tiens à te prévenir... Se que tu crois savoir de moi... est à peu près complètement faux. Je ne suis pas vraiment apothicaire... et je ne fais pas vraiment un travail très ''politicly correct''.

avoua la mutante avant de continuer son chemin sans donner le temps au haut inquisiteur de poser de plus ample question. Comme si elle ne voulait pas répondre et se sauver rapidement.

Matiel jetta un dernier coup d'oeuil à son nouvel écusson avant de passer la frontière du cartier. «Génial...» soupira-t-il, l'inquisiteur avait déjà un mauvais présentiment de ce qui allait se passer. Mais le fait que la mutate était prête à risquer sa vie pour un simple bon moment avec lui le rassura un minimum.

Alors qu'ils se promenaient dans les rues, Matiel observa discrètement et avec inquiétude tout ceux qu'Ophélia saluait. Il y'avait là une montagne d'informatin à prendre, tant de personnes à arrêter et des postes stratégiques à prendre. L'inquisiteur s'en serait réjouit s'il n'était pas présentement l'invité.

Puis vint le détour dans la ruelle, qui le rassura un peu, malgrés que les ruelles étaient connues pour être propices pour les ambuscades.

- Pour être honnête avec toi, je commençais à m'en douter. J'ai eu assez d'année d'expérience pour savoir que tout le monde à ses petits secrèts et ses côtés sombres. Le simple fait que tu faisais parti des poisonus m'en avait déjà assez dit. Mais je ne me sens pas vraiment en service présentement...

Déclara l'inquisiteur en montrant le peu de vêtement qu'il portait. Il avait essayé de tourner cela en plaisanterie. Mais avec son masque, c'était assez dûre à percevoir.

- Donc t'as pas vraiment à t'en inquiéter. Allez, allons prendre un verre.

La mutante écouta l'inquisiteur en se dirigeant avec adresse dans le dédale des ruelle jusqu'à déboucher sur une plus grande artère plus achalandée. Au fond de cette allée éclairer par de multiple spot au couleurs innombrable se désinait les contours d'un grand bâtiment qui semblait déjà animé malgré le fait que se soit la fin d'après midi.

- Sa prépare une grosse soirée...

Commenta Ophélia en pointant le dit bâtiment. Le même blason au haut des porte de l'édifice l'épinglait comme appartenant au Poisonous. La mutante continua à avancer au traver des gens. Regardant par moment derrière son épaule pour s'assurer que Matiel la suivait toujours.

Elle monta doucement les marches qui mennait aux portes de la discothèque. Puis elle poussa l'une des grandes portes vitrées et fumées. La femme la tien pour l'homme, mais rapidement une fois celui-ci entré elle reprit les devant.

L'intérieur était assez phénoménal. Visiblement juste pour le hall l'ancien bâtiment avait vu sauter le plancher de 2 à 3 étages se qui laissait un haut plafond vaste ou plusieur spot et stroboscope était accrochés. Le hall vaste et peut meublé offrait une vue en contre plonger sur la piste de danse qui elle se toruvais un peu plus haut passer un large escalier qui se déverait dans le hall. Derrière se gros escalier de fer noir se voyait quelque petit divan et des cocrons semi fermer ou des gens semblait discutée placer sous la piste.

- Aller viens et ne retire pas ton masque on va aller dans une salle privée.

Puis la mutante monta encore des marches, Celle qui menait vers la piste de danse. Une fois rendu a niveau le bar était bien visible gros et rond il trônait au milieux de la vaste salle. L'arrière était plus vivant que le devant se qui permettait aisément de commander même si l'on était pas danseur. Ophélia approcha de celui-ci et héla gentilment un androïde au bar.

- Hey Alan!

L'androïde de deuxième génération approcha rapidement.

- Oh Oph bonjour tu es tôt non?

- nha je travail pas aujourd'hui Amy me remplace elle devrait arrivée à la même heure que moi.

- Je vois, alors je peux quoi?

- Tu peux nous faire deux verre s'il te plait? Un comme je l'aime et l'autre va pour hum

Elle tourna son regard vers Matiel.

- Ton meilleurs cognac s'il te plait et lésine pas je met sa sur mon bill

l'androïde eut un rire synthétique.

- Tu parle du bill qui se fait payer par tout tes admirateurs?

- Exacte autant plumée les pigeons non?

- Ouais.

Et l'androïde tourna son regard bleuté luminescant vers Matiel. Le détaillant quelque seconde avant de se retourner et de s'affairer. Il reviens quelque minute plus tard avec les consomations.

-Tiens.

- Merci.

Elle prit les 2 verres.

- Oh Alan? Je ne prend aucun client à ma chambre se soir d'accord? Même mes habituées.

L'androïde sembla un brin surpris, mais hocha de la tête en signe de oui. La mutante se décala du bar et fit à nouveau signe à l'inquisiteur de la suivre. Cette fois ils longèrent la piste et Ophélia fit remarquer à Matiel à la dernire seconde un petit corridor à l'éclairage tamiser. Elle s'engouffra dans celui-ci.

-On est presque rendu.

Le corridor tournait plusieur fois et ressemblait presque à un petit labyrinthe. Ils débouchèrent sur un escalier en colimasson noir. Elle monta celui-ci et rapidement il se retrouvèrent dans une allée aux nombreuses portes chiffrées. Ophélia s,arrêta devant une dont le nombre avait ét retiré et sur le quel se trouvait au lieux une araignée noir. Elle débarra la porte.

- Entre et met toi à l'aise.

Elle lui sourit un peu entra à son tour et ferma la porte en la barrant. La pièce était une grande chambre couleur rouge au décoration lourde digne du 16ème siècles. Un grand lit rond à bandaquin au drap de soie noir tronnait sur un petit podium. dans un coin se trouvait un grand divan a l'imprimée fleurit foncé et une causseuse du met paterne une table basse entre elle. Une porte semblait donner sur un placard et un mini bar était installer près des divans.

- Bienvenue dans mon autre chez moi. C'est moins todi que mon appartement.

Matiel était tout à fait impressionné de tout ce qu'il voyait. Tous les bars où il avait dû arrêter des non-humains étaient miteux et déprimant. N'étant jamais allez dans le cartier de mercenaire, il toujours pris pour aquis que le QG devait être le somum des bars de malfras et des psychopathes. Mais ce n'était point le cas, il faisait face à une instalation qui pouvait même rivaliser avec la caserne sanctum en termes de qualité.

L'homme de fois avait de la misère au début à suivre la mutante dû au fat qu'il n'était pas habitué de traverser les foules. Normalement, son statut d'inquisiteur repoussait naturellement tout ceux qui étaient dans son chemin. Mais aujourd'hui, il était un simple individu normal. Cela était pour le mieux d'ailleur, si quelqu'un venait à le reconnaître, Félias ne survivrait pas plus qu'une seconde dans ses endroits. Il commençait à comprendre comment Ophélia avait dû se sentir à la caserne, compatisant avec sa peur.

Finalement, ils arrivèrent enfin à la chambre de la mutante. L'inquisiteur remercia la mutante avant d'inspecter le alentours.

- Moins todi que ton appartement en effet, je connais même plusieurs de mes confrères qui en seraient jaloux.

Matiel présenta alors son verre de cognac à Ophélia.

- Et je voulais te remercier aussi pour ce verre. Ainsi donc, tu te rappelles de ma boisson préféré?

- De rien si je pouvais sortir tout se que l'on me paye ici je serais plus riche que se que je me fais normalement.

Dit la mutante en souriant un peu avant d'aller s'assoir dans un des divans et de sortir d'une des fentes de celui-ci une étuit plate de métal.

- Je prend un join, mais si tu veux un cigare je dois en avoir un dans un tirroir sur la table basse gauche de mon lit. Sert toi chez moi c'est chez toi aujourd'hui.

La mutante se laissa glisser sur le divan pour s'avachir un peu et relaxer. Elle prit son join et sortit un petit zippo pour allumé le petit rouleaux blanchâtre de papier.

- J'ai pris les premiers verres, mais on a de quoi durée toute la nuit.

À ses mots elle pointa le mini bar. Puis elle regard la pièce en faisant un tour complet avec sa tête.

- J'ai toujours toruver que sa manquait de fenêtre ici... pfff...au moins la déco est belle. Sa remonte à loin l'époque ou j'ai choisit cette chambre.