Savoir interdit ( Ophélia et Matiel)

Matiel remercia l'hospitalité de la mutante et se dirigea vers les tiroirs de la comode à la recherche des cigares. Au troisième, il remarqua une autre boîte métalique presuqe similaire à celle qu'il transportait sur lui. « Bingo» se disait-il. Il ne tarda pas à en prendre un et de l'alumer de son briquet de poche. La fumée vint alors se propager dans sa gorge et Matiel savoura cette sensation. C'était un bon cigare, bien meilleur que ceux qu'il transportait, moin agressif à la gorge et meilleur au goût.

L'inquisiteur se retourna alors vers Ophélia à la mension de l'alcool. En réponse, il afficha un petit sourir bien amusé avant de répondre.

- Après tout ce qui c'est passé aujourd'hui, on peut bien se le permettre. Et puis croit moi, les fenêtres ne sont pas tant nécessaires, y a pas grand choses à voir dehors. Mais il est vrai que contrairementà moi, tu peux te permettre de les laisser ouverte.

Sur ces sages paroles, Matiel prit un divan non loin de celle de son hôte et relâcha un soupir de bonheur alors que son corps se décompressait en entier. Il se permis ensuite d'amener le verre de cognac à ss lèvres. Un vrai délice, cet androïd n'avait pas mentis sur la qualité de son alcool. Tout semblait être parfait, son environement était tellement plus légé que celui au bureau, l'ambiance était bonne, l'alcool, le cigare, tout. Mais pourtant, l'inquisiteur avait quelque chose de lourd à l'interieur de lui. Quelque chose qu'il voulait sortir. Il instala ses coudes sur ses genoux avant de s'exprimer.

- Ophélia... si je peux te demander... pourquoi as-tu accepté de me suivre à la caserne? Non en fait, pourquoi m'as tu supportés depuis le début. Qu'ai-je bien pu faire pour mériter cela?

En fouillant des les différents tirroir Matiel fit tout de même des ''découvertes'' fort peu catholique avant de tomber sur les cigares. En effet préservatif et lubrifiant, huile à massage, plume, menotte... et autre truc plutôt lèger de se genre reposait pêle-mêle dans les deux tirroirs du haut.

Ophélia cependant ne porta pas attention au recherche de l'inquisiteur les yeux mis clos pour se détendre. Ce n'est que quand celui-ci la rejoins pour s'assoir non loin qu'elle les réouvrit en tendant tout de même l'oreille à ses dire.

Quand il lui posa sa question Ophélia ne répondit pas tout de suite prenant un aire pensif. La mutante tira sur son join un bon coup, garda la bouffé un petit moment, avant de la laisser s'échapper par son nez tel lentement. Elle reprit un courte bouffé d'air et soupira lentement.

- Pour la caserne, parce que je croyais et je crois toujours qu'il le fallait pour le bien commun. Il faut parfois des sacrifices pour sauver le plus grand nombre.

Elle vient prendre une gorgé de son brevage avant de se replacer pour s'étendre de tout son long sur le divan et poser sa tête sur l'un des appuis bras de sorte à regarder le plafond.

- Je me demande parfois moi-même pourquoi je te suppotes pour t'être bien franche. Je te hais Matiel je te hais pour se que tu as fais et se que tu n'as pas eut le courage d'arrêter. Je te hais parce que tu as été trop longtemps un homme qui portais des oeillères tempêchant de voir volontairement ou non se qui se passait autour de toi.

Puis elle fit un petite pause.

- Mais d'un autre côté... J'ai pitié de toi et je t'admire en même temps. C'est peut-être la mort qui te fais agire ainsi, mais tu cherche à changer, presque à te racheter en quelque sorte. Que se soit volontaire ou non. Sa prend beaucoup de courage pour passer par dessus ses convictions et tenté de voir plus loin qu'elle. Et c'est quelque chose que j'estime... Beaucoup ne serait pas d'accord avec moi en bas... Mais dans se monde il est plus difficile de changer que de resté terré dans nos idées pré-consue et dans les préjugers.

Puis elle tourna son regard vers Matiel.

- Mais surtout tu as des remords de se que tu as fais aujourd'hui. Tu es plus humain que quand je t'ai connue. Tu...

elle eut un petit sourire, mais roula des yeux avant de revenir au plafond.

- Tu me donne espoir que se monde peu changer. Qu'il peut devenir meilleurs avec le temps, les soins et la patience. C'est un peu niais comme pensée... la pensée magique... mais il faut bien se raccrocher à quelque chose non?

À cet réponse, Matiel se mit à sourir de joie. C'était la troisième fois qu'il souriait depuis qu'il était rentré dans l'inquisition. Il s'en rappelait très bien et avait chéris ces moments au fond de son coeur. Maintenant qu'il y pensait, c'étaient des moments exactement comme celui-ci, paisible et en compagnie d'Ophélia.

Alors qu'elle fixait le plafond, l'inquisiteur la fixa en retour et lui répondit.

- C'est un peu une «pensée magique », mais c'est le genre de pensé qui me donne espoire. Sans ça, à quoi bon vivre, où irons-nous exactement.

L'inquisiteur prit un moment pour prendre une gorgé de son verre.

- Pour être honnête avec toi, y a des jours que je me demandais qu'est ce je faisais en ta compagnie. Durant toute ma vie, on m'a appris à haïr ton espèce à en être dégouté. Et par la suite, on m'a donner un travail qui demandait l'élimination des non-humains comme du bétaille. Alors qu'est ce que je faisait avec l'une d'entre eux, ça compliquait tant les choses... Mais je ne sais pas si tu te rappelles de notre première rencontre au bar. On avait bue et conversé tout le long... et après tu m'avais donné un baisé sur la joue gauche. La procédure aurait demandé que je me fasse désinfecter avant de te retrouver et te faire supplier à genou pour cet offense. Sauf que c'était le premier baisé que j'avais reçu de toute ma vie. Alors sur le coup, je venais réalisé que j'avais eu ce que j'avais toujours désiré, quelqu'un qui était capable de me compre. Et mutante ou pas, c'était la chose wue j'avais e plus précieuse. Sans ça, j'aurrais continué ma chute vers le monstre que je devenais.

Elle rit un peu d'un rire sans méchanceté et léger. Elle passa un un bras sous sa tête et ramena sa son join à ses lèvres. La mutante ferma à nouveau les yeux, mais se remise à parler.

- Ce jour la tu étais aller me porté à l'hopital et tu étais resté. T'aurais pu me laisser dans se bar ne prendre aucune responsabilité et laisser faire le barman. J'étais bien juste qu'une mutante après tout.

Elle voulu porté sa main qui tenais le join à son cou pour y prendre quelque chose, mais visiblement elle rencontra un vide qui lui tira une grimace malaisé.

- C'est un peu sa le Karma... une suite d'enchainement positif ou non déterminée par nos choix et nos action. Pour une fois dans ta vie tu as fais un acte bon , mais vraiment bon...voilà ou sa nous a menée.

Elle se releva un peu pour se mettre sur un coude et regarder Matiel.

-J'ai oublié de te le dire l'air ici est filtré 3 fois et assanie par 2 procodée de décontamination. Tu peux retiré ton masque à gaz et te mettre vraiment à l'aise.

- Merveilleux.

Déclara l'inquisiteur en décrochant les sangles autour de son coup afin d'enlever son masque et de le tirer dans un coin.

- Voilà ce que j'appelle se mettre à l'aise.

Cet phrase se suivit d'une gorgé de cognac et d'une légère inspiration de son cigare. Matiel commençait alors à sentir son esprit vagabondé un peu. Il apuya sa tête sur le derrière du sofa et commença à fixer le plafond. Matiel se demandait combien de temps cela faisait qu'il n'était aussi détendu. Avec toutes les responsabilités qu'il avait, cela commençait à être lourd.

- Tu sais, ce moment là me donne juste presque envis de rester ici. Tu penses que je me ferrais accepter chez les mercenaires.

L'inquisiteur blaguait, et son ton le mettait en évidence. Mais pourtant, il y'avait un soupson de vérité dans ce qu'il venait de dire, et Matiel le sentait très bien.

Ophélia le regarda avec un regard étrange. La mutante avait sentit la plaisanterie, mais quelque chose dans le ton de l'inquisiteur sonnait légèrement vrai... comme quoi les plaisanteries avait souvent quelque font de véritée...

- Hey bien....

Elle fit non de la tête.

- Non franchement pas du tout. Tu en as trop fais pour qu'un Silver Scale veuille de laisser en vie. Il y a des guilde qui pourrait t'ouvrir leurs bras, mais au final les Silver Scale chercherait à te descendre malgré ton appartenance.

Ophélia termina son verre et le posa au sol.

- Par contre tu peux resté ici pour le reste de la journée et dormir. TU repartir a demain avec moi pour retournée a ton rendez-vous avec... se dénommé Korrigan.

Malgrés qu'il s'atendait exactement à ce genre de réponse, l'inquisiteur resta penseur pendant un moment avant de répliquer.

- T'inquiète pas, j'avais pas vraiment l'intention de les joindres pour vraie. Si je devais quitter un extrême, ce ne serait pas pour en rejoindre un autre... C'est juste que des fois je me demande ce qu'on doit ressentir quand on est libre. Tu en savoir assez sur le sujet non?

Matiel soupira un coup avant de se revirer vers la mutante.

- Mais je ne peux pas arrêter, pas maintenant dumoin. J'ai déjà commencé à changer les choses ici, et il en reste tant à faire. Je ne pourrais pas me le pardonner si je laissais ce projet incomplet. Quel genre d'homme je serais.

L'inquisiteur prit une pause pour prendre une gorgée de son brevage.

- Tout ça pour dire que j'accepte volontier ton offre. J'irrais rendre visite à mon confrère demain, cela devrait faire avancerles choses.

- Tu sais c'est pas en étant mercenaire qu'on est vraiment libre. C'est simplement différent on est ancarcanné dans un auter genre de monde il y a moins de règle, mais moins de règle sa ne veux pas dire plus de liberté. Ici tu peux faire se que tu veux, mais les autre aussi alors si tu ne fais pas attention...bha quelqu'un pourrait bien te loger une balle dans le crâne et sa c'est dans les plus soft. L'expression ta liberté s'arrête la ou celle des autre commence prend tout son sens ici.

Elle s'étira doucement et longuement.

- Je sais que je t'ai beaucoup mise de pression, mais... Félias... tu reste un homme comme un auter tu n'est pas un super-humain.

La mutante avait visiblement hésiter a usée du prénom de l'inquisiteur. Mais elle l'avait finalement prononcé en se mordant un peu la lèvre inférieur. Puis elle se leva et alla cherhcer une bouteille de rhum complète qu'elle déboucha avant d'y boire au gouleau.

-Dis...

elle se rapproche de Matiel pour s'assoir au sol.

- Tu n'a jamais chercher à muté? Je veux dire si c'est un cancer ton truc... la mutation... elle pourrais te sauvé... le cancer est une dégénérescence des cellules qui mute... Si tu mutais comme moi... Ton corps ne pourrait pas règler ce problème par lui-même en se stabilisant?

Elle était un peu mal à l'aise mais elle ajouta.

- Il parait que les complexe scientifique on fait de nombreuse recherche sur ma race pour tenté d'obliger et de contenir les mutations... paraitrait qu'il maîtrise mieux cela maintenant...Que les mutant qui on subit sa ressemble a des humains et que leur mutation sont a peine visible au premier coup d'oeil.

Puis elle se tut un peu avant d'essayer de changer de sujet se s'entend elle même mal à l'aise de l'avoir démarré.

- Si tu as besoin il y a une douche derrire la porte la bas et une salle de bain complète. L'eau y est saine.

Elle pointa la porte qui semblait de prime abord pouvoir être une placard.

Au début Matiel semblait amusé de l'analyse de la mutante sur sa société. « Ainsi donc, rien n'est parfait» pensa-t-il en continuant de l'écouté. Le concepte que décrivait Ophélia était exactement la chose que l'inquisiteur s'était dévoué toute sa vie à combattre. Étrangement, à force de le combattre, il en vint à en être intéressé, comme si soudainement, l'anarchie était sinonyme de libération, délivrance de tous ses problèmes. Mais au final, cela finirait par devenir une deuxième prison pour lui.

Puis vint la première question. Au début, Matiel cru qu'il s'agissait d'une blague, juste d'une mauvaise blague. Mais au fur et à mesure qu'elle dévelopait son idée, l'aire amusé de Matiel prit soudain une turnure intrigué, puis soudainement confuse.

- Je... Je crois que j'aurrais effectivement besoin d'une douche.

Déclara-t-il en se levant du divan. La mutante pouvait voir qu'il avait de la misère à se tenir droit, Matiel semblait complètement perdu dans cet appartement. Cela-dit, il arriva à se rendre à la porte à placard et y rentra anvant de la refermer derrière lui.

Il enleva alors ses vêtements et laissa l'eau couler sur son corps nue. Il essaya de se détendre et de faire le vide dans sa tête, mais cet proposition revenait toujours se fracasser à son esprit. Quoi pensé de cela? L'inquisiteur ne pouvait même pas le dire car s'était impensable il n'y avait que cinq minutes au par-avant. Le jour qu'il était devenu inquisiteur, il s'était juré de purger le concepte même de mutation, au point où il n'héterait même pas à s'enlever la vie si son corps venait à changer. Mais le voilà aujourd'hui changé pour le meilleur. Il s'était ouvert l'esprit, mais jusqu'où cet ouverture d'esprit pouvait-elle allez. S'il accepterait, quel genre d'hypocripte serait-il. Mais d'un autre côté, cette idée lui donnait de l'espoire. Cela pouvait lui onner plus de temps, temps qu'il utiliserait pour changer les choses. Et puis, c'est pas comme si personne n'avait de mutation dans l'inquisition, même le saint archange en avait une. Mais Matiel était répugné à le prendre comme example.

Il décida qu'il avait assez pensé et ferma la douche.

- Désolé de t'avoir fait atendre, j'arrive.

Cria t-il de l'autre côté de la porte avant de commencer à se changer.

Quand l'inquisiteur se leva rapidement pour rejoindre la chambre de bain Ophélia soupira. IL ferma la porte et la mutante se frappa le front. Qu'elle mauvais tacte, quel idiote, pauvre conne pensa t'elle d'elle même. Mais oui parle a un inquisiteur de devenir mutant... brillante idée... vraiment brillante... putain que t'es tarré quand tu t'y met Oph.

De sont côté l'inquisiteur en entrant dans la salle de bain tomba dans une pièce somme tout assez vaste avec une douche vitré de bonne qualité et un grand bain en fonte blanc. La salle était carreler de blanc immaculer et de noir mat. La douche avait une large pomme qui laissait tomber l'eau tel un pluie.

Ophélia laissa l'inquisiteur se calmé et fixa le plafond en attendant...QUand il finit par lui parlé la mutante le rassura.

-T'en fais pas y a pas de problème prend ton temps....

Une minute plus tard, Matiel sorti de la salle de bain, vêtu selement de ses pantalons et de sa chemise à moitier boutonné, ce qui faisait très différent des vêtements ample qu'il portait. Il chercha une place où acrocher sa serviette mouillé, et quand il l'eu enfin trouver, il se dirigea vers le salon de nouveau. Mais il ne repris point la place où il s'était assis la dernière fois. À la place, il tira une chaise et s'instala le plus près possible de la mutante. L'inquisiteur semblait encore pus détendu que la dernière fois, ces esprits semblaient plus claires.

- Écoute Ophélia, cet soirée est jusqu'à présent magnifique pour moi, et j'aimerais la guarder ainsi. Je te remerci de ton offre, mais nous en parlerons une autre fois. Laisse-moi juste un peu de temps pour y réfléchir.

Déclara t-il doucement. Félias s'étira alors la tête pour voir le tatoo qu'Ophélia avait dans le cou, numéro qu'il lui avait imposé la première fois qu'ils s'étaient rencontrés.

- Est ce que tu m'imaginerais porter un de ces chiffres sur le front? Il faudrait que je m'auto-évalue.

Prononça l'inquisiteur en essayant de tourner cela en plaisanterie.

Ophélia lorgna sur Matiel qui portait sa chemise a demi boutonner. Elle le fixa un peu et secoua la tête avant de porté son regard ailleurs. Mais rapidement elle le regarda déplacer une chaise pour qu'il puisse s'assoir près d'elle. Si elle avait pu rougire la mutant l'aurait surement fais. Et pourtant il n'y avait rien de bien malaisant face au travail qu'elle pouvait bine faire chaque soir avec ses clients.

Dehors les bruit sourd de la discothèque commençait à monté. Le son doucement augmentait dans le Qg des poisonous. Cependant dan sla chambre ils n'avaient aucune difficulté à s'entendre et la discothèque semblait loin.

- J'aurais pas du parlé de sa excuse moi... et puis le fornt moi je te conseillerais le bras au moins. et puis dangerosité quand on te connais c'est du 5 sur 4 .

Dit la mutante ne faisant un petit sourire à l'inquisiteur. Le sourire n'était pas ausis franc qu'elle l'aurait voulu, mais au moins était-il la. Laissant voir ses dent encore blanche comme l'ivoire. Puis la mutant elui tendit la bouteille de rhum.

-une gorgé?

- Cinq sur quatre, t'es trop généreuse didont.

Déclara-t-il en lui rendant le sourire. Par la suite, il alla se lever pour reprendre son verre qu'il avait laissé sur la comode et lui tendit à la mutante.

- On peut pas dire non à un rhum comme ça.

Matiel regarda alors son verre se replir du liquide brunatre. Il avait conscience que ce n'étais point son premier. Déjà il pouvait sentir les effets de l'alcool altérer ses esprits. La question qu'il posa ensuite, l'inquisiteur ne l'aurrait jamais posé en état de parfaite ébriété. Il y'avait des choses que même un inquisiteur ne devrait pas savoir. Mais cet soirée, sa curiosité l'emporta.

- Vu qu'on est dans les sujets difficiles ce soir, puis-je te demander en quoi consiste ton emploie exactemet. Juste à ce que j'ai vu et entandu à présent, je suis un peu confus.

Matiel avait pris un ton amicale pour faire sentir à la mutante que ce n'étais pas un interrogatoir.

-Ahem....

Le visage de la mutante fut claire... La question l'avait mise mal à l'aise aussi sur qu'elle avait pu mettre l'inquisiteur mal à l'aise une demi heure plutôt. C'était pourtant ridicule elle n'avait pourtant aucun problème a répondre norlament...

La mutante prit une inspiration et baissa un peu le regard. La mutante n'était pourtant gènée de parlé de son emplois. Sans en être fière elle n'avait pas honte.

- Je... je suis dealeuse...et....

aller dit le...

- Prostitué

- Ho...

Ce fut la seul réponse que l'inquisireur put sortir sur le coup. Étrangement, à force de découvrir les petits secrets de son appartement, il avait très bien pu s'en douter. Et pourtant, il n'aurrat pas pu se faire à l'idée sans l'avoir entandu de la bouche de la mutante. Il n'y avait pourtant là rien de surprenant, dans ces temps sombres et difficiles, plusieurs filles avaient à commettre l'impensable pour survivre, même vendre son corps.

- C'est à mon tour de te faire mes excuses, j'aurrais pas dû te demander ça. Mais si ça peut te rassurer, ça ne change pas l'opinion que j'ai de toi. Et puis... en te connaisant, j'imagine que c'est pas n'importe qui qui peut rentrer dans ton lit.

Est ce qu'il venait vraiment de dire ça? L'inquisiteur resta figé après avoir réaliser ce qu'il venit de dire, se maudissant déjà interieurement, atendant une claque à venir.

- Bha dans les fais tant qu'il paye, j'ai rarement refusé un client. Mais on est stricte chez les poisonous et il y a des bodygaurd a chaque coin de cette aile et à la grosseur de leur bras. Personne n'est près a faire le malin. Ils sont presque tous zoomorphe et particulièrement grand. Au moindre problème ils accourent alors on est en sécurité. Puis mon prix exclue souvent les gens à problème.

Avoua-t-elle se reprenant un peu et devenant moins gênée.

- Je préfère travailler ici qu'ailleurs.